- Les voyageurs empruntant la navette reliant San Diego à Los Angeles disposent de points d’embarquement et de dépose précis :
- Pour les départs de Los Angeles, les voyageurs peuvent embarquer à bord de la navette sur l’aire de stationnement du Zion Market de San Diego (7655 Clairemont Mesa Boulevard, San Diego, CA 92111). Le point de dépose se situe sur l’aéroport de Los Angeles, au niveau Départ du terminal Tom Bradley
- Pour les arrivées à Los Angeles, les voyageurs peuvent embarquer au niveau Arrivée du terminal Tom Bradley, sous le panneau Turkish Airlines. La navette dépose les voyageurs sur l’aire de stationnement du Zion Market de San Diego.
Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Liens a commenté :
22 mars 2017 - 13 h 53 min
Bonjour
Comment accéder à l’exécution Istanbul quand on a plus de 5 heures d’attente ?
vatandas a commenté :
22 mars 2017 - 14 h 24 min
c est pas possible est ce que vous chercher a tous prix à rabaisser la turquie?
l aeroport ataturk dispose d un lounge au DEPARTURE de 6 000 m2 , c est peut etre le plus grand au monde et tous simplement le meilleur du monde.
et vous parlez du lounge annexe ARRIVAL de 300 m2 une blague!
http://www.ataturkairport.com/tr-TR/HavalimaniRehberi/Pages/LoungeHizmetleri.aspx
Shôgun a commenté :
22 mars 2017 - 18 h 10 min
Franchement, monsieur le rédacteur, pensez au moins à mettre des guillemets et à citer vos sources quand vous recopiez les tracts publicitaires de telle ou telle compagnie. Je dis cela pour votre crédibilité: le style “fils de pub” est ici tellement convenu qu’on en frise le ridicule.
Sur le fond, la qualité des prestations de Turkish Airlines, que j’ai pu expérimenter plusieurs fois entre Nice et le Japon, est réelle. J’ai beaucoup apprécié en particulier le service à bord, tant pour la restauration que pour l’amabilité de l’accueil, même en classe économique.
Hélas, l’évolution politique récente de la Turquie, sous la houlette de son autocrate, a causé un lourd préjudice à cette compagnie. TK avait le potentiel pour supplanter les compagnies du Golfe et Istanbul aurait pu devenir une plaque de correspondance intercontinentale capable de rivaliser victorieusement avec Dubaï. Aujourd’hui, par principe, j’évite Turkish Airlines, au même titre que les compagnies des pétromonarchies. Avec regrets, car le loukoum offert à l’embarquement était aussi délicieux que le sourire des hôtesses turques.