China Southern Airlines affiche une perte nette au premier semestre 2014

Commentaire(s)

1. aranui a commenté :

   1 septembre 2014 - 11 h 33 min
   

   étrange nous n’avons pas encore de commentaire!
   enfin bravo a air france

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2. xxtimtimxx a commenté :

   1 septembre 2014 - 11 h 50 min
   

   Les compagnies chinoises achètent des tonnes et des tonnes d’avions en croyant que la Chine va connaitre une croissance rapide infinie, mais maintenant ils doivent avoir du mal à remplir ces avions.

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   1. Nemo a commenté :

      1 septembre 2014 - 13 h 11 min
      

      Pourquoi êtes-vous encore là sur ce forum et pas embauché par une compagnie aérienne pour vos connaissances infinies et votre science infuse ? C’est vrai vous avez l’air tellement plus qualifié que les professionnels travaillant pour ces compagnies et les divers constructeurs aériens.

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   2. bencello a commenté :

      1 septembre 2014 - 13 h 12 min
      

      pour avoir pris une quinzaine de fois l’avion sur de multiples lignes intérieures, en toute saison, je vous informe que les vols étaient toujours quasi pleins, et les aéroports, pourtant récents, n’avaient pas assez de portes d’embarquement au contact et envisagent déjà des extensions
      En revanche la concurrence sur le marché domestique est une très vive la-bas. Par ailleurs, les salaires augmentent à une vitesse impressionnante.
      Quand on sait qu’une grande partie des PNT n’est pas chinoise, vous comprendrez que la rentabilité des compagnies sur place n’est pas fantastique

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   3. Anto a commenté :

      1 septembre 2014 - 15 h 02 min
      

      En fait d’après vous, TOUTES les compagnies du monde sont dans le faux c’est ça ? Sincèrement, pourquoi vous ne postulez pas pour un poste dans une fonction stratégique au sein d’une compagnie aérienne ? Que faites vous a la place dans la vie ?

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3. Vincent a commenté :

   1 septembre 2014 - 12 h 46 min
   

   Le ralentissement de la croissance chinoise est un message que les économistes ne cessent de passer en boucle.

   Pour une fois, ils semblent avoir raison.

   CQFD.

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4. Pierreantoine a commenté :

   1 septembre 2014 - 14 h 49 min
   

   Sf erreur, si l’éco était libéralisée en Chine, cela faciliterait pt être les sociétés dont on exige des résultats de type “capitaliste” ds in système où chaque eternuement est contrôlé par l’Etat, notamlent ke transpirt, tjrs stratégique..

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   1. Pierreantoine a commenté :

      1 septembre 2014 - 14 h 50 min
      

      Sf erreur, si l’éco était libéralisée en Chine, cela faciliterait pt être les sociétés dont on exige des résultats de type “capitaliste” ds in système où chaque eternuement est contrôlé par l’Etat, notamment le transport aérien, tjrs stratégique..

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      1. Anto a commenté :

         1 septembre 2014 - 15 h 06 min
         

         C’est de ça dont je parlais justement, n’arrêtez surtout pas .. Ce verbiage inutile qui tourne toujours autour du pot sans apporter une réelle VA au sujet, qui se veut toujours général et vague afin qu’on ne daigne pas creuser plus en profondeur .. Priceless !
         Salutations de tout le bureau.

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         1. Forza a commenté :

            1 septembre 2014 - 15 h 41 min
            

            Et vos commentaires désagrables, vous pensez que c’est utile ? Non. A partir du moment ou les gens n’insultent pas, restent polis, laissez les s’exprimer et arrêter Internet, car visiblement, ce n’est pas pour vous…

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5. bencello a commenté :

   1 septembre 2014 - 15 h 43 min
   

   concernant le transport, aérien en particulier,l’état chinois joue sur les deux tableaux d’une “économie socialiste de marché”. Il organise une concurrence entre quelques grands acteurs sur le marché intérieur tout en centralisant et donnant son aval ou pas pour les commandes d’avions et ainsi jouer à fond la carte géopolitique (voir taxe carbone récemment).
   C’est ainsi que China Southern ne peut déployer ses A380 sur les routes qu’elle souhaite, cet appareil étant perçu à tort ou à raison comme un étendard trop “voyant” de la coopération européenne qu’est Airbus
   Cette ambivalence peut se retrouver dans de nombreux autres secteurs économiques.
   Les choses évoluent, mais par petites touches seulement.

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