Volotea, la compagnie aérienne des capitales régionales européennes, poursuit son développement en France avec l’inauguration hier de sa nouvelle base à Tarbes-Lourdes.
Elle y base un Airbus A319 avec une capacité de 156 sièges. L’ouverture de cette 8ème base en France s’accompagne de la création d’emplois locaux avec 31 emplois directs (20 postes de personnel navigant, 10 pilotes et 1 chef d’escale) et 25 autres emplois indirects (grâce notamment à la délégation des services d’escale, de maintenance, ou encore de restauration).
Au départ de l’aéroport de Tarbes-Lourdes, Volotea assure une liaison vers Paris-Orly, sa première délégation de service public en France, et lance quatre autres lignes exclusives à destination de Strasbourg, Naples, Palerme et Venise, pour des départs dès cet été.
Son programme de cette saison estivale :
-Tarbes-Lourdes – Paris-Orly : deux vols par jour, les matins et soirs, dès le 1er juillet 2022.
-Tarbes-Lourdes – Strasbourg : deux vols par semaine, les lundis et vendredis, dès le 1er juillet 2022.
-Tarbes-Lourdes – Naples : deux vols par semaine, les mercredis et samedis, dès le 2 juillet 2022.
-Tarbes-Lourdes – Palerme : deux vols par semaine, les mardis et samedis, dès le 2 juillet 2022.
-Tarbes-Lourdes – Venise : deux vols par semaine, les jeudis et dimanches, dès le 3 juillet 2022.
Les billets sont ouverts à la vente en France sur le site de Volotea et sur l’ensemble des canaux de distribution.
« Nous sommes très fiers d’annoncer le lancement de notre nouvelle base à l’aéroport de Tarbes-Lourdes et donc notre 8ème base sur le marché français ! Nous sommes également très heureux d’inaugurer la ligne Tarbes-Lourdes – Paris Orly et pouvoir ainsi assurer la continuité de la connexion cet été. Nous voyons également de belles opportunités pour la région et nous offrons dès cette semaine, 4 nouvelles exclusivités pour la saison estivale depuis Tarbes-Lourdes avec des liaisons directes vers Strasbourg et 3 autres destinations exclusives en Italie. Le lancement de cette base est aussi synonyme de création d’emplois puisque nous créons 31 emplois directs et au moins 25 emplois indirects à l’aéroport, sans compter les nombreux autres emplois à prévoir pour gérer l’activité supplémentaire générée par ce trafic additionnel », indique Céline Lacroix, responsable du développement international chez la compagnie aérienne espagnole.
@Volotea
Zailachi a commenté :
2 juillet 2022 - 22 h 50 min
Il devrait commencer par assurer les lignes existantes et arrêter d’annuler à tout va
Anne Stasi a commenté :
3 juillet 2022 - 11 h 42 min
Tarbes ? aéroport totalement inutile car Pau est à 70km. Il a été construit (Tarbes) pour satisfaire certains intérêts locaux et desservir Lourdes qui est une pompe à fric. Quant à l’aérogare, elle ressemble à un entrepôt d’Amazon et offre le même confort.
Pau? a commenté :
3 juillet 2022 - 21 h 18 min
Pau?: l’aéroport TOTALEMENT inutile: Tarbes est à 70 km à l’est et Biarritz 80 à l’ouest.
Pau a eu son heure de gloire fin XIX/ début XX siècle quand les Anglais s’y pressaient, mais ce temps là est fini.
Aujourd’hui il y a bien plus de gens allant à Lourdes qu’à Pau! A part la longueur du bras de son maire actuel, il n’y a guère d’autres raisons sérieuses qui expliqueraient la nécessité de conserver ouvert l’aéroport de Pau dans la trilogie régionale …
Moi a commenté :
3 juillet 2022 - 14 h 32 min
Encore des vols qui vont être retarder voir annuler !!!!!bravo Volotea surtout pour les clients mécontents peut être vous en avez pas assez !!!!
A320 a commenté :
4 juillet 2022 - 20 h 13 min
Et donc Volotea empochera 4,2 millions d’euros d’argent public pour desservir une ligne de soi-disant intérêt public… la blague ici!
A vrai dire, je ne sais même pas ce qui est le plus scandaleux. Que cette ligne soit subventionnée – alors que Lourdes est déjà connecté à CDG – ou que l’on verse des subventions à une compagnie comme Volotea, plusieurs fois condamnée en justice pour non respect du droit du travail, des règles communautaires et j’en passe… Ainsi, la France fait condamner Volotea par son inspection du travail et de l’autre main la subventionne pour qu’elle puisse continuer son dumping social dans l’hexagone. Chercher l’erreur!
Comment peut-on se féliciter de la création d’emplois précaires, saisonniers (donc aux frais du contribuable hors saison lorsque ces malheureux vont toquer à la porte de Pôle Emploi) et payés bien en-dessous des standards du secteur, pourtant déjà bas dans l’ensemble?
Cette compagnie est une honte qui ne respecte ni ses passagers, ni ses employés!