AirHelp a annoncé avoir lancé un scanner de carte d’embarquement sur l’application mobile AirHelp qui permet de vérifier instantanément si le vol, retardé ou annulé, donne droit à une indemnisation.
Les passagers peuvent désormais être indemnisés en scannant le code-barres de leur carte d’embarquement, directement à l’aéroport ou une fois rentrés chez eux. Il suffit pour cela de télécharger l’application mobile AirHelp et d’approcher le code-barres de la caméra de son smartphone. L’application peut alors récupérer toutes les données liées au vol, et analyser s’il est sujet à une indemnisation.
Egalement, pour comprendre rapidement si son vol retardé est éligible ou non à une indemnisation et connaître le montant de celle-ci, les passagers ont accès à un résumé de tous les textes de loi concernant la réglementation européenne sur les perturbations de vol directement depuis l’application mobile. Le processus est gratuit pour les passagers, AirHelp se rémunère uniquement en prélevant 25% de commission sur l’indemnité obtenue auprès des compagnies aériennes.
« Le scanner de carte d’embarquement s’inscrit dans notre volonté de mettre l’innovation technologique au cœur de l’expérience client des passagers aériens. Maintenant, il ne suffit plus que de quelques clics pour obtenir réparation lorsque l’on est bloqué à l’aéroport. Il est important de rendre le processus de réclamation aussi simple et fluide que possible pour les passagers lésés, afin qu’ils puissent profiter au mieux de leurs vacances.
Nous avons testé le scanner sur les marchés américains et anglais en juin et juillet, et les retours d’utilisation ont été très bons. Nous avons donc décidé de le lancer sur les marchés français, allemands et espagnols, où circulent les plus grands nombres de passagers aériens en Europe. Sur l’été dernier, 76 millions d’euros d’indemnités étaient dus par les compagnies aériennes aux passagers aériens de France en raison des retards et annulations de vol. Pourtant, moins de 10% des passagers lésés ont touché une indemnisation, essentiellement par manque de connaissance des règlementations. Cet été, nous estimons que plus de 80 millions d’euros seront dus, et espérons que notre scanner de carte d’embarquement permettra aux Français de récupérer leurs indemnités. » commente Jeff Biart, responsable d’AirHelp France.
Pet a commenté :
20 août 2017 - 12 h 08 min
Ou simplement se souvenir des conditions de remboursement, re-routing, annulation etc.. dûment expliquées à l’achat par tous les sites, et garder de la mémoire pour Marmiton, plus sympa.
Inukshuk a commenté :
20 août 2017 - 14 h 18 min
Ne serait-il pas plus utile de mettre en place un système de pénalités (élevées) a l’encontre des Cies qui refusent systématiquement de payer les indemnités dues aux clients en jouant sur le découragement desdits clients (à ce jeu EZY demeure championne).
Pet a commenté :
20 août 2017 - 14 h 52 min
Quelle loi appliquer ds pareil cas? Pays de départ/arrivée ?
Quel moyen coercitif appliquer pour obtenir la dite réparation?
L’Iata gèrerait cette affaire ? En a-t-elle seulement envie, n’en ayant pas les moyens légaux?
Bwrider a commenté :
20 août 2017 - 16 h 52 min
Comme si on avait besoin de ça pour se faire rembourser. N’importe quoi.