Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Le 29 mars 1923 dans le ciel : Lester James Maitland signe un record de vitesse
Publié le 29 mars 2017 à 00h03 par Stéphanie Meyniel
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Leo a commenté l'article :
SWISS : le salon First Class à Zurich désigné « World’s Best Airline Lounge for Dining 2024 »Leo a commenté l'article :
Flying Blue lance un service d’abonnement mensuel aux MilesAnna Stazzi a commenté l'article :
Flying Blue lance un service d’abonnement mensuel aux MilesMax la menace a commenté l'article :
Canada : WestJet ajoute Halifax-Paris et St. John’s-Paris à son programme estivalLire aussi
Le 24 novembre 1913 dans le ciel : Un crash mortel
Le 23 novembre 1909 dans le ciel : Hubert Latham se rend...
Le 22 novembre 1910 : Pierre Marie et Delage en route pour...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 7 novembre 2024 à 19h00 par Olivia
Publié le 6 novembre 2024 à 20h00 par Olivia
Publié le 8 novembre 2024 à 19h00 par Olivia
Publié le 2 novembre 2024 à 20h00 par Olivia
Dominique de Saint Roman a commenté :
29 mars 2017 - 8 h 50 min
Comment mesurait on la vitesse à cette époque ? Merci.
Ex CCP à la retraite a commenté :
30 mars 2017 - 9 h 30 min
Avec un instrument communément appelé ” le badin”, invente en 1911 par l’ingénieur Raoul Badin: pour le principe de base: ils’agitd’une plaquette de métal montée avec un ressort sur une structure externe de l’avion ( hauban entre-aile ou meme fuselage, par exemple, pourvu que l’emplacement soit bien exposé au vent relatif de l’appareil en mouvement, …et bien visible par le pilote.
L’idée: le déplacement de l’avion créé du vent relatif dont l’intensité, la force ,est proportionnelle à la vitesse de l’appareil.Connaissant la force du ressort qui ramène la plaquette à la verticale lorsque l’avion est à l’arrêt, on étalonne par des marques portée sur un arc ( façon degré mesurant les angles) la position de la plaquette poussée par le vent relatif …à telle inclinaison de la plaquette correspond donc telle vitesse de l’avion…le pilote n’a plus qu à lire l’avait esse portée au droit de positions de référence de la plaquette…
Progrès concernant la securite aeronautique aidant, l’instrument de Mr. Badin deviendra en France un équipement obligatoire des appareils de transports civils des 1923…..
Gros inconvénient du Badin initial:
Nécessite une lecture visuelle direct par le pilote ( pas de transport de l’information jusque dans un cokpit éloigné de l’instrument , ou ferme…)
Peu de précision ( style quelques tirets étalonnés par exemple pour correspondre à 50, 70, 109, 120, 150 km/h, mais guère plus..
Fiabilité du résultat sujette à caution: en vol, il y a le vent relatif créé par le déplacement de l’avion lui-même qui est une donnée stable, mais aussi le vent naturel…et ses soubresauts ( rafales) qui peuvent s’additionner où se soustraire au vent relatif et donc influer sur la force exercée sur la plaquette, donc sur sa position, donc sur la traduction l’UE en km/h….de plus l’instrument doit se trouver ” droit dans les filets d’air en écoulement”: cela nécessite un placement pointu sur la structure de l’avion, mais crée aussi des limites opérationnelles à son bon fonctionnement ( avion en virage ou mouvement rapide à cabrer ou à piquer….) dues aux modifications temporaires de l’écoulement des filets d’air …
Voilà en gros ce que les faibles connaissances en aero d’un ” ancien simple serveur dans les avions…” me permettent de vous dire…j’aurais aimé que les nombreux professionnels pointus de ce site , toujours prompts à critiquer, se manifestassent pour vous apporter leurs bienveillantes lumières…ils n’ont pas cru nécessaires de la faire ….Occasion perdue de leur part de faire oeuvre utile,sans doute!
Ex CCP à la retraite a commenté :
30 mars 2017 - 9 h 39 min
L’un des problemes tres difficile à résoudre à l’épique pour situer l’emplacement de montage du badin sur l’avion, est que le badin ne devant absolument n’être actionné que par le vent relatif extérieur,il fallait le préserve du vent de l’hélice tournant à plusieurs centaines de tours/minutes et donc très largement de force supérieure au vent naturel….hors sur les monomoteurs de l’épique, le moteur est toujours dans l’axe de l’avion et le plus souvent à l’avant: le vent de l’hélice s’enroule autour et au long du fuselage: nécessité donc d’éloigner le badin latéralement du fuselage: plus il était loin, p,us il etait sur, mais plus il devenait difficile à lire pour le pilote…
Pour les multimoteurs , où les monomoteurs-propulsifs ( moteur unique installe à l’arrière du fuselage façon Gaudron G3, ) le badin était souvent installé à dessus des yeux du pilote sous le plan supérieur…
Ex CCP à la retraite a commenté :
30 mars 2017 - 9 h 47 min
Pardon, j’ai confondu: c’est pas le Gaudron G3 qui est à hélice propulsive, mais le Voisin 3…..
Pour une mesure de record a commenté :
30 mars 2017 - 12 h 27 min
Généralement cela se faisait depuis le sol à l’aide de chronomètre: l’avion passe en ligne droite entre deux points ( pylônesde départ et d’arrivée) entre lesquels on connaît la distance, on chronomètre puis ensuite on calcul la vitesse horaire….