La zone publique du terminal 2E de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle étoffe son offre gastronomique et accueille trois nouveaux points de vente : le Café Eiffel Maison Rostang, la maison Ladurée et pour les plus pressés Exki.
Le Café Eiffel Maison Rostang, opéré par Select Service Partner, va proposer aux passagers et attendants du terminal 2E une offre de cuisine de comptoir Parisienne de qualité. Michel Rostang et Nicolas Beaumann, chefs de la Maison Rostang, y ont sélectionné des produits de qualité auprès de petits producteurs français reconnus pour leur authenticité et leur savoir-faire: boeuf et veau de chez Polmard, jambon blanc Prince de Paris, truffes de Richerenches en saison… Du côté des assiettes, le Café Eiffel met à l’honneur des plats qui allient la gourmandise à la tradition. Ainsi, la volaille fermière à la crème côtoie le parmentier de canard fondant, les pointes de cabillaud sauce vierge ou bien encore la croustillante Tarte Tatin. Le restaurant, qui propose également une offre de vente à emporter de “sandwichs personnalisables à la minute” et de viennoiseries, dispose d’une capacité de 72 couverts et est ouvert de 5h30 à 22h30. Pour le chef Michel Rostang, « le café Eiffel est un lieu de convivialité avant un grand départ ». L’enveloppe du Café Eiffel reprend les codes de la structure de la Tour Eiffel. Cette invitation au voyage va permettre aux voyageurs de profiter, avant de décoller, de la magie de Paris. « Gustave Eiffel a toujours fait des choses utiles. Il a rassemblé et a fait travailler ensemble des gens pour servir le plus grand nombre. En ce sens le Café Eiffel et la petite exposition sur le grand homme Eiffel qui l’accompagne, rappelle aux voyageurs du monde que derrière la Tour se cache un homme Gustave Eiffel, qui a apporté du bonheur et de la fierté aux français », souligne Philippe Coupérie-Eiffel.
Le Café Eiffel est né de la rencontre entre deux passions, deux familles, deux hommes, dont l’histoire repose sur un savoir-faire qui a contribué, chacun dans son domaine, à façonner les deux souvenirs de France que tout visiteur garde en tête : la gastronomie et l’ingénierie. D’un côté la cuisine, le Restaurant à la française; de l’autre la Tour Eiffel et les ouvrages métalliques gracieux, en suspension dans les airs. Michel Rostang et Philippe Coupérie-Eiffel ont souhaité unir leur savoir-faire et leurs héritages respectifs pour façonner un lieu rendant hommage à la France des inventeurs et des esprits créatifs. Alliant leur vision pour créer un restaurant centré sur la qualité de son service, avec une sélection de mets mettant à l’honneur des produits français, ils souhaitent faire découvrir aux voyageurs toutes les facettes de ce que l’on appelle dans leurs deux univers « la maîtrise technique ». « C’est sous le signe de l’innovation et de la qualité que nous avons positionné notre offre de restauration où nous sommes particulièrement fiers de ce partenariat avec Michel Rostang et Philippe Coupérie-Eiffel aux côtés de Paris Aéroport, avec un objectif partagé d’excellence et d’expérience voyageur à la hauteur de leurs attentes », déclare Gérard d’Onofrio, Directeur Général SSP France, Belgique, Luxembourg.
La maison Ladurée propose quant à elle une offre où les macarons classiques Chocolat-Caramel côtoient l’Exclusif au thé fumé. Elle présente pour la seconde fois dans le monde, à travers son concept exclusif “Le Macaron”, son produit iconique. Dans ce palais du macaron, les passagers vont découvrir la plus grande variété de recettes avec plus de 30 parfums différents. Les voyageurs vont pouvoir retrouver les saveurs classiques – Lavande, Fruits rouges, Pêche, Chocolat, Earl Grey – au plus inédites, dont la recette “Thé fumé” spécialement imaginée pour l’aéroport.
Enfin, pour les plus pressés et les amateurs de produits frais, naturels, Exki propose une gamme complet, du petit-déjeuner au dîner, sur place ou à emporter. Exki propose des produits frais et naturels, sans aucun additif, à déguster sur place ou à emporter : petit-déjeuner complet, large gamme de sandwichs et salades originales, soupes “maison”, tartes aux légumes, sans oublier de délicieux desserts. Certains des ingrédients utilisés (pain, produits laitiers, confiture, etc..) bénéficient du label BIO. Ouvert tous les jours de 5h30 à 22h30, le point de vente dispose de 76 places assises.
« Paris Aéroport développe encore son offre de restauration. D’ici 2020, huit chefs étoilés officieront sur les aéroports parisiens. L’ouverture de ce nouvel espace dédié à la gastronomie et à l’Art de vivre à la française va permettre de hausser la qualité de service apportée à nos clients passagers », souligne dans un communiqué Mathieu Daubert, directeur Clients du Groupe ADP.
alex95 a commenté :
17 décembre 2018 - 15 h 39 min
Tout à CDG est très cher, entre la maison du Caviar, Ladurée, le Bistrot etc… il reste les Mc Do.
Dommage qu’il n’y ait pas une restauration intermédiaire (il y avait un Hypopottamus au 2B/2D), au 2E il n’y a qu’un Paul…
Dans n’importe quel aéroport internationale on devrait pouvoir trouver une pizzeria ou un steack frites à pas cher…
VIVELACONCURRENCE a commenté :
17 décembre 2018 - 15 h 56 min
Et les bouchons à CDG à l’entrée du 2E ?
Quid de la livraison des bagages du 2E qui dure 1h sur les vols arrivant le matin ?
