En septembre 2021, easyJet a enregistré la meilleure performance en termes de voyages d’affaires depuis février 2020 sur l’ensemble de son réseau.
En France, 26 % des clients ayant volé avec easyJet durant la première semaine de septembre 2021 étaient des voyageurs d’affaires. Soit une proportion quasi similaire à la moyenne locale d’avant crise sanitaire (25 %). Le profil des passagers d’affaires easyJet comprend des grandes entreprises, des PME et des entrepreneurs. Et 58 % des voyageurs d’affaires volent sur des lignes domestiques.
“Nous sommes très heureux de voir des signes positifs de reprise des voyages d’affaires sur l’ensemble de notre réseau et en France plus particulièrement où la part des voyageurs d’affaires atteint plus de 30 % en moyenne et jusqu’à 50 % sur certaines lignes domestiques“, rapporte Bertrand Godinot, directeur général d’easyJet France.
Depuis le début de l’année, la low cost britannique constate effectivement “une tendance globale au maintien de la demande sur le segment voyages d’affaires. Fer de lance de la reprise, les PME ont été parmi les premières à relancer leurs déplacements en profitant notamment du réseau easyJet pour rejoindre les principaux pôles économiques européens et français“.
Priorité au réseau domestique
En France, easyJet a toujours attiré “une large clientèle d’affaires grâce à son réseau très développé, ses horaires de vol et son offre tarifaire abordable“. Avec sept bases régionales, easyJet estime qu’elle est “la compagnie aérienne la mieux positionnée pour proposer des vols tôt le matin et en fin de journée“. Au départ de la France, la compagnie dessert 140 destinations dont 40 en France et relie 21 aéroports français. La stratégie est de connecter les régions françaises entre elles -hors Paris- et de privilégier le développement de liaisons intérieures pour lesquelles voyager en voiture ou en train est moins pertinent en termes de temps et de coût. Parmi les dernières nouveautés domestiques adaptées aux besoins des voyageurs d’affaires, easyJet propose Paris-Orly – Montpellier et Paris-Orly – Toulon.
Pour cette rentrée, easyJet a renforcé la “connectivité affaires” en augmentant les fréquences des lignes suivantes :
Sur le domestique
-Paris-Nice et Toulouse
-Nantes-Toulouse
-Nantes-Lyon
-Lyon-Bordeaux
-Lyon-Toulouse
Sur l’Europe
-Paris-Berlin
-Paris-Milan
-Paris-Venise
-Paris-Londres
Les nouveautés
-Paris-CDG – Bergame
-Paris-Orly – Montpellier et Toulon
Max1 a commenté :
6 octobre 2021 - 11 h 54 min
Easy jet
– bien placée pour se positionner sur ce segment ! Voyage professionnel.
– flexibilité à l écart des imposantes structures des compagnies nationales par exemple !
– pour avoir pris de nombreuses fois easy jet entre Lyon et gatwick . Cette compagnie s adapte. Pour le voyage d affaires elle a tous les atouts !
@max1 a commenté :
6 octobre 2021 - 15 h 08 min
Ce qui doit être bien placé, c’est votre petite rétribution pour ce petit post ….
Tous les voyageurs d’affaires savent bien que le low-cost ne présente pas autant d’avantages en termes flexibilité que les compagnies major. On parle ici de la flexibilité en termes de changements possibles ( le plus souvent payants ) , de fréquences ( est il possible de faire l’aller retour dans la journée ? ) , d’heure limite d’enregistrement ( à quelle heure au plus tard dois-je me présenter pour embarquer ) .
L’avantage : c’est le prix, la plupart du temps . Ce qui n’est pas un critère négligeable.
ALExxx a commenté :
6 octobre 2021 - 16 h 09 min
La flexibilité se paie cher chez EasyJet, et ca n’a plus rien de low cost.
Autant prendre une Major et avoir accès au Salon
Max1 a commenté :
6 octobre 2021 - 22 h 11 min
ALE
– En effet si cette low cost s organise por attirer une clientèle d affaire . Elle réajustera ses prix , prestations , horaires , et configuration des 320.
Businessfly a commenté :
7 octobre 2021 - 13 h 10 min
Si les compagnies low cost continuent de grignoter des parts de marché sur les voyages d’affaires (+/- 8% par an ; presque 49% des voyages affaires avant COVID) c’est que les entreprises y trouvent leur compte et que les low cost ont réussi à s’adapter à la demande.D’ailleurs les “majors” ont elles encore une place sur le court et moyen courrier ? La stratégie d’AF de développer Transavia nous laisse supposer que non car pour les voyageurs affaires ou loisirs sur des vols aussi courts seul aller d’un point A à un point B compte ; et finalement à part quelques “chichis” et courbettes supplémentaires, les majors ne proposent rien de bien plus intéressant qu’easyJet. Et puis vu les économies générées à la longue si il faut payer des frais une fois de temps à autres pour un changement ce n’est pas bien grave (et encore il me semble que les easyJet+ ne paient pas) quant aux fréquences de easyjet elles sont tout aussi intéressantes