Un PNC de SAS Scandinavian Airlines (SAS) a dû faire face à des poursuites judiciaires après avoir échoué à un test d’alcoolémie avant un vol régulier entre l’aéroport d’Arlanda (ARN) et Copenhague (CPH) début mars 2025.
Les agents l’ont escorté au commissariat d’Arlanda pour un alcootest officiel. Son taux d’alcoolémie a été mesuré à 0,26 pour mille, dépassant ainsi le seuil légal suédois de 0,2 pour mille. Les policiers sont montés à bord de l’avion vers 20h00 et ont procédé à des tests d’alcoolémie de routine sur tous les membres de l’équipage. Un personnel de cabine était le seul à avoir été testé positif, selon Aviation24.be.
Les agents l’ont immédiatement extraite de l’avion et l’ont conduit au commissariat d’Arlanda pour un alcootest officiel. Les résultats ont révélé un taux d’alcoolémie de 0,26 pour mille, dépassant la limite légale suédoise de 0,2 pour mille pour le personnel aéronautique.
Lors de son interrogatoire, le PNC a avoué avoir consommé deux ou trois bières la veille du vol, précisant avoir arrêté de boire entre 21 et 22 heures. Il s’est dit surpris par les résultats du test, affirmant se sentir parfaitement apte à exercer ses fonctions. Il a également noté que son apport alimentaire limité depuis le petit-déjeuner pouvait avoir affecté la capacité de son corps à traiter l’alcool.
L’affaire est actuellement examinée par le tribunal de district d’Attunda. Le PNC est officiellement accusé d’ivresse, une infraction grave dans le secteur aérien en raison des règles de sécurité et des politiques strictes en matière d’alcool pour le personnel navigant.
PNTC a commenté :
7 avril 2025 - 10 h 28 min
Seuil legal suédois 0,20 pour 1000 pour piloter des avions , donc la PNC devait piloter ? ..bigre !
ingerable33 a commenté :
7 avril 2025 - 11 h 12 min
Si c’est une PNC c’est une hôtesse (de Cabine) les pilotes en principe sont des PNT (Personnel Navigant Technique) ?
benjamin a commenté :
7 avril 2025 - 12 h 57 min
Que va faire Ben smith d’Air france HOP après 2026. il se murmure une vente de capital à regourd aviation
Une scission ? a commenté :
7 avril 2025 - 13 h 41 min
A partir de 2026, tout AF se fera uniquement depuis CDG: fini Orly et fini les transversales de toute nature Region-Région et Région-Europe.
AF n’aura éventuelle besoin que de quelques avions de capacité inférieure à l’A220-300: peut être les ERJ 195 en nombre limité et encore faudrait il aller vers les E195E2.
Le surplus de E195 et reste – E170- seront disponibles à la vente.
La compagnie HOP ayant son AOC en propre peut techniquement être vendue en l’état, comme une compagnie aérienne légalement pleinement opérationnelle: cet aspect des choses peut être très intéressant pour qui souhaite rapidement disposer d’une telle structure sans avoir à passer toutes les étapes réglementaires et administratives pour en créer une!
Greg6 a commenté :
7 avril 2025 - 18 h 55 min
Hop dispose actuellement d’Embraer 170 et 190. Pas d’e195.
Amener l’e195e2 chez Hop n’a pas d’intérêt : la différence avec les a220 d’AF étant trop faible. Il se situe, en terme de capacités passagers, entre un a220-100 et un a220-300. (Peut-être pour garder quelques lignes à Lyon éventuellement, mais je dis ça de façon vraiment hypothétique)
Une vente de hop à un tiers ? Pourquoi pas. Mais dans tous les cas AF a besoin d’une compagnie opérant des petits modules, depuis CdG, que cette compagnie soit une filiale ou opère en tant que sous traitante.
Pour ce faire, hormis l’e195e2, Embraer propose l’e190e2, et l’e175. (Peut-être dans le futur l’e175e2, mais c’est incertain pour le moment)
Greg6 a commenté :
7 avril 2025 - 19 h 21 min
De façon plus générale, il faut bien comprendre que le rôle des compagnies comme Hop, qu’elles soient filiales ou sous-traitantes, est très ingrat.
On leur demande d’opérer, avec des petits modules, sur des lignes ayant une trop faible densité pour y placer des appareils plus gros. Cette mission est nécessaire afin de remplir les vols au départ du hub. Mais la rentabilité est difficile.
Elles doivent maintenir des fréquences élevées pour les correspondances (d’où l’utilisation de petits appareils). En cela, elles sont en difficulté face aux low-cost qui elles adaptent leurs fréquences, et remplissent donc des appareils plus gros, et en conséquence peuvent proposer des prix plus bas. Logiquement, le point à point leur échappe. Et elles doivent faire leur beurre avec les passagers en correspondance.
L’apport de ces compagnies au groupe qu’elles servent ne peut se mesurer uniquement aux pertes/bénéfices qu’elles génèrent. Ce serait idiot.
Il faut prendre en compte le fait qu’elles permettent de remplir les autres vols au départ du hub, et donc participent directement à la rentabilité de ces autres vols.
Pacolo a commenté :
7 avril 2025 - 17 h 46 min
Quel article confus.
Je ne sais toujours pas si c’est un homme ou une femme qui est en cause.
Les errements orthographiques ajoutant à la confusion.
Ni quel emploi est réellement concerné. PNC ou PNT.