Un avion de Thai Airways a été contraint d’annuler son voyage de Paris à Bangkok en raison de dommages mineurs causés par un camion de restauration. L’annulation a laissé plus de 400 passagers et membres d’équipage bloqués à Paris pendant une journée supplémentaire, alors que l’appareil subissait des réparations et des contrôles de maintenance.
L’Airbus A380 de Thai Airways a subi des dommages mineurs pendant la livraison de vivres pour le vol de mercredi dernier. Le vol TG931 devait partir de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle à 13 h 40 pour un trajet d’environ 12 heures vers l’aéroport de Suvarnabhumi à Bangkok. Mais il été annulé lors des préparatifs du vol en raison d’un camion-traiteur livrant de la nourriture pour le vol lorsqu’il a heurté l’avion par accident. De légers dommages (sur l’aile) sont à déplorer, juste assez en tous cas pour susciter une mesure de précaution et annuler le vol par sécurité. Deux journées ont été nécessaires pour réparer l’appareil et effectuer des vérifications de maintenance afin de s’assurer qu’il était prêt à voler en toute sécurité.
Dans cet incident, qui est responsable de l’annulation et qui devrait finalement être responsable du paiement de la facture en raison des retards ? Pas Thai Airways, clame cette dernière, qui va à l’encontre de la société de distribution de produits alimentaires pour exiger qu’elle soit responsable des dommages et des frais d’hébergement des passagers. Au moment de l’accident, on estime que Thai Airways a dépensé environ 600 euros par passager en raison du retard, excluant les frais de réparation de l’appareil. « Thai Airways International entamera un processus d’indemnisation financière pour les dommages causés par l’entreprise de livraison de produits alimentaires », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Papillon a commenté :
20 avril 2019 - 17 h 34 min
Bien sûr que c’est l’entreprise de livraison de produits alimentaires ou son assureur qui doit prendre en charge tous les frais liés à cette immobilisation et non Thai Airways puisque c’est l’entreprise de livraison des repas qui est responsable des dégâts et de l’immobilisation des 400 passagers et de l’équipage.
Ben a commenté :
20 avril 2019 - 19 h 23 min
Le passager se retourne envers la compagnie ! Il en a rien à faire de pourquoi l’avion ne décolle pas, il a souscrit un contrat de transport avec la Thai… L’avion n’est pas apte au départ, hébergement et repas pour les PAX + l’indemnité du droit européen pour retard supérieur à 3h.
Charge à la compagnie de se retourner envers son prestataire évidement…
john a commenté :
20 avril 2019 - 18 h 44 min
celuis qui piloter la voiture , il va finir a pole emplois mdrrr
candidpax a commenté :
20 avril 2019 - 23 h 18 min
@ JOHN
Vous écrivez : ” celuis qui piloter la voiture ”
C’est à finir à POLE EMPLOI vu l’orthographe ! mdr !
CDG.staff. a commenté :
20 avril 2019 - 18 h 47 min
Ca arrive on y peu rien faire risque zero sa n’existe pas… 400 pax cest pas mal.mieux vaut réparé les degâts.. bon vols .
fayçalair a commenté :
20 avril 2019 - 19 h 17 min
pour une meilleure information l’entreprise doit bien avoir un nom
Gérard a commenté :
20 avril 2019 - 19 h 53 min
La jurisprudence existe déjà. Le transporteur est responsable car c’est lui qui a embauché le prestataire. Libre à lui de se retourner conte le prestataire.
dufay a commenté :
20 avril 2019 - 20 h 12 min
Effectivement L A380 de THAi n a pas decollé mercredi mais il ne l a pas fait non plus jeudi , il est reparti hier vers 21h ; je peux en temoigner ayant suivit les operations depuis la chambre de l hotel holiday inn express en face duquell il était stationné . pour avoir observé les operation deux zone on fait l objet de maintenance les bec de bord d attaque de l aile droite et la porte fret avant du meme coté. les degats n était pas si mineur etant donné qu ils ont travaillés jour et nuit durant 2 jours sur l appareil .
les paxs ont certinement été remis sur des vols alternatif car lors du boarding fait au large il n y avait pas 400 pax qui sont montés à bord . les congres a CDG ca a du bon pour savoir tou ce qui s y passe ….mais air journal devrait rectifier les informations concernant le temps d immobilisation.
