PLAY, low-cost islandaise opérant des vols entre l’Europe et les États-Unis, renforce son développement sur le marché américain en desservant Orlando (Floride) à compter du 30 septembre 2022.
Après Washington-Baltimore, Boston et New York-Stewart, qui débuteront respectivement en avril, mai et juin 2022, PLAY opèrera ses vols saisonniers de son hub de Reykjavik vers Orlando à la prochaine saison hivernale, entre septembre 2022 et avril 2023.
Aussi, les vols au départ de Paris-Charles de Gaulle vers l’aéroport international d’Orlando via l’aéroport international Keflavik de Reykjavik seront assurées à raison de 3 vols par semaine, les lundi, mercredi et vendredi pour une durée de vol de 12h45. Au retour, les vols seront opérés les mercredi, vendredi et dimanche pour une durée de vol de 12h10. Les ventes de billets au départ de Paris-Charles de Gaulle vers l’Islande et les Etats-Unis sont disponibles sur le site de la low cost.
Selon PLAY, la desserte d’Orlando soutiendra la saison hivernale en Floride, l’une des plus grandes destinations touristiques au monde. Les voyageurs auront également un accès rapide à l’aéroport international d’Orlando et à d’autres destinations en Floride via le service de train à grande vitesse Brightline du sud de la Floride, qui disposera d’une nouvelle ligne ferroviaire reliant Orlando à Miami. Les ventes de billets au départ de Paris-Charles de Gaulle vers Orlando via Reykjavik sont disponibles sur le site de PLAY à partir de 300 euros l’aller-retour.
À ce jour, la jeune low cost irlandaise exploite trois Airbus A320neo et A321neo, une flotte qui sera amenée à doubler d’ici l’été 2022. À l’heure actuelle, elle opère 4 vols par semaine, les lundi, jeudi, vendredi et dimanche, entre l’aéroport Paris-Charles de Gaulle et l’aéroport international de Keflavik de Reykjavik.
Sébastien A. a commenté :
13 mars 2022 - 15 h 20 min
Elle fera prochainement faillite ! Économiquement une compagnie «bas-coûts/bas-prix» long-courrier n’est pas viable. Simple à comprendre : la location des avions adaptés coûte cher, le carburant également, aussi les taxes d’atterrissage et de stationnement, l’hébergement des équipages, etc. Aucune compagnie qui a essayé d’occuper ce créneau n’a continué ou survécu !