L’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) devrait autoriser en janvier au plus tôt le retour en service du Boeing 737 MAX dans le ciel du continent. La re-certification de l’avion impliqué dans deux accidents mortels en cinq mois devrait suivre de quelques semaines celle de la FAA.
Le directeur exécutif du régulateur européen Patrick Ky refuse toujours de donner un calendrier précis du retour dans les airs du Boeing 737 MAX, celui-ci dépendant d’un feu vert de la FAA. Mais il a précisé dans un entretien exclusif accordé à l’agence Reuters que cela devrait se passer en début d’année prochaine si tout se passe bien : « en l’état des choses aujourd’hui, nous avons prévu que nos propres essais en vol auront lieu à la mi-décembre, ce qui signifie que les décisions concernant la remise en service seront prises de notre côté pour janvier ». Le dirigeant de l’EASA précise en outre que la différence de calendrier avec la FAA devrait être mesurée en « quelques semaines » et non quelques mois, principalement en raison de « formalités administratives ou de traitement » différentes.
Les deux régulateurs travaillent toujours de concert sur la charge de travail et la formation des pilotes, chacun devant mener de son côté des essais sur simulateur et en vol. A ce stade, les modifications apportées par Boeing au système MCAS anti-décrochage des 737 MAX sont toujours en cours d’examen ; mais pour Patrick Ky, « nous entrons dans une phase critique du projet » où sont examinées les questions liées « au facteur humain et la charge de travail qu’un équipage peut supporter en termes d’alarmes ». L’EASA a pour l’instant laissé de côté la suggestion d’une troisième sonde AOA, à condition que les nouvelles procédures rendent les éventuels problèmes « gérables par un équipage moyen ». Rien n’est toutefois exclu et Patrick Ky se dit prêt à discuter avec Boeing « de toute solution possible ».
Rappelons que Boeing prévoit de mener des vols de certification du 737 MAX le mois prochain ; la FAA estime à 30 jours le délai minimum entre la fin de ces vols et le feu vert au retour dans le ciel de l’appareil. Les compagnies aériennes American Airlines, United et Southwest ont déjà reporté à l’année prochaine tout retour en service des exemplaires déjà livrés.
Chris a commenté :
22 octobre 2019 - 8 h 05 min
Cet avion est dangereux, je n’ai plus confiance ni en Boeing, ni dans la FAA. Arrêtez le Max. Transformez les en cargo et que Boeing démarre un nouveau 737 sur et en toute transparence !
Boycott 737 Max !
passager a commenté :
22 octobre 2019 - 9 h 02 min
En résumé : Boeing va changer deux ou trois lignes sur le programme du MCAS et une enclume va miraculeusement devenir un avion très sûr pour le transport de passager !
Pour moi ça restera Never Ever !
–
Ceci souligne au moins l’incroyable puissance de Boeing ET du gouvernement US qui réussiront à imposer au monde entier (sous menaces de très fortes mesures de rétorsion), un avion dangereux, qu’AUCUN autre pays au monde n’aurait pu imposer ! (et qu’ils n’aurait jamais osé construire NI encore moins certifier ! ! ! ! )
Jean-Luc a commenté :
22 octobre 2019 - 9 h 23 min
Surtout selon un sondage personne ou presque veut voler avec cet avion, Ni hommes d’affaires, ni clients loisirs…Plusieurs seraient prêts à débourser un supplément pour ne pas monter à bord d’un max…
ajar a commenté :
22 octobre 2019 - 9 h 27 min
Attention autorisation lourde de conséquences …
B73M9 a commenté :
22 octobre 2019 - 9 h 30 min
Les gens boycotteront peut être un peu le max au début avec l’immense couverture médiatique, mais vous croyez vraiment qu’après un mois les passagers boycotteront toujours autant Norwegian et tui. Personne sauf deux ou trois avgeek ne chercheront à savoir à l’avance dans quel type d’appareil ils monteront, et puis si on a peur de monter dedans il ne faut pas espérer un remboursement parce que l’appareil aura été recertifié et sera sûr. Donc au final gens prendront un max comme ils prennent n’importe quel avion.
papy a commenté :
22 octobre 2019 - 10 h 15 min
Surtout que pour faire la différence au premier coup d’œil entre un MAX et les derniers 37-800 avec les sharklets,
y a intérêt à être un spécialiste du 737 …
Sans oublier que les 737NG sont de légers soucis de
“criques structurelles graves” selon Boeing !
