La compagnie aérienne Aigle Azur lance sa boutique en ligne de produits détaxés, et propose le service de précommande.
Depuis le 13 février 2019, la compagnie aérienne française propose aux voyageurs de profiter du service de précommande disponible sur son site. Cette solution a été développée par ISG (Inflight Sales Group), un des leaders mondiaux des ventes à bord et spécialiste des compagnies aériennes, concessionnaire d’Aigle Azur depuis juin 2018. Cosmétiques, parfums, ou encore idées cadeaux originales sont désormais à portée de clics pour tous ceux qui souhaiteraient anticiper leurs achats et profiter de tarifs avantageux. Ce nouveau service offre ainsi aux passagers plus de flexibilité, la possibilité de profiter de prix doux et une livraison de leurs achats directement à bord en seulement quelques clics !
Comment ça marche ? Rien de plus simple, il suffit de se rendre sur le site internet aigleazur.com ou cliquer sur ce lien directement, où un vaste choix d’articles exclusifs hors taxes est à disposition. Les passagers n’ont alors plus qu’à précommander leurs produits favoris en s’assurant de leur disponibilité. Aigle Azur prend soin de ses passagers en garantissant la livraison prioritaire de leur commande à leur siège. Une fois la commande réceptionnée, le passager n’aura plus qu’à procéder au règlement.
La compagnie « ne cesse d’optimiser l’expérience à bord de ses passagers », et vient tout juste de développer un nouveau service de facilité de paiement. Le paiement fractionné est applicable sur des billets aller-retour ou aller-simple et cela sur tout le réseau Aigle Azur.
Créée en 1946, Aigle Azur est la deuxième compagnie aérienne française qui bénéficie d’une riche histoire de plus de 70 ans. Elle transporte chaque année près de 2 millions de passagers sur près de 300 vols réguliers par semaine, avec une flotte d’Airbus constituée d’A319, d’A320 et d’A330. Depuis 7 décennies, Aigle Azur ne cesse de relier les hommes, les continents et les cultures, fidèle à ses valeurs d’accueil, de partage et de convivialité. Au départ de 5 villes françaises (Paris, Lyon, Marseille, Mulhouse et Toulouse), la compagnie dessert l’Algérie (Alger, Bejaïa, Constantine, Oran, Sétif et Tlemcen), l’Allemagne (Berlin), le Brésil (São Paulo), la Chine (Pékin), l’Italie (Milan), le Liban (Beyrouth), le Mali (Bamako), le Portugal (Lisbonne, Faro, Funchal et Porto), la Russie (Moscou), le Sénégal (Dakar) et bientôt l’Ukraine (Kiev).
Air-journal blog a commenté :
14 février 2019 - 10 h 28 min
Pour l’a380, puisque c’est la nouvelle de l’année, il a vécu surtout grâce à ce que j’ai appelé le système Emirates, qui consiste a prendre un modèle d’avion unique pour tout faire, c’est à dire on prend de gros avions long-courrier qui sont utilisé pour du moyen courrier et du régional, on attribue une autonomie de plus de 15 000 km a des avions qui ne feront pratiquement pas de vol de plus de 12 000 km dans leur vie, donc on fait des avions plus lourds que nécessaires, qui ont besoin d’ailes démesurées soumises à des décollages et atterrissages trop fréquents, ce qui peut entre autres favoriser l’apparition de fissures prématurées sur les ailes.
Un autre facteur est la politique qui vise a favoriser les classes supérieures car elles étaient considérées comme des bonnes sources de revenus, seulement cette stratégie consiste à faire des avions plus grands pour emporter autant de passagers, genre pour 320 passagers il fallait un 777-300er aménagé en 20% classes supérieures, et 80% en économique haute densité, mais avec la nouvelle tactique, genre 10% affaires, 7 ou8% premium et le reste en économique très dense, un a350-900 peut suffire à emporter le même nombre de passagers. Résultats, l’a380, généralement doté de 500 sièges dont une centaine de classes supérieures, a surfé sur la vague avant d’en être exclu par ce que l’on peut appeler la chute du système Emirates.
Emirates a arrêté d’acheter uniquement du 777 et de l’a380, maintenant elle prend des a350, des a330 et des 787, car en 2014 je notais déjà qu’elle prenait 250 passagers par vol en moyenne, et donc ces 3 modèles correspondaient mieux à ses besoins.
En tous cas ces annulations sur 39 a380 jamais on n’aurais imaginé ça, mais 19 d’entre eux faisaient partie de la méga commande pour 50 avions en 2013 et je voyais mal Emirates en recevoir encore 36 d’entre eux jusqu’en 2023, le fait qu’elle ait abrégé le contrat ne me surprend pas je l’avais envisagé depuis 2 ou 3 jours. Le programme aurait dû être arrêté il y a un an déjà.
Pour le 747-8 qui tient uniquement sur UPS( 18 avions) je pense aussi que l’on va voir quelques annulations et que Boeing va cette année annoncer l’arrêt du 747. Surtout que la possibilité d’un 777-8F n’est pas négligeable pour renouveller le haut de gamme cargo.
Après j’ai aussi des inquiétudee sur le 777X, sur les 150 commandés en 2013 je pense qu’une partie du contrat va finir à la poubelle, même si je pense que Air France ou British Airways auront des besoins pour ce genre d’avion, il n’a que 7 clients actuellement, mais attention à ce qu’il ne finisse pas avec moins de commandes que le jour de son lancement. Sans parler de ses ailes démesurées, seront elles à l’abri des micro-fissures qui ont touché celles de l’a380?
Excusez moi pour ce post mais j’avais beaucoup à dire aussi.
Perplexe a commenté :
14 février 2019 - 16 h 43 min
S’il y a certes des marchés pour 450+ passagers ils seront occupés par le 77X qui en a la capacité, l’A350-1000 peut maximum prendre 440 passagers en monoclasse.
A moins qu’Airbus ne developpe un A350-2000.
RAHM MESSAOUDINE a commenté :
14 février 2019 - 19 h 24 min
Je suis tres contente de la compagnie
Ben dhaou rahima a commenté :
15 février 2019 - 9 h 38 min
À chaque déplacement en Algérie pour visite familiale je prend aigle azur et je suis très satisfaite de cette compagnie bravo et continuez dans votre lancé et l’idée de créer le service en ligne pour les achats et super.
Rachid saadouni a commenté :
15 février 2019 - 22 h 30 min
dsl mais la bouffe c’est zéro