Un avion de la compagnie low cost easyJet reliant Lyon à Rennes a fait demi-tour hier vendredi suite à une alerte à la bombe.
La procédure d’urgence a été lancée 45 minutes après le décollage suite à un appel téléphonique anonyme. Le vol EZY4319 à 15h04 de l’aéroport Lyon-Saint Exupéry et devait atterrir à 16h15 à Rennes mais il a dû revenir à son point de départ où les 159 occupants de l’appareil ont été débarqués et leurs bagages fouillés à même le tarmac (voir la vidéo ci-dessous de France 3). Finalement, l’alerte s’est avérée être fausse.
“Le vol EZY4319 Lyon-Rennes du 18 Janvier a dû retourner à Lyon pour des raisons de sécurité. Le commandant de bord a pris cette décision à titre de précaution uniquement“, a informé easyJet sur son compte twitter. L’incident a entraîné une interruption totale du trafic durant 40 minutes à Lyon-Saint Exupéry. Les passagers ont été transférés en soirée sur un autre vol opéré par un avion et un équipage en provenance de Londres.
fcb1962 a commenté :
19 janvier 2019 - 11 h 26 min
Quel est l’intérêt de cette vidéo? Ça sent le BFM TV.. ..une image à tout prix même si cela n’apporte rien à la nouvelle!
Pierre a commenté :
20 janvier 2019 - 1 h 09 min
Quelle drôle d’idée que de le faire retourner à Lyon quand on survole Clermont-Ferrand. Surtout quand on sait la pagaille que cette interruption du trafic a entraîné sur la bonne trentaine de vols en 40 minutes ! Où va la France…
Nana a commenté :
20 janvier 2019 - 18 h 28 min
Ta qu a etre pilote et tu comprendra le mots peur
Philou a commenté :
20 janvier 2019 - 7 h 54 min
Après 45min de vol, entre Lyon et Rennes, le pilote fait demi tour:
n’était il pas très proche de Rennes après 45min de vol?
Surement plus proche de Rennes que de Lyon, donc pourquoi faire demi tour ou est ce dans les procedures?
Monty a commenté :
20 janvier 2019 - 17 h 41 min
Pierre: la France va la ou les gens qui ne savent pas de quoi ils parlent se permettent d’être critique. Dérouter à Clermont, qui n’est pas desservi par la compagnie, n’est pas une bonne décision dans un contexte de gestion des passagers. Ensuite il faut tout simplement le temps de descendre, procédure qui demande de limiter la vitesse de pressurisation tout simplement pour ne pas risquer de déclencher une bombe sensible aux variations de pression. Lyon est mieux équipé, et l’équipage est plus a même de faire son job en environnement connu en situation de stress. Alors, ou va la France ? La prochaine fois un peu de réflexion svp