Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
La batterie du 787 de JAL aurait atteint une température de 660 °C
Publié le 22 février 2014 à 15h00 par Joël Ricci
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Marc a commenté :
22 février 2014 - 16 h 57 min
Encore ! Faudrait peut-être penser à trouver la cause, non ? Cela risque de finir un jour en barbecue géant avec des centaines de passagers au menu !
JDO a commenté :
23 février 2014 - 9 h 59 min
Où combien les intérêts et la réputation d’un constructeur d’avion valent-ils en terme de nombre de vies humaines. Que font les associations de pilotes qui sont les premiers concernés ? Et les compagnies qui mettent en danger la vie de chacun de leurs personnels et celle de leurs clients… Ces dernières pourraient voir leur responsabilité engagée en cas d’incidents graves ou d’accidents mortels.
Loupiot a commenté :
23 février 2014 - 12 h 11 min
Il s’agit, manifestement, du problème (cent fois débattu) des sous-traitants (en l’occurrence, le constructeur des batteries). Certes, le constructeur de l’appareil est responsable, en dernier ressort, de la qualité globale de celui-ci mais il s’agit d’un élément parmi bien d’autres. N’y a-t-il qu’un seul fabricant de ce genre de batteries ou Boeing est-il lié par contrat ? Ou s’obstine-t-il (et, en ce cas “pourquoi” ?) à faire confiance à ce fabricant de batteries ?)
Marc a commenté :
23 février 2014 - 14 h 04 min
Je crains que ce soit la technologie développée actuellement, mal maîtrisée, qui présente un réel danger dans ces batteries: pour éviter tout risque, à l’heure d’aujourd’hui, il serait sage de changer toutes ces batteries pour les remplacer par l’ancienne technologie qui, elle, a fait ses preuves.
Mais Boeing prendra-t-il ses responsabilités ?
Qu’attend la FAA pour rendre cette mesure obligatoire ou clouer les appareils au sol par sécurité ? Un accident réel avec des victimes ?
A suivre …
DidierC a commenté :
23 février 2014 - 19 h 39 min
ce que je ne parviens toujours pas à comprendre dans la solution de contournement qui a permis le retour en vol des 787, c’est à quoi servent vraiment ces batteries puisqu’apparemment l’appareil peut voler même si elles se consument…
S’il s’agit d’un élément essentiel au fonctionnement de l’avion, le seul fait de confiner le feu ne doit pas suffir. S’il s’agit en revanche d’un accessoire, c’est donc beaucoup de bruit pour pas grand chose non ?
Quelqu’un peut éclaire ma lanterne sur ce sujet “fumeux” ?
Marc a commenté :
23 février 2014 - 20 h 34 min
Quand tout va bien, ces batteries ne servent à rien. Mais quand tout va mal et qu’il n’y a plus de production d’électricité à bord (réacteurs arrêtés) et cela a été le cas du crash de l’Hudson, là ces batteries fournissent l’énergie nécessaire à la manœuvre de l’appareil. Et pour l’Hudson, le pilote a réussi un amerrissage extraordinaire sans un seul passager blessé … donc ces batteries servent quand même ! Il est donc stupide d’accepter qu’elle puisse s’enflammer et simplement confiner le feu pour ne pas qu’il se propage !
Akrioss a commenté :
4 mars 2014 - 11 h 15 min
Qaund les réacteurs s’arrètent, une éolienne sort de l’avion pour fournir l’electricité nécessaire aux commandes de vol
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89olienne_de_secours
@MARC a commenté :
24 février 2014 - 8 h 21 min
Vous ne voulez pas plutôt vous taire? Au lieu de faire semblant d’être un expert.
Marc a commenté :
24 février 2014 - 11 h 46 min
J’adore ce commentaire stérile qui n’amène rien d’autre que du vent ! S’il avait s’agit du moindre commentaire constructif, un élément technique aurait été amené pour étayer cette demande, ce qui est loin d’être le cas.
Donc, à moins d’avoir un élément technique à apporter au moulin de la critique, c’est à vous de vous taire 😉
@MARC +1 a commenté :
25 février 2014 - 12 h 50 min
Parce que vous,bien entendu, pensez sérieusement apporter de la valeur ajoutée au débat ?
1er message : lorsque vous vous permettez d’admonester en l’air pour trouver la cause des défaillance de batteries LI-ION: compte tenu des enjeux économiques et financiers colossaux en jeu, pensez vous sérieusement que GS Yuasa et Boeing puissent se permettre de faire l’impasse sur le problème ?
2ème message : changer les batteries ; bien sûr facile ! Pensez vous là aussi sérieusement qu’Airbus ait dû, au vu du REX du 787, substituer les bat LI-ION pour du NI-CD moyennant réétude complète moyennant xxx$$$ (et décalage de programme) pour L’ A350 XWB uniquement pour se faire de la pub à bon compte ?
Croyez vous aussi qu’Ethiopian Airlines a immobilisé son 787 à Heathrow pendant 5 mois parce qu’il “suffisait de changer les piles” ?
3ème message : concernant le vol 1549; s’il vous manque des arguments d’expert ne faites surtout pas dans l’amalgame, vous vous ferez moucher à la première occasion ..
En conclusion je vous propose un petit cours de physique très simple : savoir comparer les valeurs de voltage par unité entre le LI-ON, LI-PO, NI-CD, NI-MH et LI-FE et sur cette base offrez vous un vol pour Seattle via Chicago pour donner de vos conseils avisés …
Bien à vous
Marc a commenté :
25 février 2014 - 15 h 07 min
Pour rappel, Cher Spécialiste de la batterie, l’appareil d’Ethiopian immobilisé à Heathrow n’a nullement été l’objet d’un souci de batterie mais bien d’un souci de balise de détresse qui a déclenché un incendie à bord de l’appareil, vide de ses passagers fort heureusement, mais cela a nécessité pas mal de travaux pour être remis en état ! … faut s’informer correctement avant de déballer n’importe quoi comme info !
Oui, la balise de détresse est un second souci majeur qui est apparu sur le Dreamliner, mais ici la solution a été trouvée en vérifiant simplement le câblage mal placé/monté sur certains appareils … ! N’empêche que la première solution apportée par Boeing était de déconnecter préventivement toutes les balises de détresse sur les Dreamliner en attendant de trouver l’origine du problème ! On croit rêver quand on voit ce genre de “solution” …..
Réellement dommage de voir les intervention stériles et erronées de certains intervenants qui confondent allégrement batterie et balise de détresse !