Publié le 1 novembre 2024 à 19h00
Le 20 février 1956 dans le ciel : La TAI perd un DC-6, non loin du Caire
Publié le 20 février 2014 à 00h03 par Stéphanie Meyniel
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Pschitt a commenté :
20 février 2014 - 8 h 21 min
Je ne sais pas comment la cabine de ce DC6 de la TAI était équipée,mais de manière générale sur ces avions a piston de ces années la qui étaient très bruyants et vibrants,la partie arrière de la cabine étant toujours plus calme ( ou plutôt,disons,moins pénible), c’est la que se trouvait la cabine des Première…Sur cette photo du DC6 elle est très bien identifiable : tous les hublots a droite de la porte en entrant…
C’était la séquence “ça se passait comme ça en ces temps la…..”
Loupiot a commenté :
20 février 2014 - 10 h 47 min
Merci à Pschitt pour ces précisions indications. Je regarde une brochure publicitaire de l’aéromaritime UAT qui présente, en couleurs, le Douglas Super DC6B immatriculé F-BGTX livré à Slick Airways le 27 mars 1953. Dans la partie centrale de la brochure (qui montre l’intérieur de l’appareil), on voit, en effet, les fauteuils de la première classe à droite de la porte d’accès en 2-2 (trois rangées, apparemment) alors qu’à gauche on a la configuration 3-2. Un autre dessin montre un couple qui se repose en “première” dans les fauteuils nommés “sleeperette qui s’inclinent profondément” (de nos jours, on trouverait, cependant, même en Affaires, qu’ils s’inclinent très peu…) Et question sécurité… sur d’autres brochures, jusqu’au début des années soixante, les passagers ne sont pas attachés et les coffres à bagage, au-dessus des sièges, ne sont pas fermés (revoyez le film L’homme de Rio dont le tournage date de 1962 : ce doit être, sauf erreur, un DC 8 de la Pan Air do Brasil).
Pierre Moureypi a commenté :
6 janvier 2015 - 18 h 22 min
Bonjour,
Je suis en train d’écrire certains passages de la vie de mon père pour laisser à mon fils. Papa devait prendre ce DC-6 pour rentrer en France. Il a laissé sa place a un autre militaire et est rentré par bateau ce qui lui a probablement sauvé la vie. Est il possible d’obtenir la liste des passagers de ve vol?
Merci d’avance à tous.
Pierre
FONTUGNE pierre a commenté :
18 janvier 2017 - 0 h 21 min
Voici mon mail: pierre.fontugne@wanadoo.fr.Merci à ceux qui veulent me contacter pour échanger sur ce drame qui a coûté la vie à 52 personnes et a laissé 12 survivants. Je souhaite vivement entrer en contact ceux-ci ou leur famille, dépositaire de leur histoire.Mes parents, mes deux sœurs, mon frère et moi (âgés respectivement de 7 et 6 ans), étions dans cet avion. Ma mère et mes sœurs y ont laissé leur vie.Notre père, par la suite ne nous a jamais parlé de ce drame et n’a jamais voulu l’évoquer.
En 1991, victime d’un grave accident de la route et hospitalisé pour quelques mois, j’ai eu l’agréable surprise d’être contacté par M. Goudenège qui avait retrouvé ma « trace ». J’ai été très touché de recevoir de sa part un article de journal ( pas de nom, mais je pense qu’il s’agit du Monde) auquel il a joint quelques mots bouleversants dont je le remercie encore. Je regrette de n’avoir pu rencontrer ce grand monsieur à qui je pense souvent. Voilà un bref résumé de notre part d’histoire. J’ai en ma possession: un exemplaire du Paris Match du 3 mars 1956 qui relate cet accident (article + photos des décombres et de mon frère et moi) ; la copie de l’article expédié par M. Goudenège ; copie de l’article de France Soir du vendredi 24 février 1956(photos à l’hôpital du Caire de l’adjudant chef Goudenège,du lieutenant Fontugne et de mon frère et moi) ; un exemplaire du témoignage du pilote : L’accident du F-bgod par Charles Billet, paru aux éditions La Jeune Parque à Paris en 1967 ( témoignage laissé après le procès).
Je pense que ct mon papa, tel; 0609501950
Voilà, je reste à votre disposition et n’hésitez pas à me joindre
ROCKE a commenté :
21 janvier 2018 - 16 h 52 min
Bonjour,
Mon oncle était à bord de cet avion. Il s’appelait Alphonse ROCKE.
Bien à vous
Stéphane ROCKE
Chatelain a commenté :
24 juin 2019 - 17 h 05 min
Ma grand mère, leocadie chatelain, née cottin, militaire, est décédée dans ce crash : un collègue lui avait laissé sa place, pour qu’elle rentre un peu plus tôt auprès de son fils …le destin ….!
Chatelain a commenté :
24 juin 2019 - 17 h 29 min
Je n’ai pas la liste des passagers du vol, mais les noms des victimes du crash sont inscrits sur la tombe commune :
cimetière de pantin, carré militaire, division 126, ligne 20, tombe 23..
Thibault a commenté :
22 juillet 2023 - 0 h 17 min
Mon grand-père a échangé sa place avec un autre militaire et y a trouvé la mort, c’est en tous cas la version de ma grand-mère : « un copain de ton grand-père lui a proposé de retrouver ses enfants plus vite, ils ont donc échangé leurs billets ».
C’était pratique courante à l’époque, mais la coïncidence est intéressante.
TASTET a commenté :
28 décembre 2023 - 11 h 14 min
Bonjour Thibault,
je pense qu’il s’agit de mon père Jean Tastet qui a effectivement changé son billet de bateau contre un billet d’avion pour rentrer plus tôt auprès de nous.
Merci de votre témoignage