Boeing a dégagé au deuxième trimestre un bénéfice de 587 millions de dollars, alors qu’il affichait une perte de 2,4 milliards sur la même période l’année dernière. La reprise des livraisons des 737 MAX y est pour quelque chose, même si la branche avions commerciaux reste dans le rouge.
Sur la période avril-juin 2021, l’avionneur américain a vu son chiffre d’affaires augmenter de 44% à 17,0 milliards de dollars, « tiré par une augmentation du chiffre d’affaires et des services de la division Aviation Commerciale (BCA) ». Pour cette dernière, le carnet de commandes (backlog) a atteint 4155 appareils d’une valeur affichée de 285 milliards de dollars, 180 nouvelles commandes nettes ayant été enregistrées au T2 et 79 avions livrés aux compagnies aériennes et sociétés de leasing (contre 20 l’année dernière).
Depuis le feu vert de la FAA en novembre dernier, 616 jours après le dernier vol commercial des monocouloirs remotorisés impliqués dans deux accidents ayant fait 346 victimes chez les compagnies aériennes Lion Air puis Ethiopian Airlines, Boeing a livré plus de 130 737 MAX. 30 compagnies aériennes ont remis leurs flottes de MAX en service, « effectuant en toute sécurité près de 95.000 vols payants totalisant plus de 218.000 heures de vol », et plus de 280 commandes brutes pour les MAX ont été gagnées durant le trimestre.
Mais le ralentissement temporaire de la production du 787 Dreamliner ne lui permettra pas de profiter à plein de la reprise post-pandémie du transport aérien. « Nous effectuons des inspections et retravaillons et continuons à engager des discussions détaillées avec la FAA sur la méthodologie de vérification pour le 787 avant de reprendre les livraisons. Encore une fois, bien que cela ait un impact à court terme, nous nous engageons pleinement à améliorer la qualité et la stabilité de nos opérations pour la première fois », souligne un communiqué aux employés diffusé hier.
« Nous avons accompli d’importants progrès au cours du deuxième trimestre en mettant l’accent sur la stabilité dans l’ensemble de nos activités et la transformation de nos opérations pour le futur », a déclaré dans un communiqué David Calhoun, Président-directeur général de Boeing. « Tandis que notre marché commercial poursuit son redressement, nous suivons attentivement l’évolution du nombre de cas de Covid-19, la progression des programmes de vaccination et la situation du commerce international qui représentent des indicateurs de stabilité clés pour notre industrie ».
Ce bon résultat implique pour Boeing une stabilisation des effectifs : alors que fin 2019 le groupe envisageait de passer de 160.000 à 131.000 employés, il ne devrait plus y avoir de suppressions de postes, avec un maintien aux niveaux actuels d’environ 140.000. Selon le dirigeant, « à l’avenir, le rythme de la reprise du marché commercial, les relations commerciales avec la Chine et nos propres performances seront des catalyseurs clés des niveaux d’emploi globaux ».
« Tout en continuant notre préparation dans l’optique d’une solide reprise, nous demeurons pleinement engagés en faveur de la sécurité et de la qualité, et investissons en faveur de nos employés, de nos produits et de notre technologie. Je suis fier de la résilience et de l’engagement dont nos équipes font preuve pour regagner la confiance, améliorer nos performances et répondre aux attentes de nos clients dans les secteurs de l’aviation commerciale, de la défense, de l’espace et des services », a déclaré Dave Calhoun.
Brand new UPS 747-8F N629UP taxi test at KPAE this evening pic.twitter.com/csjbHhqetu
— Jennifer Schuld (@JenSchuld) July 28, 2021
rv2lyon a commenté :
29 juillet 2021 - 9 h 05 min
Nous allons très certainement sur cet article voir se déchaîner les pro et anti Boeing. Factuellement si Boeing ne sombrera pas car de toute façon aidé par le gouvernement US sur tous les programmes militaires et spaciaux, la branche aéronautique civile a pris un sérieux coup dans l’aile si l’on puis dire.
