Aston Martin a confirmé le lancement de la production de la DBS Superlegera Concorde Edition, édition limité de son coupé annoncée par la compagnie aérienne British Airways dans le cadre des célébrations de son centenaire.
Le projet lancé il y a un an est devenu réalité, avec quelques mois de retard dus à la pandémie de Covid-19 : Aston Martin a dévoilé la version limitée de son coupé de luxe, qui ne sera produit qu’à dix exemplaires au prix de 321.350 £ et vendu uniquement chez Aston Martin Bristol (près de l’endroit où une partie du Concorde était produit). Avec son V12 5.2 litres biturbo de 725 ch et 900 Nm, la DBS Superlegera Concorde Edition est équipée de pales de compresseur en titane utilisées dans l’ensemble de la flotte supersonique de British Airways. Chaque exemplaire portera un numéro d’enregistrement unique « approuvé par la CAA (autorité de l’aviation civile) » et l’emblématique drapeau de Chatham des avions de British Airways « a été intégré dans le design ».
L’extérieur de l’Aston Martin présente une livrée peinte sur mesure dans les couleurs rouge, blanc et bleu de la compagnie, ainsi qu’un toit en fibre de carbone teinté noir « arborant la silhouette profilée de Concorde ». Les palettes de vitesse sont fabriquées à partir du métal Concorde d’origine, et un graphique Mach Meter est brodé sur le pare-soleil du conducteur ; « voici certaines des nombreuses caractéristiques de conception soigneusement évaluées qui ont été intégrées pour célébrer les réalisations remarquables de cet avion », détaillait British Airways dans un communiqué.
Une partie du produit de la vente de chaque voiture sera reversée à Air League Trust, une organisation à but non lucratif qui enseigne aux enfants défavorisés comment « voler et travailler dans le secteur de l’ingénierie ».
Le 26 novembre 2003, Alpha Foxtrot, le dernier Concorde à être construit, a atterri pour la dernière fois à la RAF Filton, à trois miles seulement du lieu de vente des voitures, où est abrité l’un des dix Concorde fabriqués en Grande Bretagne.
A l’autre bout du spectre... a commenté :
21 décembre 2020 - 11 h 50 min
Renault,dit-on,serait sur le point de trouver un accord avec Easyjet- France pour la renaissance d’une
« 4L EasyCar « vendue uniquement en livrée orange, comme on en vit tant dans nos rues et nos campagnes dans les années 70… It’s revival time!
Bencello a commenté :
22 décembre 2020 - 12 h 00 min
Mince…
Et moi qui rêvait d’un partenariat ATR – Citroën 2CV, en mode taxi-brousse, pour pouvoir transporter le fameux “panier à œufs” à l’autre bout du monde.
Amstein a commenté :
22 décembre 2020 - 8 h 56 min
Cette saleté de virus aura au moins quelques chose de positif, il aura forcé bien des constructeurs et autres à innover dans de nouvelles directions.