Flightright a communiqué son éclairage juridique pour les passagers d’Aigle Azur qui ont vu leurs vols annulés, y compris en Algérie ou au Mali, sans possibilité de se faire rembourser par la compagnie.
La compagnie a-t-elle le droit d’annoncer qu’elle ne pourra pas dédommager ses passagers ?
Dans la mesure où les sorties d’argent sont gelées, la compagnie n’est plus en mesure de gérer ses propres comptes et dépend d’un administrateur judiciaire. Elle ne peut donc pas indemniser ses clients, d’autant que dans la hiérarchie des créanciers, les passagers sont en bas de liste.
Quels recours pour les passagers ?
Le site internet d’Aigle Azur décrit toutes la procédure à suivre : https://www.aigleazur.online/espace-voyageurs. Il faut déclarer sa créance auprès de l’administrateur judiciaire dans les 2 mois après le jugement de placement en redressement judiciaire. Si toutefois la compagnie devait passer en phase de liquidation judiciaire, les actifs de l’entreprise seront alors répartis entre les différents créanciers. Les créanciers prioritaires seront alors payés (1150 salariés, banques et fournisseurs notamment), et si par la suite des fonds subsistent les autres (dont les passagers) pourraient être payés. La procédure peut durer plusieurs années et les chances d’aboutir sont minces. Les passagers peuvent en attendant demander à leur assurance (prise au moment de l’achat du vol ou celle de leur CB) si le cas d’une faillite d’entreprise est prise en charge par ces derniers.
Attention : il faut différencier le cas des voyageurs qui ont pris leur billet dans une agence (voyage à forfait) VS ceux qui l’ont pris directement auprès de la compagnie. Dans le premier cas, le voyageur peut contacter l’agence qui doit trouver une solution de repli.
Ana maria montagnino a commenté :
8 septembre 2019 - 12 h 22 min
C’est une onte la aigle Azur sont des voleurs ..
czl a commenté :
8 septembre 2019 - 18 h 50 min
Des billets à 700€ qui finissent à la poubelle
Sérgio a commenté :
8 septembre 2019 - 19 h 35 min
Une honte pourquoi? Svp ne les accablez pas d’avantage.
Le souhait du personnel et dirigeants d’Aigle Azur n’est certainement pas de la voir disparaître.
Mettez-vous à leur place et imaginez la douleur de ces gens-là qui sont très attachés à « leur compagnie » et qui risquent fortement de ne plus la voir décoller.
À l’heure actuelle, ils sont en pleines prières pour que Aigle Azur puisse transporter les passagers qui ont payé ces voyages.
Certainement pas en train de se réjouir du fait qu’ils sont en train de « voler » les passagers.
Sans aucun doute, vous seriez moins incisive si vous étiez à leur place.
Muller a commenté :
8 septembre 2019 - 21 h 41 min
C’est une honte le droit français…elle met le client parmis les derniers de la liste en cas de faillite d’une société, alors qu’il a simplement acheté une marchandise ou un service mais qu’il ne lui a jamais été fourni!!! Il n’a pas la moindre responsabilité dans la société en faillite mais la sanction tombe sur lui … Au fait c’est la loi au plus fort, le consommateur est le plus faible aux yeux de la loi, c’est a lui de payer l actionnaire, les banques, le fisc voire les salariés de l’entreprise en faillite…peut encore faire confiance à la justice française??? Les avis sur internet concernant l’administrateur judiciaire nommé dans cette affaire laissent à désirer…
aerotransport a commenté :
9 septembre 2019 - 16 h 12 min
La solution, appliquée en Grande Bretagne depuis la faillite de Court Line en …1974, est de taxer chaque billet pour alimenter un fond géré par l’état. Ce fond sert à rapatrier les pax bloqués, éventuellement à rembourser les billets inutilisés. Dernier cas: Monarch l’année dernière.
Mais qui souhaite une taxe supplémentaire ?
ZARA a commenté :
9 septembre 2019 - 16 h 18 min
je ne comprend pas pourquoi ils ont continuer à vendre des billet pourtant il savait qu’il avait des difficultés j’ai acheté mon billet avec opodo le 30/08/19 pour partir le 21 Sep, le prélèvement c’est fait le 2 septembre pour moi c’est du vol simplement le 2septembre c’est le jour ou ils ont déposé le bilan si ce n’est pas du vol comment vous le l’appelez . Opodo est complice avec aigle azur l’Etat ne fait rien pour arrêter ces escrocs.
thevenet a commenté :
9 septembre 2019 - 19 h 29 min
escrot vous nous avez vendu des billet 3 mois aprés la fermeture sachant que vous saviez trés bien que vous n’aurais pue honoré c’est du VOL pure et dure UNE ESCROQUERIE comme jamais
résultat ma fille ne pourras pas voir sa grand mere o moin une fois dans sa vie puisse quel est trés malade ma femme ne pourras pas lui rendre un dernier hommage vous vous sentez des grand homme HONTEUX
hakima a commenté :
12 septembre 2019 - 14 h 36 min
on devrait constituer un collectif et produire l’Etat en justice car il est était au courant de toute cette machination et n’a rien fait.
Nous perdons 816 euros pour deux billets.
C’est scandaleux que ce soit le consommateur qui paye pour tous ces actionnaires qui s’en sont mis plein les poches.HONTEUX
PAGES CLAUDE a commenté :
17 septembre 2019 - 12 h 59 min
J’ai fais une déclaration pour indemnisation suite au vol annulé KYMIJJ en date du 15 septembre et je n’ai aucune réponse ?
rosa maria stope a commenté :
8 janvier 2020 - 7 h 45 min
c est quand meme honteux moi j ai pris mes billets le 02 septembre 2019 a 21h30 et il savait qu il allait etre mis en redressement judiciaire j ai rempli un formulaire aupres d un mandataire et toujours aucune nouvelle je suis dégouté
Rosa a commenté :
14 janvier 2020 - 14 h 28 min
Moi pareil est toujours rien sa me dégoûte il nous laisse comme sa comme des chien sans aucune réponse en plus le billiet nous coûtait un bras il ont pris la tune et nous on laisse comme sa
momou a commenté :
17 juillet 2020 - 15 h 15 min
pour aigle azur l’État est coupable vu quel a pris sa commissions comme impôts ils ont voler les citoyens algériens qui on acheter des billets Français est oui (aigle azur est bien Français)
boualem ait-abbas a commenté :
28 décembre 2020 - 19 h 21 min
et oui c’est ce qu’on appelle :
se faire entuber, tant pis pour nous.