Le backlog est passé de près de 7000 à 4000 commandes ce qui assaini les délais de livraison, mais la problématique reste selon moi la même en ayant dépensé des dizaines de milliards de dollar pour la crise du MAX et du 787, le report perpétuel du 777X, Boeing n’a pas sauf aides multiples, les finances pour des nouveaux programmes à sortir dans les 10 ans. Car cela serait maintenant qu’il faudrait démarrer les programmes soit pour un concurrent au 321XLR soit concevoir un vrai nouveau 737. Les Chinois avancent grandement sur leur programme, les russes sont eux aussi sur les rangs avec un avion certes plus petit mais il va y avoir un marché énorme pour les avions 100 à 200 places qui avec les progrès seront capables de tous faire du transcontinental voir pour certains du transatlantique. Ces avions plus légers, plus efficients seront le coeur de marché de l’avenir. COMAC Sukhoi et Airbus avec l’A220 ont déjà un avion moderne qui pourra évoluer. Embraer est seul dans son coin le rapprochement avec Boeing ne s’étant pas fait. Le constructeur Américain va devoir reconcevoir un avion de A à Z moderne et fiable pour ensuite remplir le créneau 200 à 350 passagers par le successeur du 787.
Chez Boeing…chez Airbus: problématiques des gammes. a commenté :
29 juillet 2021 - 10 h 33 min
Chez Boeing:
Le renouvellement du haut de la gamme est fait avec le 777X en différentes versions, même si son entrée en service sera en retard et même si quelques problèmes sont apparus, il n’empêche que à terme, ce sera lui le poulain Boeing dans cette tranche du marché. Une version fret vera aussi certainement le jour en temps et heures, surtout maintenant que le board Airbus a donné son accord pour le 350F .
En milieu de gamme: le 787 dans ses différentes versions, au delà de ses problèmes initiaux reste un appareil moderne et performant : cette partie de la gamme n’a donc aucun nouveau développement majeur à attendre avant longtemps.
Les soucis de Boeing se concentrent ( pour la partie civile en tout cas) sur le bas de gamme (100-200 sièges) moyen courrier et le segment gamme intermédiaire basse en moyen et en long courrier ( 180-280 sièges):
Sur Le 737 Max’ il n’y a plus grand chose à dire de nouveau. Cet appareil a l’histoire, l’image et les performances qu’on lui connaît et plusieurs milliers sont toujours en commande, d’autres commandes viendront assurément. Toutefois ce 737Max reste uniquement sur le segment supérieur du moyen courrier 170/230 sièges): il ne s’aventure ni sur du long courrier, et n’est pas compétitif sur le segment me-bas (120-150 sièges): Boeing ayant cessé son rapproché avec Embraer se retrouve aujourd’hui tout nu sur ce dernier segment : mais ce segment peut il suffire à Boeing pour qu’il y consacre moyens humains et financements au développement d’un appareil spécifique : on peut en douter et alors la seule autre option chez Boeing est l’abandon de ce segment pour plusieurs années…à la génération suivante d’avion, on Véra bien…
Reste le problème du segment intermédiaire bas: c’est tout l’enjeu du NMA …si celui ci doit arriver. Boeing a déjà abandonné l’idée d’un appareil unique pour du gros- moyen courrier, du petit long courrier(180/200 sièges), et du long courrier 250 sièges moyenne capacité : on ne remplacera pas les 757MC+ 757LC+767MC+767LC par un appareil unique: c’est acte et le « nouveau NMA évoqué par le pdg se concentra sur le LC 250-300 sièges avec distance franchissable limitée ( pour ne pas concurrencer le 787 qui s’occupe du très long courrier…Cependant au jour d’aujourd’hui, pour Boeing le problème est le financement et la possibilité technique de créer un vrai trou technologique avec sa concurrence, qui apporterait suffisamment de gain en opérations pouvant décider les compagnies à s’engager..Boeing y travaille, assurément.
Chez Airbus:
Le très haut de gamme capacitaire a été sacrifié:le 380 est arrêté et rien n’est prévu dans un futur réaliste à son sujet.
