Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Pilotes et médecins: nouvelles règles européennes en vue ?
Publié le 17 août 2016 à 12h00 par François Duclos
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un plus de 3000 h de vol a commenté :
17 août 2016 - 12 h 33 min
Ne jouons pas à se faire peur…Les contrôles périodiques médicaux sont déjà d’un bon niveau et contraignants pour autoriser et valider les licences de pilotage .
La levée du “secret médicale” ..dans certains cas exceptionnels devrait être la règle …ce qui n’a pas été le cas dans la dernière affaire évoquée ….
Les contrôles d’alcoolémie ou des temps de repos en escale devrait également être plus systématiques … avec parfois des fatigues accumulées …Cela dit on n’empêchera pas le “Pétage de plomb” très aléatoire d’un CDB …..Le nombre de suicide certifié ces 20 dernières années ne dépasse pas ente 5 et 10 au niveau mondial … C’est encore trop bien sûr.. mais rien à comparer des accidents de la route !
FRED LE CORSE a commenté :
17 août 2016 - 12 h 45 min
exact surtout sur les temps de repos car meme sur du MC des levés à 4-5h du mat’ pour un départ à 07:00 c’est dur et encore plus avec l’age…. souvent on a entendu des histoires où des pnt se sont assoupis et l’atc en panique car pas de reponses…. quand au LC c’est pire
papy a commenté :
17 août 2016 - 13 h 38 min
Comme d’hab, pour un très rare cas d’un cinglé qui a pété les plombs,
on va multiplier les examens pour tous les pilotes d’europe !
Bizarrement personne n’exige le moindre examen ni suivi psycho pour nos chers chefs d’états qui dirigent le monde avec une main sur l’arme nucléaire et l’autre la bourse …
Mitch a commenté :
17 août 2016 - 14 h 51 min
Oui test psychatrique (validite de l’evaluation?), tests d’alcoolemie, drogue etc… Tous les jours en medecine on fait face a des accidents. Tests psychatriques nuls, test d’alcoolemie nuls, aucune consequence pour les medecins qui savaient pertinemment leur collegue anesthesiste de Pau alcoolique a problemes, pas de boites noires etc… On est entrain de faire d’un cas unique une generalite et l’UE europeenne se drappe de son plus beau manteau pour imposer a tout le monde les contraintes et recolter des benefices clames mais non averes. Malheureusement des suicides chez les pilotes ca existe mais l’EASA ne va nullement y regarder et surtout pas si ca peut etre lié aux conditions de travail. Quand on sait que dans certaines compagnies en particulier low-costs il est très compliqué d’obtenir un jour off pour l’enterrement d’un membre immediat de sa proche famille par exemple, ca fait rire de voir cette grosse cavalerie mise en place sur un cas isolé. Bizarrement l’EASA n’a pas retenu la seule conclusion qu’ils aient decide d’ignorer dans le rapport su BEA à savoir la disparition des contrats des assurances pertes de licence qui, comme le rapport le souligne, mettent une pression financière énorme sur la déclaration de problème médical. Merci l’EASA, merci les fonctionnaires européens aux conditions hallucinantes.
Justin Fair a commenté :
18 août 2016 - 10 h 18 min
” ca fait rire de voir cette grosse cavalerie mise en place sur un cas isolé.”
Et oui, mais “on” a pris des mesures pour rassurer les passagers,voyagez tranquilles et pas cher! Mais quid du fond du problème, dégradation des conditions de travail, endettement, précarité, vie de famille impossible, etc. Il va falloir des médecins habiles pour déceler ce qui ne va pas, avec des visites médicales qui se transforment en “coups de sifflet” de plus en plus brefs…Tous les pilotes désabusés, déçus, endettés, inquiets quant à leur avenir, voire désespérés ne sombrent pas dans l’alcool et la drogue…Et ça, c’est, en principe, déjà recherché dans les centres d’expertise médicale.
Vincent 69 a commenté :
17 août 2016 - 16 h 17 min
Des agences, des commissions, l’UE ! ! ! Combien va nous coûter la petite sauterie ?
Soyons sérieux : le crash de la GERMANWINGS, s’il s’est bien déroulé comme le prétend le BEA dans son rapport BEA2015-0125, révèle que le pilote aurait développé un … burn-out en 2008 dès sa formation ab initio au sein de la LFTPS (Lufthansa Flight Training Pilot School) ! Rien de moins ! ! !
Un burn-out dès la formation ab initio suffisait à le déchoir de toute tentative de poursuivre toute formation aéronautique, pas même celle d’un ULM à pédales.
Inutile de revoir le Doc 8984, c’est déjà prévu : il suffit d’appliquer la réglementation existante ! ! !
roupettes de lapins a commenté :
18 août 2016 - 8 h 03 min
Le mieux, et c’est là ou ils veulent en venir les impérialistes : plus de pilotes que St Georges…..comme cela plus de suicide! Vive les robots…
UPABM a commenté :
18 août 2016 - 10 h 04 min
Par contre pas d’avancée dans le domaine de la fatigue opérationnelle. Ça tombe bien, on ne peut pas la mesurer! Un pilote qui vas au boulot avec de l’alcool dans le sang, c’est combien de cas? Et le même sans alcool mais fatigué? Par contre le résultat est le même… À méditer par les passagers et les autorités.
Justin Fair a commenté :
18 août 2016 - 10 h 41 min
Des études pour la prévention routière ont montré que 17 heures de veille active équivalent à 0,5g d’alcool dans le sang et pour 21 h, 0,8 g…
De mémoire, les résultats d’études concernant les pilotes après une nuit blanche en vol présentent des données de cet ordre…
Baron a commenté :
18 août 2016 - 12 h 45 min
Ils feraient mieux de s’occuper des règles d’emplois du PNT quand à la gestion de la fatigue et des repos. Quand il est possible d’être reengageable par un lever tôt 4 étapes et que tu as un fais un vol de nuit la veille, on peut mieux faire d’un point vu sécurité des vols….
Justin Fair a commenté :
18 août 2016 - 13 h 42 min
J’ai connu dans les années 80, un patron d’une petite compagnie ( où ce n’était pas pire que dans certaines “low cost” actuelles) qui se plaignait auprès de la DGAC des limitations en heures de vol et des repos obligatoires pour ses pilotes. Il osait écrire, que pilote lui même , il lui arrivait de voler 10 heures par jour, sans ressentir la moindre fatigue (sic!)