La compagnie aérienne Air France réinstaurera cet automne sur la ligne entre Paris et New York les numéros de vols utilisés par le Concorde jusqu’en mai 2003.
A partir du 29 octobre 2023, la première des cinq rotations quotidiennes de la compagnie nationale française entre sa base à Paris-CDG et l’aéroport de New York-JFK utilisera la numérotation mythique du supersonique. Opéré en Boeing 777-300ER, le vol AF002 quittera Roissy à 8h30 pour arriver (moins vite évidemment, durée de vol 8h20) à 11h50, et repartira des Etats-Unis sous code AF001 à 17h30 pour se poser le lendemain à 5h45 (durée de vol 7h15).
Air France proposera ce jour là cinq départs vers JFK (à 8h30 donc, 10h30, 13h30, 16h30 et 18h30), plus les deux opérés par Delta Air Lines, sa partenaire de coentreprise et dans l’alliance SkyTeam. A ces vols s’ajoute la rotation également quotidienne entre CDG et Newark-Liberty, qui sera opérée en Airbus A350-900.
©Air France
CDB777 a commenté :
26 juillet 2023 - 8 h 50 min
Petite correction :
Le vol AF002/001 sera effectué en A350-900 et non en B77W
Backdoor a commenté :
26 juillet 2023 - 9 h 55 min
C’est à n’en pas douter une information capitale pour les pax
Airbid a commenté :
26 juillet 2023 - 17 h 53 min
Très important en effet. Pendant ce temps Iberia rejoint la co entreprise BA/QR. On fait ce qu’on peut….
bergeron a commenté :
26 juillet 2023 - 10 h 37 min
Depuis l’arrivée des premiers moteurs à réaction avec le B 707, le temps de vol est resté et reste à 8h15 8H30, excepté avec Concorde. Il y a peut-être des améliorations à venir pour aller un peu plus vite.
…ou pas! a commenté :
26 juillet 2023 - 13 h 19 min
Le tout est de savoir si c’est aussi intéressant que ça de dépenser des sommes considérables pour gagner encore de la vitesse ou si l’on peut apprendre à vivre avec ce que l’on a.
L’expérience Concorde, avec entre autre les restrictions de survol terrestre cause boum supersonique, aura montré les limites en terme de vols possibles avec des appareils de ce type, même si de nombreuses lignes seraient possibles ailleurs dans le monde, avec cependant le même type de contraintes.
Il aura montré également que sur un axe transatlantique, la conjugaison des temps de vol et des décalages horaires rendait difficile la programmation d’horaires de vol pouvant en même temps satisfaire la demande clientèle et donc le commercial, les possibilités de correspondances à chaque bout de ligne – satisfaction du hub- et la nécessité de » faire tourner » la machine aussi vite que possible , en minimisant le béton fait en escale ou à la base- satisfaction de la rentabilité opérationnelle -.
Et si « les améliorations à venir pour aller un peu plus vite » que vous appelez de vos vœux ne doivent concerner que des vols subsoniques, oui, bien sûr, pourquoi pas, et espérons les.
Mais s’il y a un choix à faire pour savoir comment flécher les dépenses à venir de recherche et de développement pour ces fameuses améliorations, il me semble que les constructeurs, comme les compagnies exploitantes demanderont la priorité pour ce qui permettra des réductions immédiates des couts…et donc de prix des billets , ce qui satisfera la clientèle aérienne dont c’est très majoritairement la première attente…même au prix d’un voyage nécessitant quelques dizaines de minutes, voire une heure ou deux en plus sur les très très longs vols, qui ne sont par ailleurs pas le plus grand nombre.
Mr T a commenté :
27 juillet 2023 - 11 h 30 min
Il est possible aujourd’hui de construire un super concorde d une capacité de 200 places équipés de moteurs deux fois moins gourmand , ce qui serait rentable , la technologie actuelle le permet , mais qui se lancera dans l aventure ??
Nico a commenté :
26 juillet 2023 - 19 h 07 min
5 vols? Donc 2 (18h30 et 19h30) disparaissent.
Nico a commenté :
26 juillet 2023 - 19 h 11 min
Une fois de plus AJ raconte n’importe quoi.
Le 18h30 est aussi maintenu.
Pour info.
Bertrand Renard a commenté :
27 juillet 2023 - 6 h 49 min
8H30, 10H30, 10H30, 16H30, pour
Mr Duclos ça fait 5 vols.
C’est son droit…