Mais... a commenté :
22 octobre 2019 - 10 h 43 min
Airbus aussi LH place personne dans la dernière rangée au fond de ses A320 neo en attendant la mise à jour du constructeur
avarice vs survie a commenté :
22 octobre 2019 - 10 h 42 min
B73M9 : Si vous faites partie des gens qui considèrent que leur vie ne vaut pas plus de 200/300 euros, il FAUT alors voyager dans cet appareil. Boeing vous remercie par avance.
Moi, en cas de surprise au dernier moment , je refuserai de monter dans un truc qui ne tient en l’air QUE grâce à un logiciel (jamais parfait à 100%) et qui ne ‘marche’ QUE dans certaines limites ..
Malaval a commenté :
22 octobre 2019 - 10 h 46 min
Certainement pas si j’ai pas confiance dans un avion je ne monte pas dedans ça c’est niet
ERIK DE NICE a commenté :
22 octobre 2019 - 11 h 17 min
@B73M9 :
Vous aussi alors êtes un adepte d’un vol d’un point A à un point A ??
Le problème du MAX connaît une telle médiatisation qu’aujourd’hui que plus personne ne peut ignorer son destin en volant à bord de cette enclume..
Krobar88 a commenté :
22 octobre 2019 - 22 h 34 min
Des avions vides pendant un mois chez tous les opérateurs, ça devrait être amplement suffisant pour régler le sort de ce cercueil volant qui n’aurait jamais dû recevoir l’autorisation d’exploitation commerciale
Max1 a commenté :
22 octobre 2019 - 10 h 26 min
B73M9
– vrai , face à la couverture mediatique cela prendra du temps comme vous l écrivez ! Les opérateurs de MAX auront intérêt à suivre les opérations de très près ! PNT PNC planning formations etc , les autorités seront vigilantes y compris DGCA !
papy a commenté :
22 octobre 2019 - 10 h 46 min
Allez un petit récap des différences sur le lien ci dessous.
Le plus facile étant de regarder l’arrière des moteur découpés en dents de requin comme sur le 787, car pour le reste si c’est pas marqué “Max ” dessus …
https://www.dataero.fr/caracteristiques-versions-boeing-737-max/
Inukshuk a commenté :
22 octobre 2019 - 11 h 01 min
Effectivement la pression de la clique à Trump va s’accentuer sur les autres pays pour qu’ils autorisent l’enclume dans leurs cieux. Alors si nos gouvernants n’ont pas de moyens de rétorsion, c’est au citoyen de faire le job par de massives campagnes de boycott de ce avion. Y compris et surtout envers des Cies qui, telles Ryanair, vont « rebaptiser » l’avion en 737-8200 pour faire passer la pilule aux pax.
Non cet avion ne doit jamais revoler au-dessus de l’Europe!
Bencello a commenté :
22 octobre 2019 - 11 h 05 min
Je ne vois pas très bien l’intérêt de cette déclaration, concernant un dossier aux multiples contretemps. L’EASA veut-elle rassurer Mr Trump, a-t-elle peur d’un retour de bâton.
Donc si je comprends bien, à part un délai “administratif”, l’EASA reste toujours une succursale d’une FAA corrompue et/ou incompétente.
