A partir du 3 juin 2024, la compagnie aérienne Twin Jet proposera deux vols directs aller-retour par semaine entre sa base de Marseille et l’aéroport trinational de Bâle-Mulhouse-Fribourg.
Les fréquences entre ces deux aéroports auront lieu chaque lundi et vendredi. Les billets sont disponibles auprès de toutes les agences de voyages, sur le site Internet de la compagnie www.twinjet.fr, et en appelant la centrale de réservation Twin Jet au 0892.707.737.
Pour rappel, Twin Jet est partenaire Flying Blue, programme de fidélité du groupe Air France – KLM. Les passagers peuvent cumuler des miles sur leur carte de fidélité et les utiliser sur toutes les compagnies membres de l’alliance.
fayçalair a commenté :
29 avril 2024 - 12 h 14 min
une compagnie a l’image de la France!!!!!
FL360 a commenté :
29 avril 2024 - 13 h 53 min
Twin Jet évolue tranquillement sur un marché sans concurrence avec des appareils certes rustiques, mais fiables et économiques.
Il suffisait d’y penser !
Lys a commenté :
29 avril 2024 - 19 h 43 min
Certes, Twinjet s’installe là où Air France ne va plus depuis plus ou moins longtemps, et où le mot concurrence n’a pas lieu d’être. Dernier avatar en date : Air France ayant fermé Lyon-Lille, Twinjet a pris le relais… et les prix se sont envolés. Résultat : ligne fermée au bout de moins d’un an. Il est vrai que le TGV, même avec escale à Roissy et Disneyland, fait le trajet en 3 heures et pour moins cher. Combien de temps va tenir la ligne Lyon-Pau, qui elle n’est concurrencée par aucune liaison autoroutière ou ferroviaire compétitive ? J’ai effectué le voyage Lyon-Milan l’an dernier : premier prix pour l’aller-retour : 220€. Il m’a suffi d’attendre (involontairement) 48h, six semaines avant le décollage, pour voir ce même aller-retour passer à 400,00€. La société ferroviaire Italienne Frecciarossa qui s’est installée sur Paris-Lyon-Milan a de beaux jours devant elle. Pour ce qui est de Lyon, les liaisons vers Zurich et Stuttgart ont disparu elles aussi. Dommage. Certes ces lignes sont des “niches”, vu les prix, les horaires, les fréquences, elles répondaient à un besoin de voyages d’affaires surtout, qui n’a manifestement pas suffi. Et Twinjet, c’est logique, n’ a pas d’état d’âme. Ou ça marche, ou ça casse…