
Publié le 11 mars 2014 à 13h00 par Marin Parigi
©Air New Zealand

Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
atplhkt a commenté l'article :
Manchester Airport paralysé par un incident sur une piste : des milliers de passagers touchésNDR a commenté l'article :
Los Angeles, Saint‑Pétersbourg, Pointe‑Noire… : Royal Air Maroc change d’échelle depuis Casablanca en 2026Yoann a commenté l'article :
L’Égypte met en service un Boeing 747-8 gouvernemental après 14 ans d’attente
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Publié le 2 décembre 2025 à 09h00 par Joël Ricci
Publié le 4 décembre 2025 à 14h00 par Joël Ricci
Publié le 1 décembre 2025 à 12h00 par Joël Ricci
Publié le 7 décembre 2025 à 13h00 par Alain Hai
Publié le 1 décembre 2025 à 15h00 par Ricardo Moraes
Recevez notre actualité, directement dans votre boîte mail.
NICK a commenté :
11 mars 2014 - 15 h 51 min
La livrée noire est magnifique! Mais si l’avion reste longtemps au soleil, la cabine ne risque-t-elle pas de chauffer, entrainant une hausse des coûts de maintenance et consommation de carburant de l’avion?
Nemo a commenté :
11 mars 2014 - 16 h 25 min
Sachant que l’air extérieur à 30.000 ft est à -50°, si effet il y a (j’en doute) ce sera l’inverse.
En revanche vous n’avez pas tout à fait tord :
– la peinture blanche, moins dense, est plus légère. Sur 1l de peinture la différence peut être minime mais sur l’ensemble de l’avion cela représente un poids supplémentaire
– au niveau du frottement, l’utilisation de plusieurs couches de peintures peut entraîner des “bosses” quasiment invisibles à l’oeil qui peuvent entraîner de mauvais écoulement de flux d’airs ce qui freine l’avion (ici aussi de façon extrêmement minime) entraînant une sûre consommation.