La nouvelle compagnie aérienne EGO Airways a opéré son premier vol commercial en Italie après quatre mois de charters, reliant Catane à Parme. Mais elle dispose toujours que d’un seul avion au lieu des deux prévus.
Lancé le 30 mars 2021, le premier vol commercial de la nouvelle compagnie italienne a relié Catane-Fontanarossa à l’aéroport de Parme-Giuseppe Verdi, son unique Embraer 190-100LR pouvant accueillir 12 passagers en classe Affaires et 88 en Economie se posant ensuite à Lamezia-Terme et sa future base de Forli. Basée officiellement à Milan-Malpensa, EGO Airways propose actuellement un réseau incluant aussi Bari, Catane et Florence, avec le 28 mai le lancement de liaisons internationales entre Forli et Ibiza ou Mykonos, ainsi que des vols vers Olbia, Cagliari et Brindisi. Le mois de juin devrait la voir se poser à Bergame, et Rome. Une fois ce réseau intérieur installé, elle compte passer à « l’alimentation des vols internationaux » via le hub de Malpensa, où aucune réservation n’est disponible à ce jour. La concurrence sur ces routes domestiques viendra principalement d’Alitalia/ITA et de la low cost Ryanair.
Les prix proposés aux passagers d’EGO Airways sont à partir de 48,90 euros pour le tarif JUST GO, et à partir de 98,90 euros pour le tarif PRIVATE (il existe aussi une classe LOUNGE entre les deux), « se différenciant principalement pour les options de sièges » selon son communiqué. Les clients peuvent personnaliser leur choix lors de la réservation ou lors de l’enregistrement, en choisissant entre les options proposées.
EGO Airways proposera en vol « des menus gourmands (« dans le respect de la dernière réglementation Covid-19 ») sur des produits frais italiens, ainsi que des repas vegan, protéiques et super sains « à ceux qui ne veulent pas renoncer à leur mode de vie même en voyage ». Les uniformes ont été conçus par Andres Romo, directeur de la création d’EGV1, et comme les « intérieurs extrêmement soignés » des avions sont quelques-uns des ingrédients de l’expérience de vol « visant à recréer le savoir-faire italien même à dix mille mètres d’altitude ».
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