Les nouveaux avions de TAAG Angola Airlines, à savoir les A220 et B787 Dreamliner commandés chez Airbus et Boeing, seront livrés avec la nouvelle livrée.
La peinture et l’identité visuelle de l’avion s’adapteront à l’ambiance angolaise, en renforçant la visibilité de la Palanca (antilope noire considérée comme un symbole national) sur la queue et les ailes de l’avion, ainsi qu’en conservant le motif de couleur inspiré du tissu traditionnel angolais nommé « Samakaka ».
Les passagers et clients de TAAG pourront bientôt découvrir le nouvel Airbus A220-300 sur les vols locaux et régionaux, l’avion d’une capacité totale de 137 passagers (12 en classe affaires et 125 en classe économique), il devrait être livré à TAAG au cours du troisième trimestre de cette année, et sera le premier avion TAAG doté de ce concept de marque. La compagnie a commandé un total de 15 Airbus A220-300 (venant notamment remplacer ses vieux 737-700) et 4 787 Dreamliner (en versions 9 et 10).
La compagnie aérienne fait face à des défis majeurs, notamment la transition des vols de passagers vers le nouvel aéroport international de Luanda Dr António Agostinho Neto, au quatrième trimestre 2024, et le prochain scénario concurrentiel concernant le marché unique du transport aérien africain (SAATM). Pour répondre à ces sujets, TAAG indique mettre en œuvre son plan stratégique, « en prenant des mesures pour augmenter la flotte et de nouvelles routes afin de capter plus de trafic et de favoriser la connectivité régionale ».
D’autre part, la compagnie aérienne angolaise a également annoncé début juillet la reprise de ses vols vers Brazzaville, à compter du 2 août 2024, reliant Luanda à la capitale de la République du Congo à raison de deux fréquences hebdomadaires. Les vols partiront de Luanda vendredi et dimanche, opérés par un avion Dash-8 400, avec une capacité totale de 74 passagers (10 en classe affaires et 64 en classe économique).
bewa a commenté :
17 juillet 2024 - 13 h 45 min
ça fait plus de 6 ans qu’on attend ce fameux nouvel aéroport chaque année que c’en est devenu l’éléphant blanc local.
Il en va de même de la compagnie locale, qui a des ambitions mais qui sont bridées par une intrusion systématiques des élites politiques dans la gestion de la compagnie.
Tilo a commenté :
18 juillet 2024 - 12 h 51 min
Vous êtes pilote d’avions de ligne ?
Lebordelais a commenté :
21 juillet 2024 - 14 h 36 min
Les propos racistes devraient être censurés !