Info pour Airbus: vos 3 sondes AOA sur l’A320neo ne servent à rien, Boeing s’en tire “bien” avec seulement deux et un logiciel qui ne sait pas gérer la discordance d’informations…
Max1 a commenté :
22 octobre 2019 - 12 h 41 min
BENCELLO
– je ne pense pas que l EASA soit une succursale , cet organisme a ses exigences , EASA est complémentaires et fera bouger les curseurs dans les domaines techniques et formations etc – juste que ces vols de certifications ne concerneront pas seulement la validation des systèmes ( PHR MCAS ) mais le domaine complet du 37 . BOEING sera face à une certification presque complète s agissant du domaine de vol et performances ! Il n y aura pas de validations sous reserves ni limitations ! C est pour toutes ces raisons que l EASA est dans son rôle !
moonmartre a commenté :
22 octobre 2019 - 15 h 42 min
@BENCELLO: Vous faites erreur, il y a bien 2 sondes AOA mais une seule est relié au MCAS sur le MAX.
https://www.seattletimes.com/business/boeing-aerospace/faa-cautions-airlines-on-maintenance-of-sensors-that-were-key-to-737-max-crashes/
Pour gérer la discordance, encore faut-il en avoir au moins 2.
Je ne sais pas ou vous avez lu qu’en avoir 3 ne servait à rien.
greg765 a commenté :
22 octobre 2019 - 17 h 49 min
Ce qu’il a voulu dire (avec du second degré) c’est que Airbus n’aurait pas dû s’embêter avec 3 sondes quand on voit que Boeing a pu certifier son avion avec deux seulement.
Sinon effectivement, pour faire un lever de doute il faut 3 sondes. Deux permettent de détecter une erreur mais pas de la corriger, trois permettent un “vote” pour éliminer la sonde défaillante. (Sauf si deux sondes sont défaillantes simultanément et là on peut aussi avoir des situations très dangereuses, avec la bonne sonde qui est éliminée (c’est déjà arrivé…)).
Et pour en revenir factuellemnt au MCAS, les deux AoA sont utilisées, mais pas simultanément, elles changent à chaque vol. Donc les deux sont “physiquement” reliées au MCAS (hébergé par les FCCs), mais seul un couple FCC – sonde AoA est utilisée à un instant donné.
moonmartre a commenté :
22 octobre 2019 - 20 h 20 min
@GREG765: Merci pour la précision de l’utilisation changeante à chaque vol.
Un seul capteur, cela ne correspond en rien au standard du secteur en terme d’ingénierie.
Louis a commenté :
22 octobre 2019 - 11 h 19 min
Perso je ne prendrai jamais cet avion.
Mais la plupart des gens ne sachant pas faire la différence entre un B737, A320 ou même un Embraer 190 ou un A220 (pour eux c’est juste un tube avec 2 ailes et 2 réacteurs).
Paulo33 a commenté :
22 octobre 2019 - 11 h 56 min
L’heure de vérité se profile pour cette fin d’année : Le MCAS a été conçu pour soulager l’équipage de la surcharge de travail que provoque le manque d’équilibre de cet appareil mais au moindre incident sur une des 2 sondes d’incidence c’est au pilote de pallier. Si c’est un simple choc aviaire sans autre conséquence ça passera mais si c’est un choc contre un drone qui perce en plus le fuselage ça risque de faire trop !
L’enjeu de ce pari technique de ne pas mettre une 3ème sonde c’est une reprise progressive en 2020 versus 800 avions cloués au sol pour 1 à 2 ans de plus…
Seuls les pilotes, via leurs syndicats, peuvent se faire entendre par leurs compagnies et les régulateurs et si certains agitent le spectre des passagers récalcitrants tous savent que dans les faits bien peu pourront se permettre de refuser de monter à bord.
Voici une bonne synthèse des conséquences en cas de refus des régulateurs https://www.challenges.fr/entreprise/aeronautique/le-737-max-va-t-il-tuer-boeing_680879
GREG765 a commenté :
22 octobre 2019 - 17 h 42 min
“Si c’est un simple choc aviaire sans autre conséquence ça passera mais si c’est un choc contre un drone qui perce en plus le fuselage ça risque de faire trop !”