Samirpika a commenté :
20 avril 2019 - 22 h 59 min
T’a raison il était au large hier soir
private equity a commenté :
20 avril 2019 - 20 h 22 min
jusque dans les années 90 il y avait deux personnes dans les camions de catering , le chauffeur et l’aide-chauffeur qui guidait l’approche du camion sur les dernier mètres ce qui évitait ce genre d’incidents.
Mateo a commenté :
20 avril 2019 - 21 h 22 min
Vu le peu d’accidents et l’évolution des technologies les solutions des années 90 n’ont aucun intérêt !
private equity a commenté :
21 avril 2019 - 10 h 00 min
il faudra m’expliquer l’évolution technologique sur un camion de catering de 1990 à 2019 , ce sont strictement les mêmes.
Fred a commenté :
20 avril 2019 - 21 h 32 min
Voilà pourquoi j’ai vu 2 A380 hier à Roissy
Un Rilke a un satellite du CDG1
Un autre à côté des avions d la république française
Gaston a commenté :
20 avril 2019 - 23 h 01 min
Tout fait quelconque qui cause dommage à autrui oblige celui par lequel la faute est arrivée àle dedommager,confère l’article 1382 du code pénal,donc plus d’inquiétude tout est prévu et d’ailleurs toutes les compagnies impliquées dans ledit trouble ont bel et bien souscit à une maison d’assurance qui intervient au moment opportun,BONJOUR
A330-200 a commenté :
21 avril 2019 - 12 h 07 min
L article 1382 du code pénal ……êtes bien sûr, en tant qu’ avocat ça fait doucement , avant d énoncé des grand principes juridiques encore faut il les maitriser ;en l occurrence c est l article 1382 du civil et ce dernier n est pas applicable car le dommage ici relevé de règles particulières dépendant du droit aérien ou si celui-ci est muet sur le sujet via le principe du fait des chose 1384 a 1386 du code civil ou sur la base du droit contractuel 1147 et suivant si le cas de dommage causé fais l objet d une stipulation.
Merci de me réveilloer en fin d'énnoncé! a commenté :
21 avril 2019 - 13 h 49 min
Ceci me confirme ce que j’ai toujours confusément ressenti: le droit est une chose ennuyeuse8
Cyril13 a commenté :
21 avril 2019 - 8 h 29 min
Il y a des clauses “Aviation liability” prévue pour cela dans les contrats d’assurances pour les activités au tour d’un aéronef.
Les 2 causes les plus fréquentes lors de collisions au sol entre aéronef et GSE sont l’erreur humaine (manque d’appréciation) et le non respect des procédures (approche, guidage et retrait, placement), bien avant le problème technique et la météo.
Gilles Astre a commenté :
21 avril 2019 - 12 h 51 min
La première photo est vraiment pas terrible quand même.
Wrangel a commenté :
21 avril 2019 - 13 h 18 min
Bonjour
Une assurance ou des assurances paieront mais elles ne sont pas altruistes, la ou les primes n’ont-elles pas des chances d’augmenter.
Gebeile Michel a commenté :
21 avril 2019 - 16 h 45 min
C’est difficile de mettre en cause la thai Airlines ?
Xavier a commenté :
27 avril 2019 - 14 h 16 min
Hello,
Je devais être sur cet avion, et la gestion a été assez misérable. Une seule personne de la thai qui essayait juste de faire partir les first, et le personnel de CDG qui distribuait des bons de logement. Très peu d’info, juste qu’on était loin d’être sur de partir le lendemain, vu qu’il donnait la priorité aux familles avec enfant de ce qui avait été annoncé.
J’ai pris en express des billets sur une autre compagnie pour un vol avec une escale qui parait le soir, je suis assez surpris que la Thai ne l’ai pas proposé d’elle même et a fait partir des gens avec 48h de retard voire plus.
Au dela des 600€ d’indemnisation, je vais demander qu’ils prennent en charge le billet que j’ai acheté pour partir, je rêve ou c’est le minimum qu’ils puissent faire ?