Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Air France : le coût de la grève des pilotes dépasse 40 millions d’euros
Publié le 15 juin 2016 à 10h00 par Alain Nguyen
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Tango a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 11 min
40 millions, c’est un avion et demi?
Je veux bien avoir les mêmes contrat qu’Air France a car c’est très loin du prix catalogue, j’aurais plutôt dit un demi avion qu’un avion et demi.
Sans toutes ces grèves les clients feraient confiance en AF et donc un plus grand nombre de clients et tout cet argent perdu pourrait servir à faire des investissements tel des avions ou des prestations salariales.
Mais bon asphyxions la bête, si elle ne tombe pas raide morte, elle sera peut-être plus docile…
Nom a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 18 min
Les actionnaires devraient remercier gagey et recruter un directeur performant et sérieux quelqu’un qui pourrait éviter ces greves a répétition.
Erik de Nice a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 19 min
Et tout ça pour ne rien obtenir au final sinon un trou de 40 Millions d’Euros…et un autre “Rendez-Vous”.
Même à ce niveau ils sont mauvais!!!
cimbour a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 22 min
Un peu abusé le nombre d’articles sur AF je trouve.
papy a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 26 min
Un petit Article du point sur le SNPL AF:
Air France : la quasi totalité des dirigeants du SNPL n’ont pas fait grève !
C’est ce qu’on appelle l’arnaque à la confiance. Les dindons de la farce sont ceux qui suivent Evain et ses accolytes…
“Les dirigeants du SNPL, le syndicat majoritaire, eux, ne se déclarent pas en grève ? Ce qui plombe les statistiques du mouvement. Ainsi, Philippe Evain, le président, s’est inscrit « en repos » sur le planning des vols dont nous avons pu avoir connaissance. Paul Farges, le vice-président au bureau du syndicat, également commandant de bord sur moyen-courrier Airbus A320, est pointé « en vacances ». Emmanuel Mistrali, porte-parole est aussi en repos. En revanche, Véronique Damon, secrétaire générale du SNPL et copilote sur Boeing 777, s’est déclarée gréviste.
Conséquence pratique, pour les trois premiers, cela leur évite les pertes de salaire. Un trentième du salaire mensuel est, en effet, déduit par journée de grève ainsi que les primes de vol. Déjà, lors du conflit de septembre 2014, les dirigeants du SNPL avaient « optimisé » leurs plannings en combinant repos, vacances et formations. En revanche, le Spaf, l’autre syndicat de pilotes, avait demandé à ses membres de déclarer leurs jours de grève.
Philippe Evain, que nous avons réussi à contacter, nous a déclaré, en riant : « Faites votre papier. Amusez-vous. Au revoir, monsieur ! » et a raccroché. Paul Farges n’était pas joignable.”
CQFD
(Le Point)
http://www.lepoint.fr/economie/exclusif-air-france-les-dirigeants-du-snpl-ne-font-pas-greve-13-06-2016-2046294_28.php
Roger Wilco a commenté :
15 juin 2016 - 11 h 22 min
Il est toujours désolant de lire des articles de ce Mr V… qui sont les plus factuellements faux de toute la presse française . C’est dire….
C’est triste pour les malheureux lecteurs de ce journal qui sont ainsi abusés…
Encore 40 millions d’euros stupidement perdus par la faute du Baron Juniac et de son équipe . Quel bilan catastrophique …
papy a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 29 min
Air France-KLM : quand les Bataves se rebiffent
Les pilotes néerlandais de KLM supportent de plus en plus mal leurs collègues français d’Air France,à cause de leur grève.
On n’a jamais vu cela : les pilotes de KLM ont désavoué publiquement leur homologues d’Air France. La prise de position d’autant plus inhabituelle qu’Air France et KLM, c’est le même groupe. Le transporteur français a racheté le Hollandais il y a une douzaine d’années. Et voilà que le syndicat des pilotes batave publie un communiqué pour “désapprouver” la grève française qui se déroule en ce moment. Un mouvement qui provoque, dit-il, “beaucoup d’inquiétude et d’exaspération”. Il y a même une pétition contre les Français qui circule chez KLM. Elle a réuni plus de 4.000 signatures.
Les Néerlandais sont exaspérés par les pilotes français, qu’ils considèrent comme des enfants gâtés. Parce que eux, chez KLM, ont accepté de serrer la ceinture : gel du salaire, augmentation des heures de vol et report de l’âge de la retraite de deux ans, pour rétablir les comptes de leur compagnie. Rien de tel n’a été signé chez Air France où, au contraire, les grèves de pilotes se succèdent et menacent l’entreprise. Celle qui est en cours vise justement KLM : les pilotes français veulent un rééquilibrage du trafic en faveur d’Air France, car ils estiment qu’il y a un déséquilibre au profit de KLM.
