La nationalité d’un bébé né dans un avion dépend généralement de la législation du pays où l’avion se trouve au moment de la naissance. En règle générale, la plupart des pays appliquent le principe du “jus soli” (droit du sol), c’est-à-dire que toute personne née sur leur territoire est automatiquement citoyenne de ce pays. Cependant, il existe des nuances et des exceptions.

Si un bébé naît dans un avion en vol au-dessus d’un pays qui accorde automatiquement la citoyenneté en vertu du “jus soli“, alors le bébé pourrait être considéré comme citoyen de ce pays. Cela dépend également de la politique spécifique de ce pays en matière de naissances dans les airs.

Toutefois, certaines nations ne reconnaissent pas automatiquement la citoyenneté pour les bébés nés en vol au-dessus de leur territoire. Dans de tels cas, la nationalité de l’enfant pourrait être héritée de ses parents. Par exemple, si les parents sont citoyens américains, l’enfant pourrait hériter de la nationalité américaine, indépendamment de l’endroit où l’avion se trouve au moment de la naissance.

Il est important de noter que la situation légale peut être complexe et varier d’un pays à l’autre. Les parents du bébé né en avion devront souvent entreprendre des démarches administratives pour établir la nationalité de leur enfant conformément aux lois du pays concerné.

En fin de compte, la nationalité d’un bébé né dans un avion dépendra de plusieurs facteurs, notamment le lieu précis de la naissance, la politique du pays en matière de citoyenneté et la nationalité des parents.