Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Publié le 27 mai 2016 à 13h00 par François Duclos
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Gentleman a commenté :
27 mai 2016 - 14 h 28 min
Apparement la direction a fait installer des caméras de vidéo surveillance la veille du conseil, elle savait donc certainement que cela pouvait dégénérer. Y aurait-il eu mise en scène..?
fred a commenté :
27 mai 2016 - 14 h 45 min
Exactement. C’était un traquenard.Bien en amont du 5 octobre, la direction d’Air France avait calculé ce qu’elle pourrait tirer comme avantages des éventuels dérapages. Installation de caméras la veille du CCE, flou sur les autorisations à manifester, huissier discrètement mandaté, emploi d’agents de sécurité privés… Un traquenard.
A330-200 a commenté :
27 mai 2016 - 14 h 47 min
mise en scéne ou pas ces délinquant méritent d’etre lourdement sanctionnés et rapidement , un conflit social ne peut justifier des violences physiques. En ce moment la CGT tente de légitimer ces partiques à l’echelle national ; un délégué ou représentant syndical devrait au contraire devoir montrer l’exemple de part son statut de salarié protégé, dans le cas contraire le licenciement et condamnation pénale doivent etre la réponse.
fred a commenté :
27 mai 2016 - 15 h 10 min
Enlevez vos oeillères. Il n’y a eu aucune violences physiques.
max hymans a commenté :
27 mai 2016 - 14 h 48 min
Surveillé comme une caserne, le siège d’Air France à Roissy-en-France (Val-d’Oise) disposait déjà de 300 caméras. Cependant, le week-end précédent le CCE, la direction en a fait installer six nouvelles, soigneusement placées. Les deux premières ont été positionnées dans le hall d’honneur du siège et face au « PNG », le portail non gardé par où les manifestants sont entrés. Les quatre autres ont été accrochées face aux portes d’entrée de la salle Max-Hymans – du nom d’un ancien PDG d’Air France à la moustache taillée façon IVe République. Cette salle, c’est celle où se tiennent les réunions du CCE, celle qui a été envahie par les manifestants (lire l’épisode 1, « Le jour de la chemise »). Ce n’est d’ailleurs pas une première. Le 10 février 2012, quelque 500 salariés avaient déjà interrompu un CCE, au même endroit, pour contester le plan Transform 2015.
Personne n’a jugé utile d’informer les salariés ou leurs représentants de cette nouvelle surveillance.
max hymans a commenté :
27 mai 2016 - 14 h 49 min
Autre point surprenant, le flou artistique sur les autorisations délivrées aux manifestants. Les 2 et 4 octobre s’étaient tenues à Roissy-en-France deux réunions préparatives entre syndicalistes et agents de la police aux frontières, la PAF. Les Jours ont pu avoir accès au compte-rendu de ces discussions. Des discussions classiques de préparation de manif : demande d’installation de sono, d’estrade et description des parcours prévus. Les 2 000 manifestants doivent converger sur le parvis du siège d’Air France à Roissy. Une unique question demeure : la grille faisant office de frontière entre la rue et ce parvis sera-t-elle ouverte ? À la veille de l’action syndicale, ni la police, ni les syndicats n’ont eu de retour de la part de la direction sur ce point.
max hymans a commenté :
27 mai 2016 - 15 h 13 min
Un accroc sur la chemise et ca panique…. ca se dit directeur des ressources humaines et ce n’est pas capable de gérer un conflit ? il faut qu’il change de métier et vite, un truc pénard au smic ou il ne risque pas de croiser quelque un
PhilipLeGaulois a commenté :
27 mai 2016 - 16 h 28 min
beh bien au contraire cher monsieur, il a été promut DRH AF/KLM en lieu et place d’AF tout seul.
Bimbo a commenté :
27 mai 2016 - 15 h 29 min
Avant, après, avec ou sans caméra .. Ces infos n’enlèvent rien au fait qu’un employé de la cie, fût-il cadre, a eu ses vêtements déchirés.
Est on encore capable de s’asseoir autour d’une table pour argumenter et défendre ses arguments??
Il y a eu voie de fait. Pour inacceptable qu’elle soit, cette atteinte exige d’être réparée et donc jugée.
D’ici Septembre, les esprits se seront calmés et les syndicats auront le plus grand mal à mobiliser après le discrédit qu’ils auront gagné à bloquer le pays avant l’été
Shôgun a commenté :
27 mai 2016 - 16 h 38 min
Pierre Plissonnier et Xavier Broseta auraient dû être licenciés pour faute après cette lamentable exhibition de leur torse grassouillet sur la voie publique. L’impudeur de ces deux provocateurs a gravement terni l’image de la compagnie.
RichieRSA a commenté :
27 mai 2016 - 16 h 56 min
C’est quand meme lamentable de lire la majorité des commentaires ci-dessus qui cherchent toutes les excuses du monde pour dédouaner les actions violentes des syndicalistes… Peu importe que les cameras aient été installées la veille ou pas et Dieu merci ce fut une bonne décision pour prouver le peu de respects que certains employés ont envers la hiérarchie et la violence de leurs actes. Point barre, le reste n’est que littérature.