Le haut de gamme capacitaire a été renouvelé avec les 350-900/1000, et la possibilité à moindre frais d’un 350-110( ou 1200 si on veut) au cas où le marché le demanderait…mais pour l’instant, il est en ce domaine urgent d’attendre. Et compte tenu des circonstances economics-commerciales, la capacité relativement moyenne des 350-900 et 1000 reste plutôt un avantage qu’un inconvénient.
De plus le board Airbus vient d’autoriser le développement d’un A350 Fret , de plus assemblé des 2024/25 sur la même ligne de production que les versions passager ce qui les rentabilisera mieux .
Sur le tout bas de gamme capacitaire (100-150) Airbus a acté l’A220-100/300 comme son poulain officiel…restera une version -500 d’environ 170/180 sièges à lancer: après l’A350Ff, ce pourrait être la prochaine grosse décision du Board d’ici à la fin de l’année.
Cette version -500 , simple extension dérivée du -300 sera peu coûteuse car fondamentalement déjà prévue par Bombardier au temps du développement initial de CSeries…Donc les bases sont là.Il concurrencera l’A320néo en partie, mais compte tenu de sa plus grande nouveauté fondamentale d’une part et des milliers et milliers de 320 neo deja commandes et encore à construire, il y a n partie de la place pour deux chez Airbus sur ce segment…d’autant que d’autres commandes d’A320 neo viendront à n’en pas douter…toutefois cet appareil arrivera certainement en fin de carrière industrielle vers la fin de la décennie 2030…..
Ce qui entraînera la fin industrielle également
La suite ( désole,erreur de manip)… a commenté :
29 juillet 2021 - 10 h 43 min
…Ce qui entraînera également la fin industrielle d’en la version A321 MC+LR+XLR , versions qui aujourd’hui sont vraiment les chevaux de trait de la famille 320/321…
Airbus se doit donc de réfléchir à son « NMA-à-lui » car outre les 321 LR/XLR, Airbus verra alors aussi arriver à la fin son programme 330 Neo: c’est dans ces espaces MC- haute capacité (190/250 sièges) et LC- petite capacité (200-300) sièges que Airbus doit concentrer ses ressources et recherches pour proposer des solutions vraiment innovantes au marché , offrant un vrai gain de productivité en opérations aux compagnies.
Il n’est pas évident qu’une cellule unique, fut elle techno logiquement en avance puisse suffire à combler ces deux parties du marché: deux appareils pourraient être nécessaires, ce qui accroîtra les besoins humains ( ingénieurs développement) et surtout financiers…pas gagné! Comme aujourd’hui Airbus aurait alors une gamme complète sur 4 appareils: A220 toutes versions/ Nouvel NMA-MC/ Nouvel NMA-LC/ A350 toutes versions.
Bref, tant chez Boeing que chez Airbus, il y a du pain sur la planche: ça va être passionnant à suivre!
Merci pour cet exposé a commenté :
29 juillet 2021 - 21 h 12 min
Merci pour cet exposé comparatif assez complet de l’état des gammes d’avions commerciaux chez Airbus et Boeing, L’avenir dira si vous avez raison.
Cependant je constate que Boeing selon vous à deux gros points durs dans sa gamme: le moyen-courrier inférieur à 150 sièges d’une part, et d’autre part la tranche 220/300 sièges à la fois en long- courrier ( pas le très long…) et en moyen courrier….
Curieusement cette dernière tranche 200-300 sièges moyen plus long paraît être aussi une zone de nouveautés à venir chez Airbus qui donc, selon vous à quand même un peu plus de temps devant lui grâce à ses 321Neo à 240 places en moyen plus ses 321LR/XLR en long, plus son 330 neo pour le long 250/300 places.
C’est en définitive surprenant que cette catégorie 200-300 sièges LC+MC soit justement celle qui devra retenir l’attention des deux constructeurs dans les années à venir!
poseidon a commenté :
29 juillet 2021 - 13 h 37 min
boeing se refait la cerise en livrant enfin les max bloqué depuis 18 mois sur les tarmac..
donc oui cette année il va livrer autant que airbus..
mais la suite il serait interessant de connaitre le nombre de nouvelles commandes de max et à quel prix…
quand le marché va repartir en 2023…
je vois pas boeing vendre autant que airbus…
car il n’a pas les avions monocouloirs LR.. recherchés par les companies..
