Le 14 novembre, un Airbus A330-300 de SAS Scandinavian Airlines reliant Stockholm à Miami avec 254 passagers à bord a rencontré de fortes turbulences au large de la côte est du Groenland, après dix heures de vol.

L’équipage a fait demi-tour vers Copenhague, où SAS dispose d’une base pour la maintenance de l’appareil. Ce qui explique pourquoi le vol SK957 ne s’est pas dérouté vers un aéroport canadien plus proche, a justifié la compagnie aérienne scandinave. Les photos et vidéos publiées sur les réseaux sociaux et dans plusieurs médias internationaux parlent d’elles-mêmes avec de nombreux sacs et déchets sur le plancher de l’appareil après-coup.

Le 12 novembre, un Boeing 747-8 de Lufthansa avec 329 passagers et 19 membres d’équipage, a subi des turbulences alors qu’il traversait une zone de convergence intertropicale (ITCZ) au-dessus de l’océan Atlantique. L’avion reliait Buenos Aires à Francfort. Les secousses ont causé des blessures à cinq passagers et six membres d’équipage.