Publié le 1 janvier 2025 à 09h00
Publié le 9 août 2015 à 10h00 par Joël Ricci
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un plus de 3000 h de vol a commenté :
9 août 2015 - 11 h 30 min
Pour l’avoir vécu sur un vol intérieur en Suisse , il y a de nombreuses années , je ne peux que confirmer que l’expérience est redoutable … et l’impact sur l’avion aussi…
Ben a commenté :
9 août 2015 - 12 h 45 min
Oui pareil, l’année dernière j’ai eu droit à un vol de nuit sur Etihad Régional entre Zurich et Genève, alerte rouge météo pour orage et tempête..
Nous avions pris un container vide qui a volé sur le tarmac sur 400 mètres avant de nous frapper au niveau du moteur.. Belle réaction du pilote qui avait coupé l’hélice juste avant l’impact… Inspection des pompiers, du pilote, d’un technicien puis décollage et le pire vol de ma vie. Des turbulences et une grêle pas possible.. En ATR…
L’hôtesse derrière moi a hurlé pendant la descente.. Toujours très rassurant… 😉 On avait l’impression que le pilote ne contrôlait plus rien, l’avion balayé par les vents.. Un vol mémorable pour les passagers et l’équipage 🙂
Fxnice a commenté :
9 août 2015 - 20 h 22 min
Bravo au pilote qui a très bien maîtrisé cette situation difficile!!! En voyant le pare brise on comprend qu’il ait demandé une approche ILS…
Et aussi à Airbus et au constructeur des moteurs CFM International.. La partie “froide” du moteur, qui à “digéré” les grêlons est fabriqué par Safran (ex SNECMA)…
Trebor a commenté :
10 août 2015 - 13 h 26 min
Il est permis de féliciter l’équipage mais, on peut aussi se demander comment ce vol a pu se retrouver dans cette situation. Les orages sont dangereux et doivent être évités et donc, il faudra expliquer un plan de vol possiblement défaillant, des données météo erronées ou autre circonstances en vol.
L’essentiel demeurant le retour sain et sauf au sol, on peut bien se réjouir du dénouement.