Les objets confisqués dans les aéroports sont généralement traités selon des procédures spécifiques établies par les autorités aéroportuaires et les organismes de sécurité. Voici généralement ce qui se passe :
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Contrôle de sécurité initial : Lorsqu’un objet est jugé non conforme aux réglementations de sécurité de l’aéroport (comme des liquides en excès de la limite autorisée, des objets tranchants, etc.), il est confisqué lors du contrôle de sécurité.
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Traitement des objets confisqués : Les objets confisqués sont ensuite acheminés vers des zones dédiées où ils sont stockés en attente de traitement.
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Destruction ou récupération : Selon la nature de l’objet, il peut être détruit, recyclé ou récupéré par son propriétaire à un certain endroit spécifié par l’aéroport. Par exemple, les liquides en excès peuvent être détruits pour des raisons de sécurité, tandis que d’autres objets moins dangereux peuvent être récupérés à une certaine date et heure après avoir rempli certaines formalités.
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Vente aux enchères ou dons : Dans certains cas, les objets confisqués peuvent être vendus aux enchères ou donnés à des organisations caritatives après une période de stockage déterminée.
Ces procédures peuvent varier légèrement d’un aéroport à l’autre, mais elles sont généralement conçues pour assurer la sécurité des passagers tout en traitant les objets confisqués de manière efficace et éthique.
Traveller a commenté :
4 avril 2024 - 18 h 31 min
Dommage de parler de “confiscation”, qui a un sens légal qui n’est pas celui-là. Ces objets ne sont pas “confisqués” légalement.
Le passager accepte juste d’abandonner l’objet qui pose problème ; ou pas. Dans ce cas il peut retourner le faire enregistrer.
Mon avis personnel est qu’il est très important de détruire les objets avant de les abandonner, et que ces derniers ne soient en aucune façon récupérés.
Anna Stazzi a commenté :
4 avril 2024 - 20 h 33 min
Olivia, change ta pile, tu te répètes.
PETRIS a commenté :
4 avril 2024 - 22 h 08 min
Quand on fait un article sur les objets confisqués, il ne faut pas se limiter aux objets tranchants ou aux liquides de plus de 10CL. Les législations peuvent concerner les denrées alimentaires, le cash, les plantes, les médicaments…. C’est bien plus large. Et il faut aussi savoir qu’il y a presque 200 pays dans le monde. Avec des pays stricts et des pays totalement corrompus, avec des douaniers qui se partagent le butin. Il serait plus intéressant de parler de ça que des procédures théoriques
Traveller a commenté :
7 avril 2024 - 7 h 13 min
Ce n’est pas une différence entre théorie et pratique, c’est une différence entre douanes – qui elles peuvent en effet confisquer – et sûreté aérienne. Deux choses sans aucun rapport.