THE BOSS a commenté :
29 juillet 2021 - 14 h 17 min
Ce gros mensonge est une simple action de COM pour rassurer les actionnaires. La vérité c’est que Boeing ne sait plus fabriquer des avions valables et il est en faillite comptable confirmée sauf que l’oncle Sam ne permettra pas qu’il fasse faillite (Too big to fail).La faillite sera forcément confirmée et admise vers 2024/2025 .C’est la fin des haricots pour ce sympathique avionneur mais il doit savoir quitter la table dans la dignité.
Greg765 a commenté :
29 juillet 2021 - 16 h 11 min
J’espère quand même qu’ils auront le temps de livrer les Max d’easyJet avant de faire faillite hein ? ?
Boeing encore constructeur d’avions civils après demain ? a commenté :
29 juillet 2021 - 17 h 23 min
La question de l’éventuelle sortie de Boeing du secteur avions civils , a l’image de ce que fit Lockheed il y a plusieurs décennies, à depuis longtemps été posée sur ce forum…
Cela semblait ridicule à beaucoup il y a encore peu, mais il faut de plus en plus admettre devant la tournure problématique prise par les événements sur les conception/ industrialisation/ certification/ production/ livraison des 737Max /737non Max/787/777X, et leurs immenses conséquences financières, la-dite question se renforce de mois en mois…
Car ce qui tient l’édifice, bien sûr, c’est l’ensemble argent- actionnaire…Or question argent, Boeing croule sous les emprunts qui ont été nécessaires pour survivre: à cause du secteur civil, bien sûr, mais pas que: les KC46 ravitailleurs sur base 767 posent de gros soucis techniques et financiers….qui plombent le programme et le constructeur…
Le programme « queue de comète » des 2 B747 présidentiels ( déjà,en soi, ce ne sera pas deux ventes supplémentaires pour Boeing, puisque les coques sont celles qui auraient dû aller au russe Transaeros’il n’avait pas fait faillite !), ce programme signé « à prix fixe » s’avère lui aussi un goufffre financier pour Boeing tant il est farci de problèmes imprévus liés à la sécurisation nécessaire des appareils…dont la résolution augmente les coûts …
les appareils purement défense militaire sont ok a ce jour, mais leur succession demande recherche…et donc financées. Car il ne faut pas oublier que sur le marché militaire pur, Boeing a encore des concurrents américains très performants sur le plan technique ( Northrop, Lockheed…) qui pourrait fort bien lui ravir des marchés US et laisser Boeing sur le carreau…donc en panne sèche côté mane financière future…
Boeing ne peut donc pas tirer sans limite sur la ficelle financière militaire d’aujourd’hui, à cause des retombées négatives potentielles futures sur les futurs programmes qui pourraient passer à la concurrence américaine:
Quand à la sectionBoeingSpace ,plusieurs échecs récents sur le front des satellites ne la rende pas super attirante, et donc super rentable en ce moment. D’autant que là aussi il y a de la concurrence us pour lui rendre la partie plus compliquée..
Idem chez les voilures tournantes ou Boeing n’est pas seul sur ce marché militant usa..
Les finances de Boeing sont donc contraintes, le secteur civile est sur ce plan aujourd’hui une cata et nécessitera demain de très très gros investissements pour rester compétitifs avec de nouveaux produits..
