La compagnie low-cost américaine Breeze Airways souhaite étendre sa portée et commencer à voler à l’international.
Afin d’exploiter des services internationaux, l’approbation devrait d’abord être accordée par la Federal Aviation Administration (FAA) en vertu de l’article 401 de la Federal Aviation Act de 1958, faisant ainsi de la compagnie aérienne un transporteur national. La définition d’un transporteur national peut varier en fonction de la juridiction dans laquelle la compagnie aérienne opère. Le terme provient des compagnies aériennes gouvernementales du passé ou, au sens plus littéral, des avions arborant le drapeau du pays dans lequel ils sont immatriculés. Cependant, aujourd’hui, il est généralement décerné à toute compagnie aérienne fortement associée à l’identité de son pays ou qui représente son pays à l’échelle internationale. Ce qui lui permettrait éventuellement de profiter de la « haute saison » des voyages vers des destinations comme l’Irlande, a déclaré le directeur général de Breeze, David Neeleman, aux journalistes à Montréal, rapporte Reuters. L’autorisation d’exploiter des vols internationaux pourrait permettre à Breeze d’effectuer outre des vols transatlantiques, de voler vers des lieux de vacances populaires autour du Mexique, de l’Amérique centrale et des Caraïbes.
Breeze Airways, qui a été lancéee en 2021 en utilisant des Airbus A220 plus petits de 137 sièges pour desservir les villes secondaires américaines qui ne bénéficient pas de services directs de grands transporteurs. Elle dessert désormais plus de 40 destinations, toutes nationales, grâce à une flotte de 35 appareils (18 A220 et 62 autres en commande, 10 Embraer E190 et 7 E195). Cependant, le désir du transporteur de se développer à l’international n’est pas une surprise : alors que les compagnies aériennes traditionnelles ont grandement profité du boom post-pandémique du transport aérien international, les transporteurs à bas prix tels que Breeze ont été aux prises avec des rendements plus faibles sur les routes intérieures.
Thorson Lacourt a commenté :
29 novembre 2023 - 14 h 10 min
Encore une qui veut conquérir le ciel international, mais à quel prix pour notre planète déjà agonisante ?
Chaque expansion de compagnies aériennes devrait sonner comme une sirène d’alarme.
Choisir les profits au détriment de notre survie, c’est précipiter la fin du monde. Quand le ciel devient notre cauchemar, il est temps de réveiller notre conscience avant qu’il ne soit trop tard.
Julio a commenté :
29 novembre 2023 - 15 h 28 min
rah ouais
Hclaude a commenté :
29 novembre 2023 - 15 h 56 min
Amen !
Mochi a commenté :
29 novembre 2023 - 17 h 20 min
..Assène-t-il avec certitude arrogante en tapant sur le clavier de son tout nouvel IPhone annuel hyper polluant.
Polluant ? Oui, mais dont la batterie est rechargée au tarif Engie « HeuresCreuses »
😂👍🏻
Bencello a commenté :
29 novembre 2023 - 17 h 04 min
Si Breeze reste sur son positionnement initial, on peut s’attendre à l’ouverture des liaisons sans compagnie concurrente.
Par exemple des vols au départ de Charleston ou d’autre aéroport non-ouvert à l’international.
fayçalair a commenté :
29 novembre 2023 - 17 h 36 min
sur notre planete un seul dieu POGNON
Mosquito a commenté :
30 novembre 2023 - 9 h 15 min
Sauf que…si une compagnie se crée. .c’est qu’il y a des clients….donc qui est le vrai responsable ????
Dd’un autre cote ceux qui denoncent l’avion depuis leur Iphone dans leur SUV feraient bien de relire les stats sur les GES…
Dormons tranquille la COP de Dubai va nous resoudre ce probleme