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Crash en Colombie : LAMIA Bolivia clouée au sol
Publié le 2 décembre 2016 à 07h30 par François Duclos
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Alain45 a commenté :
2 décembre 2016 - 8 h 40 min
Dommage que son atterrissage en urgence ait été retardé de neuf minutes, temps pendant lequel il a parcouru deux boucles d’attentes d’environ trente kilomètres, alors qu’il ne se trouvait qu’à quinze kilomètres de la piste !
Quand même incroyable qu’il y ait des survivants dans un avion qui tombe presque comme une pierre ! (5 survivants au final).
Il y aurait pu y en avoir sans doute plus ?
Un des survivants, Erwin Tumiri, raconte que pendant la chute finale de l’avion, beaucoup de passagers paniqués se sont levés de leur siège en pleurant et en criant. Lui-même se met en position de sécurité et cale ses jambes avec une valise, ce qui lui sauve probablement la vie.
serge.gva a commenté :
2 décembre 2016 - 15 h 29 min
Deux boucles d’attente ou pas, c’est quand-même complètement insensé de ne même pas avoir prévu assez de carburant pour pouvoir effectuer ne serait-ce qu’un seul go around!
Soit le pilote était complètement suicidaire, soit il y a probablement eu un problème supplémentaire avec l’indicateur de carburant restant, non?
Justin Fair a commenté :
2 décembre 2016 - 9 h 44 min
Il faudra surtout expliquer pourquoi, il s’est présenté à la balise d’approche avec seulement 9 minutes de carburant…et non la quantité minimale réglementaire…
A330-200 a commenté :
2 décembre 2016 - 10 h 34 min
Cela rappel le crash d un vol d avianca entre BOG -JFk ou ils ont déclaré une emergency trop tardivement et se sont écrasé faute de carburant.
En Amlat ,le transport aérien devient assez sur ,si on utilise les grosses compagnies Latam ,avianca,Azul,copa,aeromexico,aerolineas argentinas,sky,Gol,Tame , Peruvian. Les autres sont a éviter.
Justin Fair a commenté :
2 décembre 2016 - 13 h 07 min
Le rapport du NTSB, le bureau d’enquête américain, indiqua que l’accident était dû à une erreur de pilotage, l’équipage n’ayant jamais déclaré une urgence carburant au contrôle aérien comme cela est préconisé dans les procédures IATA.
L’équipage avait demandé une “priorité” d’atterrissage, ce qui, différence entre l’anglais et l’espagnol, pouvait être interprété comme une « urgence » pour des pilotes hispanophones mais pas par des contrôleurs aériens anglophones. (Wikipedia)
Aux US, se déclarer “minimum fuel” n’est pas considéré comme une procédure d’urgence et ne donne pas de priorité. Le message pour obtenir une priorité ( DISTRESS) doit être de la forme suivante: “MAYDAY (3 fois), Indicatif, low fuel, fuel remaining XX minutes; “
Justin Fair a commenté :
2 décembre 2016 - 9 h 47 min
“Des responsables du contrôle aérien ont par ailleurs été limogés,”
?????
fred06 a commenté :
2 décembre 2016 - 10 h 21 min
Suspendre la licence d’une compagnie qui n’a plus d’avion (elle en avait qu’un!).
Lol!
Sphinctair Ways a commenté :
2 décembre 2016 - 11 h 18 min
Quand le pilote est propriétaire de la compagnie, forcément ça change la donne
fcb1962 a commenté :
2 décembre 2016 - 11 h 24 min
La seconde video est vraiment utile! En espagnol sans sous-titres et qui n’a rien à voir avec le crash….merci AJ!
Victor a commenté :
2 décembre 2016 - 14 h 56 min
mais au fait, à quelle place se trouve la co-pilote? à gauche!!!!!????
Shôgun a commenté :
2 décembre 2016 - 17 h 04 min
Plus les informations s’accumulent, plus elles confirment les premières suspicions. Il apparaît que cette compagnie d’irresponsables (je pèse mes mots) n’aurait jamais dû obtenir, ou du moins conserver, sa licence d’exploitation. Les quelques premiers éléments communiqués par les enquêteurs sont d’ores et déjà accablants pour le pilote comme pour la compagnie. Une accumulation effarante d’infractions et de manquements gravissimes aux règles les plus élémentaires de sécurité.
Il faut souhaiter que les autorités compétentes auditent toutes les compagnies secondaires opérant dans la région et fassent le ménage qui s’impose. Que les voyageurs aériens d’Amérique latine puissent enfin prendre l’avion en toute confiance.