Les secteurs militaires ont une limite au soutien financier qu’ils peuvent jouer à cause de la concurrence intra- usa…et nécessiteront eux aussi de très gros investissements demain pour rester sur ces marchés…Pas certain que ces secteurs militaires pourront dégager assez de financements pour à la fois 1) supporter longtemps la cata financière d’aujourd’hui du civil 2) d’auto financer sur la recherche- développement – industrialisation du militaire et 3) financer la recherche- développement – industrialisation du civil de demain…
Ça risque de tanguer dur et les actionnaires vont pousser fort le management à faire de vrais choix stratégiques…et c’est là que la branche civile pourrait être coupée pour sauver le reste…
THE BOSS a commenté :
30 juillet 2021 - 0 h 58 min
Cette histoire de bénéfice fictif et comptablement bidouillé est une pure comédie destinée aux actionnaires. Ce n’est pas un hasard si la RUSSIE et la CHINE ne recertifient pas le 737 MAXMALHEUR. Ce cercueil volant a été recertifié en Europe par pression des USA sinon l’oncle Sam va retirer ses dollars de l’OTAN. La CHINE et la RUSSIE sont des superpuissances, pas des vassaux de l’oncle Sam. Même vendu à partir de 499 Euros/mois ce Max malheur ne trouvera pas acheteur et même les exemplaires déjà commandés verront les annulations tomber en cascade. Il parait que Boeing est en train de le proposer au prix d’une TESLA électrique et personne n’en veut à part les pays pauvres comme la Mauritanie et les iles NULPART ainsi que les compagnies-voyoux comme RYANAIR, AIR MEXICO et ALASKA AIRWAYS et après un inévitable crash ils vous diront (enfin à votre famille !) après un crash: ben vous êtes assuré non ? L’IATA va indemniser votre famille à hauteur de 100 000 $ et puis voila voila
rv2lyon a commenté :
1 août 2021 - 19 h 05 min
Il est vrai que vous êtes certainement un grand expert comptable pour avoir analysé les résultats de Boeing pour dire que les chiffres sont truqués, que vous êtes un grand espion pour avoir pu vérifier que les petits chef d’états Européens avaient fait dans leur froc pour vite dire oui oui à l’oncle Sam. Très fine analyse sans aucun parti pris!
Tilo a commenté :
1 août 2021 - 23 h 40 min
Ceux qui pensent que Boeing finira comme McDonnell Douglas se mettent les doigts dans les yeux même si il est vrai ils accumules les pertes financières ça n’arrivera, Boeing est une entreprise trop puissante pour mourir ils finiront par se ressaisir même Airbus le sais il n’ y a que vous qui faitent semblant de pas y croire .
Le 737 max n’est pas rentable pour le moment mais le sera dans un futur proche et arrêter de déformé les chiffres comme je le vois souvent ici, le max est plus proche des 4 000 commandes que des 3 000 le a320neo proche des 7 000 donc il y a 3 000 commandes de différence. En fin de carrière des deux avions la famille a320neo sera peut-être a seulement 1 000 comme de plus que la famille 737 max. Le 787 le plus bel avion actuellement une fois les problèmes structurels résolu les commandes et livraisons repartirons , quand au 777-9x que certains annonce mort né vous allez vite changé de discours en 2024 c’est le cauchemar d’Airbus cette avion qui a précipité l’arrêt de production de l’a380 car Airbus savait que le triple 7 x aller de toute façon achevé l’a380. Le 777-9 sera la reine des cieux et le véritable remplaçant du mythique 747, en tout cas bravo à Boeing pour ces résultats plutôt positif même si tout n’est pas encore parfait ça progresse.
Ben…y’a personne qui pense que Boeing finira comme MDD… a commenté :
2 août 2021 - 9 h 05 min
Dans tous les commentaires que j’ai lus ici sur ce sujet, aucun ne prédisait pour Boeing un avenir à la MacDonellDouglas ( rachat-absorbtion-disparition).
Ceux que j’ai lus parlaient d’un avenir à la Lockheed ( entreprise redevenue brillante techniquement et rentable financièrement après amputation de sa branche aviation commerciale et sortie de ce marché): ça n’est pas la même chose du tout !
Checklist a commenté :
22 août 2021 - 22 h 24 min
Eh beh
Qu’est ce qui a comme analystes du Dimanche !?
Mais les lundis venus… a commenté :
23 août 2021 - 9 h 51 min
…on s’aperçoit que tous les lundis ne sont pas des « lundis au soleil « pour tous….
Les petites certitudes aveuglées ne contrent pas une tendance lourde de questionnement.