Mardi, un Airbus A320 d’easyJet reliant Gatwick (Angleterre) à Kos (Grèce) a dû être détourné vers Munich (Allemagne), après qu’un passager fortement alcoolisé a tenté de s’introduire de force dans le cockpit.

Selon les tabloïds The Sun et The Mirror, l’homme aurait consommé du whisky à bord avant de commencer à perturber le vol. En plein vol, il a brisé l’interphone de bord avant de tenter de forcer la porte du cockpit. Il a été neutralisé par le personnel de cabine, assisté par des passagers, puis interpellé par la police à l’atterrissage d’urgence à Munich.

Certains passagers ont exprimé leur mécontentement à la presse britannique, affirmant que l’individu, déjà visiblement ivre avant l’embarquement, n’aurait jamais dû être autorisé à monter à bord. Selon certains témoins, il aurait même été autorisé à descendre pour acheter une bouteille de whisky avant de revenir dans l’avion.

Hier, vendredi, un Boeing 787-9 de la compagnie indienne Vistara reliant Mumbai à Francfort, avec 247 personnes à bord, a effectué un atterrissage d’urgence à Erzurum, dans l’Est de la Turquie, en raison d’une alerte à la bombe.

Les passagers ont été débarqués et fouillés un à un avant d’être conduits à l’intérieur de l’aéroport, et une équipe de démineurs a été dépêchée pour inspecter l’intérieur de l’avion et les bagages en soute, sans rien trouver de suspect. Au final, il s’agissait d’une mauvaise blague : au cours du vol, «un des passagers a écrit sur une serviette qu’il y avait une bombe dans l’avion», avant que l’équipage ne soit prévenu et décide d’opérer un atterrissage d’urgence, a expliqué le gouverneur d’Erzurum.

Déroutement : passager ivre sur easyJet, alerte à la bombe sur Vistara 2 Air Journal

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