L’aéroport international d’Athènes a testé pendant plusieurs semaines un procédé de reconnaissance faciale des passagers voyageant dans l’espace Schengen, avec l’objectif de l’étendre s’il fait gagner du temps avant l’embarquement.
En pratique, avec ce système appelé Smart Path et développé par l’entreprise SITA, le passager n’a plus qu’à s’enregistrer sur des bornes informatiques où il est pris en photo après avoir scanné son passeport. Il peut ensuite passer rapidement les portes de sécurité où son visage est reconnu par des caméras biométriques. Ce projet pilote, qui a débuté en décembre, n’était pour l’instant accessible qu’aux passagers voyageant avec la compagnie grecque Aegean Airlines au sein de l’espace Schengen.
“La biométrie améliore grandement l’expérience client et la sécurité aux frontières, estime Sergio Colella, président de SITA Europe, un des principaux fournisseurs de solutions informatiques pour l’industrie du transport aérien. Pour les aéroports, il s’agit d’un service économique et facile à implémenter.” SITA assure que son dispositif peut par ailleurs être adapté en fonction des besoins spécifiques des différentes aérogares ou compagnies aériennes.
En France, les principaux aéroports comme Paris-Orly, Paris-CDG, Lyon-Saint Exupéry, Marseille-Provence et Nice-Côte d’Azur sont également en train de déployer des portiques PARAFE à reconnaissance faciale.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=liWBN-fWRPg
LOLOBOYER a commenté :
14 avril 2019 - 16 h 08 min
On en veut pas ! On veut des personnes humaines. Et aux péages d’autoroutes aussi ! No machin ! Et comme ça on créera de l’emploi. Depuis qu’il y a des machines partout le prix pour l’usager n’a pas baissé ! Et fortement taxer toutes machines remplaçant un ou plusieurs humains ! L’assistante robotique oui, mais dans certaines limites. Par exemple, des députés et sénateurs robots OUI !