Franchement ADP, travaillez sur l’essentiel
allons a commenté :
17 décembre 2018 - 17 h 31 min
Pour votre culture personnelle, ce sont les compagnies ou leurs assistants qui sont en charge du déchargement et de la livraison des bagages.
ines a commenté :
17 décembre 2018 - 17 h 22 min
Voilà la priorité d’ADP… “offrir” à ses clients des commerces hors de prix…
En attendant demeurent toujours:
– les voies d’accès aux terminaux de plus en plus embouteillées,
– le harcèlement quasi-systématique et parfois physique des faux chauffeurs de taxi à la sortie de la zone sous-douane,
– le “souk” des stations de taxis à Orly (notamment), et les attentes interminables faute de voitures suffisamment proches des terminaux,
– les escalators ou tapis roulant (ou l’on ne peut pas être à deux de front) en panne (une spécialité ADP),
– des ascenseurs beaucoup trop petits où l’on doit s’entasser… en plus ils sont super lents,
– une signalisation encore déficiente dans beaucoup de circuits,
– des sasses Parafes qui sont désespéramment fermés,
– des attentes interminables aux contrôles aux frontières, et même quand on est Sky Priority… un comble.
– Idem pour le contrôle des bagages,
– Un VAL reliant les terminaux du 2E pas assez fréquent et avec un nombre trop réduit de voitures… alors que les quais pourraient accueillir plus de wagons… Pourquoi nous tasser comme des sardines?
– des prestations littéralement hors de prix (quand on voit le prix de la bouteille d’eau de 33cl ou du moindre sandwich, c’est scandaleux),
– etc. etc.
Donc en deux mots… ADP devient de plus en plus une machine à frics, mais certainement pas à facilité les passagers à prendre l’avion dans de bonnes conditions. Les bonnes conditions n’étant pas de faire fleurir les boutiques Ladurée partout, mais d’offrir une logistique et un circuit ne se transformant pas en parcours du combattant…
Il faudrait qu’ADP comprenne que si on perd des dizaines de minutes pour accéder en voiture aux terminaux, auxquelles s’ajoutent encore des demie-heures pour s’enregistrer, passer les contrôles aux frontières, et les contrôles des bagages, c’est autant de temps en moins qu’on aura pour acheter des macarons Ladurée ou des chemises Hermès…
allons a commenté :
17 décembre 2018 - 18 h 01 min
Je passe sur les quelques erreurs de jugement que vous avez fait et je comprend surtout que vous aimeriez être seule à l’aéroport , pour ça je vous recommande l’aviation d’affaire …
gerald a commenté :
17 décembre 2018 - 22 h 44 min
Une chose est sûre, on voit bien que vous n’empruntez pas souvent les aéroports parisiens et encore moins, ceux qui se trouvent à l’étranger… vous constateriez que Roissy et Orly sont les champions – à taille équivalente – en terme de mauvaise accessibilité routière ou ferroviaire… notamment…
girmon a commenté :
17 décembre 2018 - 22 h 50 min
Pour votre culture personnelle, ce ne sont pas les compagnies aériennes qui sont à l’origine des concepts aéroportuaires définis par ADP. D’ailleurs quand les compagnies aériennes émettent des recommandations, comme c’est le cas sur le futur T4 de Roissy (qu’elles jugent déjà très mal conçu en terme de temps de roulage des aéronefs), ADP s’en tape!
La pseudo concertation ADP/Cie aérienne est un véritable leurre pour gogo. Feu Paul Andreux n’en n’a fait qu’à sa tête pendant 20 ans.
Alors pour votre gouverne, c’est bien ADP et elle seule qui choisi de faire des terminaux mal reliés entre eux, avec un circuit à bagage maintes fois remaniés depuis son origine car il s’est avéré totalement inopérant, et qu’on paie encore maintenant les erreurs d’ADP en la matière. Evoquez encore du concept du T1 pour la gestion des bagages auprès des compagnies aériennes usagères de cette aérogare et vous comprendrez…
Parlez de ce que vous connaissez REELLEMENT, ça nous ferrait plaisir 🙂
VIVELACONCURRENCE a commenté :
17 décembre 2018 - 19 h 55 min
+1 INÈS
Constat tellement vrai et qui saute aux yeux dès lors que l’on connaît les autres grands hubs internationaux
Adp a commenté :
18 décembre 2018 - 1 h 47 min
Chez ADP tout est cher… c’est un peu comme les impôts en France. On paie beaucoup mais on ne sait pas à quoi est utilisé l’argent qu’on nous ponctionne car en en voit pas le résultat…
Gian a commenté :
18 décembre 2018 - 5 h 34 min
Je n’ai jamais compris pourquoi la gestion des aéroports est concentré toujours sur le “luxe” inintéressant, superflu, qui plus est, plus chers? Et faible attention aux services d’accessibilité, d’accueil et propreté!!!
ajar a commenté :
18 décembre 2018 - 11 h 31 min
ADP a lire certains est blanc comme neige….Orly et CDG c’est du grand n’importe quoi en terme de gestion des parkings ,de livraison des bagages ,et des accès des terminaux par route .
YPY a commenté :
18 décembre 2018 - 11 h 50 min
Lors des appels à candidature pour les locaux commerciaux, c est en général celui qui propose la redevance la plus élevée qui gagne la concession.
Afin de payer cette redevance excessive, cela implique des produits chers où la marge est importante.
Tant pis pour le voyageur qui devient un consommateur captif et donc le pigeon idéal pour ces sociétés et donc ADP, que l État, qui nous pressure déjà tout au long de l année, laisse faire alors qu il est un actionnaire non négligeable d ADP !