Enfin les chocs aviaires sont déjà un risque majeur, un oiseau peut complètement détruire une sonde AoA ! Pour ce qui concerne le MCAS il n’y a pas de raison de penser qu’un drone soit plus dangereux qu’un oiseau.
Paulo33 a commenté :
22 octobre 2019 - 21 h 14 min
Une petite recherche sur internet concernant les études menées sur les chocs avec les drones par rapport aux chocs aviaires devrait faire évoluer votre avis (chocs avec avions et hélicoptères…). Un drone détruira plus que la seule sonde AOA de par ses armatures et ses composants denses. La question que doit traiter les régulateurs est alors de savoir si l’équipage pourra simultanément se passer du MCAS et gérer les autres conséquences du choc.
https://www.usinenouvelle.com/article/une-etude-revele-le-resultat-du-choc-entre-un-drone-et-un-pare-brise-d-avion.N578573
https://www.cnbc.com/2018/10/17/drone-hits-plane-wing-shears-off-video.html
greg765 a commenté :
23 octobre 2019 - 12 h 15 min
Je sais bien que les drones peuvent causer plus de dégâts. Mais c’est hors sujet vis à vis du MCAS: le MCAS se base sur des informations d’incidence, ce qui compte ici ce sont les sondes AoA, pas le reste (plus particulièrement celle utilisée par le MCAS pendant le vol). Et un choc aviaire suffit à les détruire. Qu’un drone fasse plus de dégâts oui, bien sûr, mais ça ne changera rien du point de vue du MCAS. Parce que dans ce cas un missile est encore plus dangereux, mais c’est pas vraiment le sujet, non ?
Et “se passer du MCAS” n’est pas forcément un problème, puisque le MCAS ne sert qu’à l’approche du décrochage en pilotage manuel avec les volets rentrés, c’est à dire dans un cas bien précis. C’est à dire que l’absence du MCAS n’empêche pas l’avion de voler ! En fait en temps normal le MCAS n’est pas sensé être utilisé.
Jo a commenté :
22 octobre 2019 - 15 h 34 min
A part un rachat de Boeing par Airbus je vois pas comment ça va se terminer. Au delà de la survie de la marque c’est le seul moyen de conserver les capacités productives dans le secteur. Airbus reprend les unités de production de Boeing et les alimente en partageant le marché. Les bénéfices des deux groupes réunis permettent la mise au rebus du MAX, l’indemnisation des compagnies et des victimes. Actuellement c’est 1 Boeing contre 2 Airbus. A 1 partout le rachat devient incontournable.
Paulo33 a commenté :
22 octobre 2019 - 16 h 48 min
Non, Airbus est encore un petit poucet face au géant Boeing, a peine capable de reverser 11 Milliard de Dolars à ses actionnaires quand Boeing en reverse 78!
De toutes façons jamais les US ne laisseront un pays étranger prendre la main sur un tel fleuron (civil militaire et spatial) et même la Commission Européenne refuserait un tel monopole (voir enquête lancée sur le rachat d’Embraer par Boeing et son véto sur la fusion Alstom-Siemens).
A la place vous pouvez toujours rêver que pour patienter et ne pas tuer trop de sous-traitants l’usine de Renton se met à assembler des A220 (pas des 320 se serait trop vexant pour eux)…
greg765 a commenté :
22 octobre 2019 - 17 h 57 min
Pour l’instant Boeing a encore de la marge, ils valent 190 Milliards en bourse quand Airbus en vaut 96.
Et ils ont leurs activités militaires / spatiales qui sont stratégiques pour les USA, jamais une administration américaine ne les laisserait couler.
—
Quand au Max on n’est peut être pas au bout des surprises, mais en tout cas Boeing a annoncé avoir fini de modifier le programme du MCAS et avoir tout fourni à la FAA pour la certification.
