Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Crash en Colombie : panne de carburant et témoignages
Publié le 1 décembre 2016 à 07h30 par François Duclos
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Spongebob a commenté :
1 décembre 2016 - 8 h 23 min
La réaction du CEO de LAMIA est pour le moins surprenante… Il est un peu tôt pour tirer des conclusions sur la chaine de responsabilités… Ce n’est pas très respectueux pour les victimes et d’un point de vue communication de crise pour LAMIA, ça n’est même pas vendeur (le message sous-entend que les PNT sont mal formés et prennent les mauvaises décisions…).
Tragique accident.
Shôgun a commenté :
1 décembre 2016 - 16 h 19 min
Le fait est qu’il est bien de la responsabilité des pilotes de s’assurer d’avoir suffisamment de carburant pour aller au bout du vol, avec une marge de sécurité suffisante pour pouvoir gérer des boucles d’attente, d’éventuelles remises de gaz ou encore un déroutement sur un autre aéroport. En l’état des informations diffusées, si elles sont vérifiées, l’imprudence fautive est patente.
Cependant, l’engagement de la responsabilité de l’équipage ne saurait disculper la compagnie, bien au contraire. Les dirigeants de LAMIA devraient avoir à s’expliquer sur de nombreux points. Par exemple:
– Comment se fait-il que cette compagnie programme des vols directs d’une distance supérieure aux capacités de l’appareil utilisé ?
– Quelles pressions subissent les pilotes pour en arriver à commettre des fautes aussi énormes que de ne pas s’assurer d’avoir une réserve de carburant suffisante pour pouvoir atterrir en toute sécurité ?
– Comment sont formés les pilotes de cette compagnie ?
– Quelles directives leur sont données ?
– etc, etc, etc…
Bref, si le commandant de bord est fautif, il n’est sans doute pas le seul. Trop facile d’accabler exclusivement un mort.
Airbid a commenté :
1 décembre 2016 - 8 h 58 min
on manque pour l’instant de précisions. Est ce une panne d’électricité qui empêche les pompes à carburant de fonctionner ou un manque réel de carburant? Mais cela ne change rien ,hélas, aux conséquences.
B744 a commenté :
1 décembre 2016 - 9 h 23 min
Panne carburant totale…il aurait bouffé sa réserve de route, sa réserve de dégagement (s’il en avait pris une) et sa réserve finale. Combien d’attente aurait-il fallu pour ça?
Matzer a commenté :
1 décembre 2016 - 10 h 09 min
L’avion n’etait pas très loin de son autonomie maximale et si de plus le vent était défavorable….
Il est étrange que le pilote n’est pas signalé le manque de carburant avant. (low fuel zone = 30 min a un régime économique)
Car si c’etait le cas c’est de la responsabilité commune de l’ATC et du pilote. 2 urgences peuvent être gérées.
Tango a commenté :
1 décembre 2016 - 10 h 43 min
Pour répondre à SpongeBob, d’un coté le CEO de LAMIA n’a pas tord, c’est bien de la responsabilité du commandant de s’assurer du fuel planning, mais ça me fait penser à certaines compagnies qui elles aussi rappellent qu’il est de la responsabilité de l’équipage de s’assurer du fuel planning, mais par contre ils doivent se justifier à chaque fois qu’ils prennent 1kg de Jet A1 supplémentaire.
Je crois qu’il y a eu une pression commerciale sur les pilotes pour accepter ce vol qui semble bien être bien trop à la limite de l’autonomie de l’avion afin de garder un client régulier.
Se sachant à la limite, ils ont probablement fait une decision point procedure avec peut-être Bogota ou un autre aéroport. Ça se fait souvent lorsque l’on est un peu trop limité par la contingence, ce qui semblait être le cas.
Le holding n’a duré, depuis l’entrée jusqu’au crash que 13min, ce qu’il veut dire qu’ils étaient déjà gravement en emergency au moment d’y entrer.
Mikeworld a commenté :
1 décembre 2016 - 10 h 51 min
L’avion aurait patienté 15 minutes après avoir été mis en circuit d’attente. D’après une reconstitution du vol en simulateur, après ce circuit d’attente il aurait dû lui rester 17 min d’autonomie (ce qui est très peu). Peut-être que de forts vents de face inattendus ont réduit cette autonomie.
L’équipage n’a, soit pas signalé à temps l’urgence extrême à la contrôleuse, soit mal évalué la situation, ce qui, dans les deux cas, est une faute gravissime.
Il est clair également que, compte tenu de la distance à parcourir pour ce vol, l’autonomie de l’avion ne permettait pas de l’effectuer en toute sécurité (réserve de carburant insuffisante en cas de déroutement ou de remise des gaz).
Crewpower a commenté :
1 décembre 2016 - 12 h 06 min
Bonjour mesdames et messieurs ????????encore une fois .nous nous sommes retrouvés dans une situation très très difficile à vivre. Et à accepter. Dans ces pays les conditions de travail et les pressions psychologiques et de physiques sont bien réels .le mauvais temps c’est une chose. Le respect de la masse de l avion c’est une autre. Le plein de fuel .réserve comprise. En-cas de problèmes ..je pense qu’il faudra beaucoup de temps pour les autorités locales et internationaux. .arrivent à tirer des conclusions sur cet accident .il y a aussi une procédure en cas de mauvais temps. Le pnt doit demander aux occupants de l avion D etteindre tout les appareils électroniques. Ou panne électrique .quelques choses de ce genres .où est passé le carburant de l avion. ? .il manque quelque chose. ????
fcb1962 a commenté :
1 décembre 2016 - 13 h 34 min
Je ne vois pas ce que vient faire la dernière photo sur ce site sinon de donner dans le pathos…..
Rouve a commenté :
1 décembre 2016 - 14 h 58 min
Il semble que cette compagnie aérienne à l habitude de transporter des équipes de foot en Amérique du sud recemment l equipe d’argentineje suis passé proche de cet avion stationné aéroport tancredo névés il avait comme l on dit des heures et des heures de vol moi je n y serait pas monté !le marché des transports pour les équipes de foot est à revoir
Shôgun a commenté :
1 décembre 2016 - 16 h 40 min
Deux avions en situation d’urgence à l’atterrissage, au même moment, pour un même aéroport… Cela interpelle quand même fortement quant aux normes et pratiques en matière de sécurité aérienne dans cette région du monde, non ? Il y aurait peut-être du ménage à faire parmi les compagnies autorisées à opérer.
Rouve a commenté :
1 décembre 2016 - 16 h 57 min
Autre info la compagnie lamia possède 3 avions du même type en tout dont deux sont en maintenance et le seul en fonction s est crashé le pilote de l avion étant co propriétaire de la compagnie