



Publié le 6 juin 2016 à 14h00 par Alain Nguyen
©Airbus
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Shôgun a commenté :
6 juin 2016 - 19 h 16 min
Bigre, c’était violent !
Et pas de chance, en plein repas…
La question que je me pose, en tant que non spécialiste qui s’assume, est la suivante: n’y a-t-il pas moyen, avec la technologie dont on dispose aujourd’hui, de détecter, et donc d’éviter, ces zones de fortes turbulences ?
S’agit-il d’une impossibilité technique ?
D’une question de coût des équipements ?
D’une pression économique qui dissuaderait les pilotes de contourner ces zones ?
Encore une fois, pas de polémique, seulement des questions.
Dakota a commenté :
6 juin 2016 - 19 h 29 min
D’après les photos, c’était du sérieux dans le genre “turbulences”… En général, ça secoue surtout dans la zone de convergence intertropicale, mais dans l’autre sens (contre le mouvement de la terre).
Gravity a commenté :
6 juin 2016 - 20 h 26 min
Bon point positive dans tout sa l’A380 était remplie à un peu près 75%
En sachant qu’en 2015 des A380 de cette compagnie effectuait encore des Paris-Kuala Lumpur avec seulement 70 passagers…
Pat a commenté :
6 juin 2016 - 20 h 31 min
Plus de peur que de mal. Encore heureux parce que s’il y avait eu un crash ça aurait fait mal à Malaysian
Matzer a commenté :
6 juin 2016 - 20 h 59 min
Ce fameux jet stream pour bouger un 380 ca du être une zone à éviter…
Pipou a commenté :
6 juin 2016 - 22 h 37 min
Et encore paraît que le 380 “amorti” bien les turbulences….
Tyler Hayes a commenté :
7 juin 2016 - 7 h 28 min
Il s’est produit la même chose dans la même région dans un A380 de Singapore Airlines en juin 2013 (vol Singapore-Londres)
garjp a commenté :
7 juin 2016 - 7 h 30 min
Tant comme passager que autrement, tant en voiture qu’en avion : je la boucle.
Caipi a commenté :
7 juin 2016 - 9 h 44 min
Les zones de turbulences sont liées à plusieurs phénomènes. Certaines zones sont connues pour être actives quand elles sont liées à des zones orageuses ou des endroits particulièrement connus pour être actifs à travers le monde (zone de convergence intertropicale, passage du FIT, pot au noir dans l’atlantique central…). Les cartes météo les présentent de manière assez fiable. D’autres sont “prédites” par des calculs théoriques des services de la météo (courant jet ou rencontre de masses d’air différentes) mais la précision n’est pas très bonne ni très fiable. D”autres enfin sont reportées par les avions précédents quand il y en a. Tous les pilotes qui rencontrent des turbulences marquées en font part au contrôle aérien pour reporter aux autres avions.
Malheureusement on rencontre parfois des zones de turbulences en ciel clair (CAT), donc invisibles, qui ne sont pas prévues ni reportées. Raison pour laquelle l’équipage demande à ce que les ceintures soient attachées quand on n’a pas à se déplacer dans l’avion.
Les pilotes n’aiment pas plus que les passagers ces zones de turbulences fortes. Au stade de la préparation du vol, ils envisagent un niveau de vol différent pour les éviter si elles sont prévues au niveau initial de leur vol. Ensuite ils les contournent ou changent de niveau de vol chaque fois qu’ils en sont avertis afin d’avoir un maximum de confort et de sécurité.
Dans le cas de cet A380, les consignes étaient de mettre sa ceinture, l’équipage avait sans doute conscience que ça allait bouger mais sans doute pas à ce point… La zone dans laquelle c’est arrivé est connue pour être assez remuante.
Mav31 a commenté :
7 juin 2016 - 10 h 28 min
Pour répondre à Shogun, il y a des études pour detecter les zones de turbulence, avec des systèmes Lidar, mais il y a plusieurs problèmes. Le premier c’est que la turbulence d’air calme CAT est quasiment indétectable. Ensuite les Lidar n’ont pas une très grande portée. Le plus fiable restant l’avertissement de l’avion précédent.
Shôgun a commenté :
7 juin 2016 - 16 h 47 min
Merci à CAIPI et à MAV31 pour leurs éclaircissements.