Dans le cadre de la deuxième vague de nomination de ministres du gouvernement de Gabriel Attal, Patrice Vergriete a été nommé ministre délégué aux Transports, en remplacement de Clément Beaune.
Ex-maire divers gauche (DVG) de Dunkerque et ex-ministre du Logement dans le précédent gouvernement d’Elisabeth Borne, le ministre délégué aux Transports devra s’attaquer aux nombreux dossiers laissés par son prédécesseur : tarifs de la SNCF, voiture électrique à 100 euros par mois, péages autoroutiers, régulation des jets privés, gestion du trafic pendant les JO de Paris, taxation des concessions des autoroutes et des grands aéroports pour financer la transition écologique et le rail, etc.
Alors maire de Dunkerque, Patrice Vergriete s’était illustré en rendant les bus gratuits dans sa ville, une solution contestée alors que les transports manquent de financement. Avant de devenir ministre du Logement, en 2023, il avait assuré pendant quelques mois la présidence de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit).
Polytechnicien, ingénieur général des Ponts, docteur en aménagement, Patrice Vergriete, 55 ans, est issu d’un milieu modeste. Né d’un père ouvrier chaudronnier aux Chantiers de France et d’une mère femme au foyer, il a grandi dans la cité des Glacis à Dunkerque avant d’effectuer sa prépa scientifique dans le prestigieux lycée Louis-le-Grand à Paris.
Lyonnnais a commenté :
11 février 2024 - 4 h 47 min
S’il veut aider les entreprises françaises à créer de l’emploi, se développer économiquement (donc indirectement payer plus d’impôt!) tout en rendant le secteur aérien moins polluant, il y a un moyen simple, rapide, efficace et … cocorico !
il faut tout simplement convertir en “droit à polluer” les slots à Orly, sur la base du nombre de slots possédés par chaque compagnie, sur la base d’un taux de pollution actuel moyen. Cette conversion pourrait également inclure une base de décibels … !
Une fois cette grille de droits à pollution établie, il suffit de mettre en place une baisse tous les 5 ans, progressive et réaliste des droits… Parallèlement, chaque fois qu’une compagnie investira dans des moyens de baisse des nuisances environnementales, elle pourra de fait augmenter le nombre de ses vols…
Car le jour où l’on dispose d’avions électriques, pourquoi limiter le nombre de vols, s’il n’y a ni bruit ni pollution ?
Bien sur, cette méthode de comptabilisation des slots pourra être étendu à tous les aéroports, mais orly étant le plus restreint en nombre de décollage autorisé, c’est l’aéroport par lequel il faudrait commencer …!!!
Mosquito a commenté :
11 février 2024 - 11 h 30 min
..un moyen simple…il faut simplement….il suffit..
Ah si la vie etait aussi simple…
Et peut etre que si on arretait de voyager juste parce que c’est pas cher, juste pour aller glander sur une plage..,,
FL360 a commenté :
11 février 2024 - 19 h 13 min
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Quant aux avions électriques sans pollution, vous me donnerez la recette ! Non, l’électricité n’est pas verte, elle pollue : lithium, cobalt, et j’en passe !
Mais où avais-je la tête, c’est vrai, les batteries ne polluent pas chez nous, elles polluent juste les pays pauvres supportant l’extraction des métaux rares et le soi-disant recyclage des batteries sur leurs plages ! A bas pauvres, vive les bobos ignares !
FL360 a commenté :
11 février 2024 - 19 h 04 min
Hier ministre du logement, désormais ministre des transports.
Il n’y a aucun doute : cet homme est un spécialiste … un peu de tout, voire de rien du tout !