Les pilotes d’Air France réclament 27 avions
Le déséquilibre évoqué est léger, mais réel. Il s’explique par deux éléments. D’abord parce que KLM a racheté une petite compagnie, ce qui a augmenté mécaniquement sa part dans l’alliance avec le Français. Ensuite, les coûts sont plus faibles chez KLM, en particulier avec des redevances d’aéroports aux Pays-Bas qui sont moins lourdes que celles d’Aéroport de Paris, selon la compagnie.
Du coup, le syndicat des pilotes d’Air France demande que l’entreprise achète quelque vingt-sept gros porteurs, au profit exclusif du transporteur français, pour rétablir l’équilibre.
Cela n’a aucun sens. Vingt-sept avions au prix catalogue, c’est 8 milliards d’euros. Cela représenterait soixante-dix fois les bénéfices de l’année dernière. Sans compter le personnel pour faire tourner les avions. Par ailleurs, où sont les passagers qui permettraient de rentabiliser ces investissements ?
Air France a redressé la situation l’année dernière, notamment en fermant des lignes qui n’étaient pas rentables. Le but d’une ligne aérienne, ça n’est pas d’occuper les pilotes ou de faire plaisir au syndicat : c’est de rendre un service aux clients et de gagner de l’argent, ou à tout le moins de ne pas en perdre.
Un groupe, trois entités
Tout cela signifie quand même que la fusion entre Air France et KLM n’est toujours pas achevée. Treize ans après en effet, il subsiste deux entités, et surtout deux cultures, en particulier chez les aristocrates de l’air, les pilotes. Aux Pays-Bas, les pilotes ont aussi des salaires très élevés, mais ils travaillent davantage que les Français. Aujourd’hui dans le groupe, il y a en fait trois entités : Air France, KLM, et Transavia, la filiale low-cost du groupe qui opère sur les trajets intra-européens.
Ce sont KLM et Transavia qui connaissent la croissance la plus forte, au détriment d’Air France, qui a plus de difficulté, à cause de ses coûts, et en particulier des pilotes. Et comme par hasard, nos syndicats de pilotes cherchent à bloquer tantôt KLM, tantôt Transavia. Les pilotes d’Air France n’aiment pas beaucoup ce qui marche sans eux.
(RTL)
Roger Wilco a commenté :
15 juin 2016 - 11 h 34 min
Que les pilotes Hollandais d’esprit entraine la grève de leurs homologues français n’a rien de surprenant .
Leur objectif est de protéger leurs intérêts. Ils ont été copieusement utilisés au travers de cadeaux en termes de productivité par l’équipe dirigeante pour pouvoir faire pression sur leur collègues français.
Leurs efforts en terme de productivités sont semble t-il plus faible que ceux de leur homologues français avec de bien meilleures conditions ( bien meilleure retraite et beaucoup plus tôt que celle des français) financée par AFKLM , ce qui a obligé l’entreprise à refinancer leur caisse de retraite à hauteur de centaines de millions d’euros …..
Mentir et calomnier par voie de presse pour diviser les populations est la seule stratégie mise en place depuis 4 ans …. On casse une entreprise avec moins que cela.
On voit le triste résultat de la politique du baron Juniac : des emplois détruits , une synergie volatilisée malgré l’évidente bonne volonté des personnels des millions envolés dans une myriade de grèves qu’il a soigneusement provoquées …
Vincent 69 a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 31 min
“coût de la grève des pilotes dépasse 40 millions d’euros”
Où comment démanteler une entreprise !
Merci qui ?
Merci, le SNPL ! Merci la minorité du PNT imposant sa dictature à l’ensemble du personnel !
Pet a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 32 min
Ha ha ha ! Royale victoire du snpl et ses chers adhérents!
40M est une perte sévère, quant aux clients “attendons de voir la vitesse à laquelle ils reviennent” . En effet, la lassitude gagne, quand on voit des soviets arriérés bloquer un outil de travail d’une telle valeur.
Ces fameux soviets qui ont mené à la ruine des dizaines de pays.
ISF a commenté :
15 juin 2016 - 10 h 42 min
Il serait très intéressant de connaitre le patrimoine (et pas le salaire) de certains(nes) pilotes du bureau SNPL AF notamment ceux et celles qui s’expriment dans la presse…
“Plus le singe monte haut, plus on voit ses fesses”
Gian a commenté :
15 juin 2016 - 11 h 13 min
En comparaison le coût d’installation du nouveau «roi & sa cour» PDJ, 40 millions d’euros sont des arachides!