Un appareil de la compagnie aérienne Air Nuigini a raté son atterrissage ce matin, se posant dans un lagon de Micronésie, mais les passagers et l’équipage ont été évacués avant qu’il ne coule. Au Mexique, 29 personnes ont été blessées dans des turbulences lors d’un un vol de la low cost Volaris
Un Boeing 737-800 de la compagnie de Papouasie-Nouvelle Guinée transportant 35 passagers et 12 membres d’équipage a raté son atterrissage à l’aéroport de Chuuk dans l’île Weno ce 28 septembre 2018 vers 9h30, se posant dans le lagon à environ 150 mètres du bout de la piste. Toutes les personnes à bord ont pu être évacuées sans être blessées, mais l’appareil qui s’est lentement enfoncé dans la mer serait irréparable.
Air Niugini a confirmé que le 737-800, en provenance de Pohnpei et qui devait continuer sa route vers Port Moresby, avait atterri directement dans l’eau ; il pleuvait lors de l’accident, aucun autre élément n’étant fourni en attendant le début de l’enquête.
LATEST: No serious injuries reported after an Air Niugini Boeing 737 with 47 people on board crashes off the coast of Chuuk in the Federated States of Micronesia. https://t.co/fUr0yXpBvm pic.twitter.com/7oxqGo0EZd
— ABC News (@ABC) September 28, 2018
Au Mexique, un Airbus A320 de la low cost Volaris reliant Guadalajara et Tijuana a été pris dans des turbulences à mi-chemin alors qu’il se trouvait à 34.000 pieds mercredi soir, avant d’atterrir sans autre problème à sa destination. 29 personnes à bord ont été blessées dans l’incident, douze étant hospitalisées – huit passagers et quatre membres du personnel de cabine – pendant la nuit. Le gouverneur de la province a évoqué des turbulences « modérées » lors de l’incident, sans autres détails.
Olivia a commenté :
29 septembre 2018 - 9 h 20 min
Sans doute le CFIT le plus comique de l’histoire !
Non, non et non a commenté :
29 septembre 2018 - 17 h 00 min
Concernant les turbulences, la consigne est que tout passager doit resté attaché dès qu’il est sur son siège : bien. Sur ce point, tout le monde est d’accord, même si la consigne reste peu appliquée.
Mais qu’en est-il des équipages qui volent ostensiblement détachés, même dans les phases critiques d’un vol, à savoir au décollage et à l’atterrissage ? J’observe ce phénomène de plus en plus souvent et il ne cesse de m’intriguer. La nouvelle génération de PNT serait-elle à ce point en surpoids qu’elle resterait rivée à son siège en toute circonstance ?