EasyJet étend ajoute de nouvelles liaisons à son programme estival depuis l’aéroport de Berlin-Brandebourg (BER) : vers Antalya, Izmir, Toulouse et Birmingham. La compagnie aérienne desservira également Salerne, sur la côte amalfitaine en Italie, pendant la haute saison, en juillet et août.
Avec ces nouvelles routes, easyJet répond à la demande croissante des voyageurs qui souhaitent découvrir de nouvelles destinations cet été. EasyJet propose au total plus de 50 liaisons au départ de BER dans le cadre de son programme de vols d’été de cette année. En plus d’autres liaisons supplémentaires vers Bordeaux, Paris, Copenhague, Rome et Zurich, easyJet propose cet été 200 000 sièges supplémentaires, également pour ceux qui décident à court terme.
Pour la première fois cet été, les voyageurs de BER peuvent également profiter du large éventail d’offres de vacances d’easyJet vacations – sa propre société de voyages à forfait – qui propose des milliers de vacances et d’escapades en ville au départ de Berlin/Brandebourg vers 47 destinations européennes, dont les plus populaires, telles que Barcelone, Majorque, Londres, Rome et Paris avec un choix de jusqu’à 3 000 hôtels.
Toutes les réservations d’easyJet Holidays incluent le vol, l’hôtel, un bagage enregistré de 23 kg par personne et le transfert à l’hôtel pour les vacances à la plage, et sont garanties contre un dépôt de seulement 75 EUR par personne. L’acompte peut être remboursé intégralement jusqu’à 60 jours avant le départ et les modifications de réservation peuvent être effectuées jusqu’à 28 jours avant le départ.
« Avec nos nouvelles destinations vers Antalya, Izmir, Salerne en Italie, Toulouse et Birmingham, nous élargissons notre réseau unique en tant que compagnie aérienne nationale de la région de la capitale et, ce faisant, offrons encore plus d’options pour un court voyage ou des vacances d’été », a commenté Stephan Erler, Country Manager d’easyJet en Allemagne et en Suisse. « En collaboration avec notre propre société de voyages à forfait easyJet vacations, nous gardons toujours un œil sur la demande de nouvelles destinations et adaptons continuellement notre réseau de routes afin de pouvoir proposer des destinations adaptées à tous nos clients. »
Les nouvelles liaisons :
- Berlin/Brandebourg – Toulouse, jusqu’à 2x par semaine (jeudi, dimanche) à partir du 31 mars
- Berlin/Brandebourg – Antalya, jusqu’à 2x par semaine (mardi, samedi) à partir du 17 mars
- Berlin/Brandebourg – Birmingham, jusqu’à 4 fois par semaine (lundi, mercredi, vendredi, dimanche) à partir du 1er avril
- Berlin/Brandebourg – Izmir, jusqu’à 2x par semaine (mercredi, samedi) à partir du 3 avril
- Berlin/Brandebourg – Salerne, jusqu’à 2 fois par semaine (lundi, vendredi) à partir du 12 juillet
@Airbus
N. Louvier a commenté :
20 mars 2024 - 15 h 07 min
https://www.lefigaro.fr/voyages/ce-que-je-vois-c-est-tout-ce-plastique-bali-croule-sous-les-ordures-au-grand-effroi-des-touristes-20240320
Pour ceux qui régulièrement sur ce site martèlent que l’avion pas cher est un acquis de la démocratie. C’est un saccage !
Greg6 a commenté :
20 mars 2024 - 18 h 29 min
S’ils ne sont pas capables de gérer les déchets, et le (trop) grand nombre de touristes en général, le moins hypocrite serait de limiter directement le nombre de visiteurs autorisés à entrer. Idem pour d’autres sites en danger à travers le monde.
Sinon cela veut dire qu’on confie aux compagnies aériennes le soin de faire le boulot d’un état et de filtrer les passagers ?
Un état veut profiter de la manne financière du tourisme de masse, mais sans chercher à adapter les infrastructures de gestion des déchets. Ni à légiférer sur le droit d’entrée. Mais sinon, c’est de la faute des avions. Bien sur.
pacolo a commenté :
21 mars 2024 - 21 h 41 min
Bonjour.
L’argument lamentable.
Combien de touristes et combien de locaux ?
Si les locaux n’ont pas de moyens pour que leurs déchets soit traités correctement il ne faut pas accabler les touristes.
On voit la même chose ailleurs alors qu’il n’y a pas de touristes, des décharges sauvages crées par des locaux sans civisme et sans conscience écologique.
Même en France.