Une enquête a été ouverte sur une hôtesse de l’air affirmant travailler pour la compagnie aérienne British Airways, qui vend sur internet des « services pour adulte » dans les hôtels où elle fait escale mais aussi en vol.
Révélée par le tabloïd britannique The Sun, l’affaire concerne une PNC vendant sur les réseaux sociaux des services sexuels, images osées (visiblement prises en cabine d’avion) et vente de petites culottes à l’appui. Et ses messages sont sans équivoque : la dame a notamment déclaré « vous devrez payer des frais de garantie de 50 £ pour nous réunir. Les prix varient en fonction de la rencontre demandée – pas de négociation ». Ou encore : « Si j’ai réservé un hôtel pour le travail, la rencontre aura lieu là-bas (Londres) ». Et quand elle n’est pas au travail sur les vols de British Airways, ce n’est pas un problème : « vous devez réserver un autre hôtel pour la protection et la confidentialité ». Elle se vante aussi de partager ces moments avec d’autres membres d’équipage, par exemple dans un hôtel d’Edimbourg : « rien de mieux que de se saouler avec mon pilote, pour qu’il puisse faire ce qu’il veut de moi ».
Mais ses activités de péripatéticienne ne sont pas réservées au plancher des vaches : « Si jamais vous voulez des divertissements pour adultes à bord, tout ce que vous avez à faire est de me donner une somme d’argent, et vous aurez droit à une toute autre expérience de votre choix ».
L’uniforme et les avions ont été identifiés comme étant bien ceux de British Airways, mais les réactions des autres employés varient : pour l’un, « elle se prostitue clairement et stimule son activité en utilisant des photos prises à bord des avions de BA. C’est un manquement choquant au devoir et à l’image que BA veut de son personnel de cabine ».
Mais pour d’autres, l’hôtesse ne fait que « compléter ses revenus » après les baisses de salaire liées à la pandémie de Covid-19. Cela met en évidence « un point grave, de nombreux membres du personnel ne peuvent pas se permettre de vivre avec des salaires réduits, et elle collecte des fonds à son rythme ». Tout en reconnaissant que la femme « jette le discrédit sur son employeur et se met en grand danger ».
British Airways cherche désormais à identifier la femme, déclarant que « nous attendons à tout moment le plus haut niveau de comportement de tous nos employés et nous enquêtons sur ces allégations ».
https://twitter.com/DeviantTrinity/status/1332921922443730946
Leo a commenté :
1 décembre 2020 - 10 h 24 min
Hahaha dis donc faut les aimer bien en chair la quand même lol.
Nicolas a commenté :
1 décembre 2020 - 11 h 50 min
Il est regrettable d’avoir illustré cet article avec une photo de BA représentant une hôtesse totalement étrangère à cette affaire. Et il serait de bon ton de reconnaître votre erreur en enlevant cette photo !
+1.000! a commenté :
1 décembre 2020 - 12 h 23 min
L’association d’idées semble un concept qui dépasse les habitudes de construction d’article spontanees- pour ne pas dire primaires – …La réflexion, l’analyse n’y tient apparemment aucune place!
A300-600 a commenté :
1 décembre 2020 - 20 h 26 min
+1
jack a commenté :
1 décembre 2020 - 15 h 20 min
comme le chantait le grand Jacques
Fini le pilotage
Mais vive le pelotage.
Fini le décollage
Mais vive le collage.
L’avion est détourné.
On en est tout retourné.
Toute ma vie, j’ai rêvé
D’être une hôtesse de l’air.
Toute ma vie, j’ai rêvé
D’avoir des talons hauts.
Toute ma vie, j’ai rêvé
De voir le bas d’en haut.
Toute ma vie, j’ai rêvé
D’avoir, d’avoir
Les fesses en l’air.
Dadou a commenté :
2 décembre 2020 - 11 h 48 min
Et en plus poête à ses heures !
DN1 a commenté :
1 décembre 2020 - 17 h 18 min
Il y a des simulations de vol et maintenant des stimulations de vol
GUB a commenté :
1 décembre 2020 - 19 h 42 min
Joli!
BAH! Après tout... a commenté :
2 décembre 2020 - 9 h 19 min
Après tout…c’est un métier comme un autre, et meme, parait-il, le plus vieux métier du monde! Alors: respect pour les travailleuses! ( encore que: un ancien Directeur du SDECE – une officine d’espionnage française, jadis, avait l’habitude de dire que non ce n’était pas le plus vieux métier du monde car, même en ces temps immémoriaux, pour pouvoir aller voir ces Dames, il fallait savoir où elles se trouvaient et que donc le plus vieux métier, c’était le Renseignement!)
Par ailleurs, si cette nouvelle attire chez BA tout un spectre de clientèles prêtes à payer des billets dans différentes cabines uniquement dans l’espoir de voir officier la belle pendant le vol…ce ne serait au fond qu’une campagne marketing comme une autre!
FL350 a commenté :
3 décembre 2020 - 17 h 12 min
Quand c’est la crise, c’est la crise !
Christelle Preskowiack a commenté :
7 décembre 2020 - 10 h 17 min
Y a pas que chez BA. Chez AF, ils sont pas en reste. https://www.citegay.fr/228196-ericatv-fc/
Quel rapport? a commenté :
7 décembre 2020 - 11 h 42 min
Aucun rapport avec le sujet…
Il n’y a pas de prostitution dans ce cas que vous mettez en valeur, mais uniquement quelqu’un qui s’assume dans la vis…
Il semblerait que vous fassiez vous aussi de l’amalgame aisé et du mélange transgenre intellectuel!
CHRISTELLE PRESKOWIACK a commenté :
7 décembre 2020 - 15 h 14 min
Ça se voit que vous ne l’avez pas connu le lascar en question ? Tarifé ou pas, Dieu sait qu’il en a déroulé du câble dans tous les coIns glauques de la planète.
Altoni a commenté :
14 mai 2021 - 20 h 09 min
Loin des yeux, loin du coeur… Un proverbe qui sied particulièrement bien aux femmes qui travaillent dans le domaine de l’aviation. Il semblerait que ces dernières ont le coeur bien léger une fois en altitude.
Le milieu des affaires ouvrent de nombreuses portes (PDG, managers, secrétaires…), mais également celles de l’infidélité. À croire que de grandes fréquentations entraîne de grandes infidélités.