Donc à priori la balle est maintenant dans le camp de la FAA, ce qui veut dire que si le “MCAS 2.0” a été correctement corrigé, ce n’est plus qu’une question de temps avant la certification par la FAA. Ce qui expliquerait probablement la sortie du silence de l’EASA sur le sujet, puisque des progrès semblent être en cours et qu’ils ont probablement une lisibilité qui s’améliore sur le calendrier de remise en service (même si il est probablement bien plus prudent, et c’est facile à comprendre, de ne pas parler de date pour le moment !)
mavrick a commenté :
22 octobre 2019 - 16 h 53 min
pour faire leurs essais en vol …. qu’ils le fassent au dessus de la mer …
En tout cas cet avion est un sacré pot de pus .
Eddy,Donck a commenté :
22 octobre 2019 - 17 h 49 min
En tout cas, la campagne de presse a été magistrale, et le bourrage de crâne a fonctionné au-delà de toute espérance : des tas de gens qui n’y connaissent rien sont prêts à jurer que cet appareil ne tient pas en l’air – alors que des centaines d’appareils de ce type volaient sans problème avant les deux accidents. De toute façon, ce sont les organismes responsables qui décideront de sa remise en service, pas les “spécialistes” en charentaises.
ydde kcnod a commenté :
22 octobre 2019 - 21 h 03 min
les Boeing-Boys s’énervent, menacent, invectivent, sont dans le déni des 346 morts, MAIS ne démontrent RIEN !
Si tout va si bien, pourquoi la FAA clouera t’elle les MAX au sol pendant un an et peut être plus ?? – Du jamais vu !
oui et je pense même que a commenté :
23 octobre 2019 - 10 h 05 min
…puisque ” des centaines d’appareils de ce type volaient sans problème avant les deus accidents”, on aurait dû traiter ces deux accidents pour ce qu’ils étaient vraiment: des ACCIDENTS justement, et ne pas les prendre en compte dans le bilan sécutitaire global plus que satisfaisant du 737MAX : qu’on en juge: ” des centaines d’appareils de ce type volaient sans problème”…
Donc il était particulièrement stupide et inutile de bloquer tout ces avions pendant tout ces mois!
Juste une réaction émotionnelle sur-développée et amplifiée par la presse anti-américaine primaire…et qui sait, en sous main par la concurrence!
Chris a commenté :
23 octobre 2019 - 4 h 24 min
Wall Street fait confiance a Boeing -20% sur le titre alors que les livraisons sont a – 70% ! Et Boeing leur rend bien : 2$ par action à 320 $ l’action !
Les morts à Wall Street, on s’en fout !
Dieu protège l’Amérique !
On est mal barrés avec cette m….. de 737 Max !
Max la menace, mais en moins drôle !
Si vous étiez boursicoteur... a commenté :
23 octobre 2019 - 10 h 08 min
Vous comprendriez que c’est justement le bon moment pour acheter des actions Boeing sous-cotées en masse: d’ici deux ans les dividendes seront encore plus gros ( il faudra bien que Boeing renoue aussi avec la confiance des marchés financiers qui lui sont indispensables!), ce qui fera monter en flèche le cours des actions.
Investissez dans Boeing: c’est le bon moment
MAX1 a commenté :
23 octobre 2019 - 7 h 22 min
@NAVRICK
– comment se déroule des vols d essais !
1) au préalable, une batteries de réunions sont programmées, autour de la table ( ingénieurs techniciens responsable des essais etc )
2) de ces réunions un programme est défini( batteries de tests ,niveau de vol profil etc ) ainsi que le secteurs.
3) a l issue le vol est dépouillé et reprise des réunions…..
( pas autour de la machine à café )
– en résumé pas très rigolo , la fantaisie n est pas invitée.
Bravo ! Encore !! a commenté :
23 octobre 2019 - 8 h 58 min
Et en toute logique, le mot de la fin ici est réservé à MAX1.
Mais sa connaissance universelle est un énorme bienfait pour la communauté AJ.
Paolo a commenté :
23 octobre 2019 - 10 h 10 min
Faut pas non p)lus dire n’importe quoi en permanence: sur cette explication là, MAX1 a raison… Y’a aucun mal à reconnaitre cela!