Les produits confisqués à l’aéroport suivent un processus bien défini en accord avec les réglementations de sécurité et les lois en vigueur. Une fois qu’un passager se voit refuser le transport d’un article en raison de restrictions ou d’interdictions, ce produit suit généralement l’un des trois scénarios suivants.
Premièrement, si l’objet confisqué est considéré comme dangereux, tel qu’un objet pointu ou tranchant, des liquides en quantité excessive ou des objets contenant des substances interdites, il sera généralement détruit de manière sécurisée. Cela garantit qu’aucun objet potentiellement nuisible ne peut être utilisé pour compromettre la sécurité en vol.
Deuxièmement, certains articles inoffensifs mais interdits à bord, tels que des liquides excédant les limites de transport ou des articles contenant des produits chimiques restreints, peuvent être saisis pour être détruits ou conservés à des fins d’enquête, si nécessaire.
Troisièmement, pour les articles de valeur ou légaux qui ne respectent pas les règles de transport (comme les liquides achetés en zone hors taxes au-delà du point de contrôle de sécurité), les passagers peuvent avoir l’option de les envoyer en franchise postale à leur destination finale ou de les récupérer une fois de retour d’un voyage. Cela dépend souvent des politiques de l’aéroport et des autorités de sécurité.
Dans tous les cas, les autorités aéroportuaires font de leur mieux pour informer les passagers sur les règles en vigueur et les articles interdits avant leur voyage, afin de minimiser les perturbations et les frustrations. Les produits confisqués sont gérés conformément aux lois locales et aux protocoles de sécurité en place pour garantir la sûreté des vols et la protection des passagers et du personnel de l’aéroport.
Fred a commenté :
26 août 2023 - 7 h 18 min
Que de gaspillage !!! (produits hygiène, conserves,….etc)détruits qui pourraient être donnés à des asso pour les personnes dans le besoin !!
daisy a commenté :
26 août 2023 - 10 h 09 min
… le gaspillage provient d’abord des passagers
Shôgun a commenté :
26 août 2023 - 11 h 22 min
Votre indignation est certes compréhensible, mais il s’agit essentiellement de raisons de sécurité et de responsabilité.
On ne peut distribuer à des associations caritatives des produits confisqués pour lesquels on n’a aucune garantie que le contenu correspond à l’emballage, ni que les conditions de conservation ont été respectées de façon à assurer leur innocuité.
avon a commenté :
28 août 2023 - 17 h 01 min
Que fait-on des parfums saisis ? !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!