Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Désaccord entre pilotes HOP! et pilotes Air France
Publié le 11 septembre 2014 à 07h00 par Alain Nguyen
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pacha25 a commenté :
11 septembre 2014 - 7 h 05 min
Voila qui est bien parler.
Glurps... a commenté :
11 septembre 2014 - 8 h 24 min
La grève des pilotes d’AF est aussi affligeante que celles des taxis parisiens face aux voitures avec chauffeurs… et comme les taxis parisiens, ils perdront… non sans lourdement handicaper leur employeur bien sur, mais ils perdront… cette grève est purement et simplement un combat d’arrière garde, corporatiste, nombriliste, digne d’une caste qui n’a jamais voulu évoluer, protectrice de leur “petit confort”, faisant fi d’un environnement mouvant, de plus en plus mondialisé (un comble pour ceux qui participent à cette mondialisation de par leur fonction même de rapprocher les peuples et de raccourcir les distances)… Les pilotes d’AF souffrent juste d’une très forte myopie qui les rend aveugle à une situation économique de plus en plus fragile qui nécessite de nouvelles orientations. Bref, elle est représentative de cette caste franco-française qui ankylose la France (Education Nationale, Sncf, etc.). Grève d’autant plus curieuse car elle met en danger la possibilité pour les jeunes pilotes, fraichement sortis de l’Enac de trouver un job… bref la grève d’une caste dans la caste… Affligeant!
trucmuche a commenté :
11 septembre 2014 - 12 h 29 min
+ 100000
Anv a commenté :
11 septembre 2014 - 13 h 31 min
A part avoir regardé sans comprendre le dernier complément d’enquête, on voit bien que vous ne maitrisez absolument pas ce domaine, monsieur l’expert auto-déclaré.
Et expliquez moi le rapport entre le motif des syndicats d’AF et le recrutement des EPL sortant de l’ENAC ?
C’est justement grâce au syndicats que AF a remis à l’ordre du jour de prévoir un certain nombre de places acquis d’avance pour l’ENAC lors de la reprise des recrutements d’ici 3 à 5 ans. Et vous osez dire que ça met en danger les élèves de l’ENAC ? Vous devriez commencer par apprendre avant de critiquer…
trucmuche a commenté :
11 septembre 2014 - 13 h 47 min
l’ENAC à terme se passera fort bien d’AF, une convention sur l’intégration de PNT en sortie d’école avec EZY est déjà signée…Et d’autres suivront en Europe, voire en Asie…
Cemi a commenté :
11 septembre 2014 - 8 h 42 min
Le SNPL est dans une très mauvaise passe! Son comportement vis à vis des compagnies tiers commence à payer. Grincement de dents chez HOP, il semblerait qu’une grande majorité des PNT XL airways aient démissionné il y a qq jours (à confirmer). Mais au vu de la politique menée pas les ducs de la cie nationale, cela n’est pas surprenant. Ce n’est même qu’un début! Les prochaines élections vont être intéressantes à suivre…..
trucmuche a commenté :
11 septembre 2014 - 9 h 21 min
Et pendant ce temps là du côté de Doha, Dubaï et Abu Dhabi, on se gausse…
AS a commenté :
11 septembre 2014 - 9 h 34 min
Bonne nouvelle.
Cela signifie donc que les vols Hop! seront assurés. Parfait lorsqu’une liaison est opérée à la fois par Hop! et Air France.
Comme par exemple le Lyon-Paris, opéré par Hop! vers Orly et par Air France vers Roissy.
Abdesslam a commenté :
11 septembre 2014 - 11 h 08 min
Les Syndicats mèneront Air France à sa perte ! C’est de bonne augure pour Ryanair et Easy d’un coté, mais surtout les Emirates, Qatar, Etihad et Turkish !
Fred le corse a commenté :
11 septembre 2014 - 11 h 32 min
la direction baissera son froc comme à son habitude!!!!! et ceux qui trinqueront mis à part les pax, cela va être au sol
trucmuche a commenté :
11 septembre 2014 - 12 h 30 min
Air France, de Juniac dit « non » au SNPL malgré le préavis de grève.
La principale revendication du SNPL a été rejeté par Alexandre de Juniac, il n’y aura pas de « pool pilot » pour les avions de plus de 110 places (Transavia et Air France majoritairement). Ses pilotes devant être, dans la logique du SNPL, aux conditions de travail et de salaire d’Air France. Avec des couts plus élevés de 43% cela n’aurait aucun intérêt économique pour Transavia.
Alexandre de Juniac a indiqué que « si on pouvait faire du low-cost avec les règles de fonctionnement d’une compagnie traditionnelle, cela se saurait ! » avant d’ajouter, « Air France a accumulé au fil des années des avantages qui font que ses coûts et ses conditions d’exploitation sont bien supérieurs à ceux de Transavia. Il n’est donc pas possible d’aller travailler chez Transavia aux conditions d’Air France, sauf à tuer Transavia ».
Le SNPL ferait bien de réfléchir avant de se braquer car le groupe Air France pourrait tout à fait prendre l’option de développer Transavia via des bases en Europe au détriment de Transavia France qui resterait avec ses 14 appareils.
Air France est déficitaire depuis 7 ans et une nouvelle grève pourrait bien aggraver encore un peu plus la situation de la compagnie aérienne. Estimée à environ 25 millions par jour la grève, si elle durait, pourrait balayer tout espoir de retour à l’équilibre pour 2014.
A l’heure où le marché de l’emploi des navigants n’est pas au sommet de sa forme, comme tous les autres d’ailleurs, il serait peut-être judicieux de penser aux créations de postes qu’un développement de Transavia en France pourrait engendrer.