Pendant quinze jours le mois prochain, la compagnie aérienne Emirates Airlines déploiera un Airbus A380 tous les jours entre Dubaï et Athènes sur l’une des deux rotations quotidiennes, celle ne continuant pas vers Newark.
Du 15 au 30 juin 2018, cinq ans et demi après avoir posé pour la première fois son superjumbo à l’aéroport d’Athènes-Eleftherios Venizelos, la compagnie des Emirats Arabes Unis remplacera sur cette destination l’habituel Boeing 777-300ER tri-classe par un A380 tri-classe. Selon Airlineroute, il décollera de sa base à l’aéroport de Dubaï à 16h20 pour arriver à 20h25, et repartira de Grèce à 23h10 pour se poser le lendemain à 4h45 (durée de vol moyenne 4h50). L’autre rotation du jour continuera à être exploitée en 777-300ER, avec départ de Dubaï à 10h50 (arrivée à 15h00 puis à 21h20 à Newark-Liberty) et retour des Etats-Unis à 23h55 (arrivée le lendemain à 23h50 dans les Emirats). Emirates Airlines est en concurrence indirecte vers la capitale grecque avec Etihad Airways, Gulf Air et Qatar Airways.
Rappelons que le Dubaï – Athènes – Newark de la compagnie émiratie, lancé en mars 2017, est sa seconde route vers New York faisant escale en Europe avec possibilité d’y embarquer des passagers, après celle s’arrêtant à Milan-Malpensa sur le chemin de l’aéroport JFK (là aussi en plus des vols directs). A leur arrivée en Grèce, ses passagers bénéficient d’accords interlignes avec Aegean Airlines et Olympic Airways.
Erik de Nice a commenté :
21 mai 2018 - 18 h 44 min
Ce qui prouve au moins une chose, eux aussi ont construit une passerelle 380.
Petit à petit, l’oiseau fait son nid..
filousyle a commenté :
22 mai 2018 - 10 h 34 min
Les aéroports en Grèce sont allemands ils se sont remboursés sur la bête les teutons ceci explique cela
NDR a commenté :
21 mai 2018 - 18 h 52 min
“A leur arrivée en Grèce, ses passagers bénéficient d’accords interlignes avec Aegean Airlines et Olympic Airways”
Et a leur arrivée a Newark ils sont dispatcher par JetBlue qui vend elle aussi ce vol voila ce qu’on appelle une logique commerciale : begociation de droits de traffic, de partages de code et procurer de l’acantage concurrenciel au client final Emirates vend son billet 670€ A/R Athenes-Newark contre 970€ pour United, chez un grecque qui a perdu 70% de son pouvoir d’achat cela ça compte beaucoup n’en déplaise aux pseudo fonctionnaires qui traveillent 3 jours sur 5 et qui se font payer leur billet d’avion par leur ministère 😉