Histoire de l’aviation – 21 mai 1927. Sa performance restera à jamais gravée dans l’histoire de l’aviation : le jeune pilote de 25 ans de nationalité américaine Charles Lindbergh est celui qui a ouvert le premier la voie aérienne reliant le continent américain et celui européen, en ce 21 mai 1927. En parvenant en ce jour à mener à bien la première traversée de l’océan Atlantique d’une traite, en empruntant le chemin du Nord, il décroche le prix Orteig, fondé en 1919 par un entrepreneur dans l’hôtellerie américain Raymond Orteig.
Après avoir volé durant 33 heures et 30 minutes, du 20 au 21 mai 1927, Charles Lindbergh pose son appareil de type monoplan NX-211, baptisé « Spirit of St Louis », sur les pistes de l’aérodrome de Bourget, arrivant dans la soirée du 21 mai.
Parti la veille de la ville de New York, il a ainsi « dompté » l’océan Atlantique, un exploit qu’il doit à ses qualités de pilote, mais aussi à son aéroplane dont le constructeur aéronautique Ryan est à l’origine, à savoir un appareil disposant d’un moteur en mesure de fournir une puissance de 220 chevaux et équipé d’un réservoir dimensionné pour un raid aérien aussi long avec ses 1 934 litres de capacité.
Publié le 1 novembre 2024 à 00h03
Mouillebouhe a commenté :
21 mai 2020 - 1 h 43 min
Très bon article comme tous les soirs . Je ne comprends pas l’abcence De commentaires dans vos articles
Alors si nombreux dans d’aures qui en fait ne connaisse rien à l’aviation autre que l’af bashing
Cdlr
Grinch' a commenté :
21 mai 2020 - 9 h 34 min
Vous avez raison, rares sont les articles historiques qui déclenchent des commentaires, et c’est dommage car ça permettrait parfois d’approfondir le sujet.
Il y en a eu un ces dernières semaines, celui consacré à Nungesser et Coli qui ont échoué dans leur tentative de traversée sans escale de l’Atlantique quelques jours avant Lindbergh, et dont le sort n’a jamais pu être déterminé précisément. La seule certitude est qu’ils ont dépassé l’Irlande.
Précision non négligeable en rapport avec l’article d’aujourd’hui : à son arrivée au Bourget, une des premières questions de Lindbergh a été ” A-t-on retrouvé Nungesser et Coli ? “.