SITA, fournisseur de solutions informatiques et de communication pour l’industrie du transport aérien, vient de publier un nouveau livre blanc sur les évolutions technologiques à venir dans le secteur du transport aérien : « 2025: Air travel for a digital age ».
D’après son rapport, les décideurs IT des aéroports et des compagnies aériennes s’accordent à dire que le développement du transport aérien commercial sera fortement impacté par le nombre croissant de voyageurs technophiles. Au cours des six prochaines années et d’ici 2025, 68% des passagers seront des technophiles et s’attendront à gérer leurs voyages comme leur quotidien, c’est-à-dire avec leur téléphone portable.
Ce changement de comportement crée des voyageurs technophiles qui exigent plus d’automatisation et d’autonomie dans le contrôle de chaque étape de leur voyage. Ils désirent notamment avoir accès, depuis leur téléphone portable, à des services allant de la localisation des bagages, à l’embarquement, en passant par le paiement. Ils souhaitent également vivre leurs voyages comme une expérience unique et unifiée, du départ à l’arrivée et d’un aéroport à l’autre : enregistrement auprès des compagnies aériennes, contrôles aux frontières, services intermodaux, etc.
« Cette évolution implique la nécessité d’introduire plus de technologie partout, y compris dans le parcours de voyage. Cela aura un impact profond sur la manière dont les passagers interagiront avec les aéroports et les compagnies aériennes d’ici 2025 », déclare Barbara Dalibard, PDG de SITA. « En effet, parmi les décideurs IT des aéroports et des compagnies aériennes interrogés par SITA, 83% estiment que ce changement démographique influera le plus la conception de leurs solutions à destination des passagers pour 2025. »
Le rapport coomplet « 2025: Air travel for a digital age » (en anglais) est disponible en téléchargement sur le site de SITA.
elmer a commenté :
16 septembre 2019 - 11 h 57 min
66 % de smombies ?
Peut-être que d’ici-là le nombre d’EHS aura explosé, grâce à la 5G. Ou le nombre de personnes à péter les plombs en vol… Il faudra, espérons-le, revoir ces estimations à la baisse, et à nouveau bannir ces technologies mortifères à bord des avions.