Publié le 3 octobre 2024 à 19h00
Handicapés: easyJet deux fois en procès
Publié le 16 décembre 2013 à 08h00 par François Duclos
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Checklist a commenté l'article :
LATAM commande 10 Boeing 787 Dreamliner et vise des vols vers SydneyChecklist a commenté l'article :
LATAM commande 10 Boeing 787 Dreamliner et vise des vols vers SydneyShôgun a commenté l'article :
Boeing va émettre pour 19 milliards de dollars en nouvelles actions pour sauver sa trésorerieManumambo a commenté l'article :
LATAM commande 10 Boeing 787 Dreamliner et vise des vols vers SydneyLire aussi
TSBA en France : un surcoût estimé pour le passager Affaires...
Sondage : les Français rejettent en majorité la hausse de...
Légère augmentation des prix des billets d’avion au départ...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 4 octobre 2024 à 18h00 par Olivia
Publié le 2 octobre 2024 à 20h00 par Olivia
Publié le 5 octobre 2024 à 20h00 par Olivia
Publié le 6 octobre 2024 à 20h00 par Olivia
Vonfritschthofen a commenté :
16 décembre 2013 - 11 h 23 min
Easy attaquée en justice parce qu’elle respecte la réglementation Européenne, on aura tout vu . Haro sur ces monstres sans pitié qui refusent les Handicapés . La compagnie passe pour ce qu’elle n’est pas. On se souvient de pilotes attaqués en justice par des passagers, pour avoir dérouté cause météo . On est dans le même processus aberrant. On dénie l’obligation de sécurité au profit d’obligation de service. Bien que cela échappe à “monsieur tout le monde”, La protection de la vie humaine reste en aviation la priorité. La règlementation régissant le transport de handicapés est claire, mais le passager ne lit que ce qui l’intéresse, ou que ce qu’il veut voir (discrimination). Même si dédommagement légitime il y a, Le procès n’ira pas en faveur des Handicapés car la compagnie réagira . Il est a souhaiter que le juge juge .
Christophe a commenté :
16 décembre 2013 - 12 h 37 min
Votre commentaire est absolument grossier dénué d’intelligence et d’une inhumanité absolue, donc pour vous un handicapé ne peut voyager seul. Si je suis votre raisonnement un enfant obèse voyageant seul pourrait se retrouver indirectement dans le même cas de figure car pétrifié de peur dans un icident ou accident pourrait rester prostré dans son fauteuil en refusant de bouger de lui même que faire dans ce cas là ? Et la personne âgée qui a du mal à avancer on lui dit quoi à elle, vous n’êtes pas assez autonome, trop lente dans le couloir en cas d’évacuation ? Alors que faire, on mobilise un personnel de la compagnie au détriment des autres voyageurs ? Je vous souhaite de ne jamais vous retrouver en fauteuil ou avec un handicap particulier qui vous claseerait dans cette catégorie et vous laisserait sur la passerelle ….
Vonfritschthofen a commenté :
16 décembre 2013 - 18 h 41 min
Christophe, les textes sont ce qu’ils sont . Clemence cite la mauvaise communication entre usagers et compagnie, ce qui est tout à fait vrai et qui crée ce genre de conflits. Dans le commentaire il n’est pas considéré qu’un Handicapé ne peut voyager seul . Au demeurant la difficulté réside de la décision à prendre face aux responsabilités du transporteur et de la règlementation ad hoc sachant que la responsabilité appartient au transporteur . Rien de grossier ni d’inhumain au souci prioritaire de sécurité d’Handicapé
Cémencle a commenté :
16 décembre 2013 - 13 h 18 min
Peut-être mauvaise communication entre l’usager handicapé et la compagnie, mais surtout manque flagrant de bonne volonté de la part de la compagnie de trouver une solution, d’autant que dans le 1er cas un volontaire, qui plus est pilote, fut trouvé.
Cela m’est arrivé une fois à l’embarquement : la compagnie refusait un handicapé parce qu’il n’était pas accompagné. Immédiatement et spontanément, une dizaine de passagers se sont portés volontaires pour être son accompagnateur, et je fus désigné. Cela lui permit donc le prendre le vol sans aucun souci. Comme quoi tout est possible avec un tout petit peu de bon sens.
De là à aller en procédure toutes les 5 minutes dans le seul but d’obtenir des dommages et intérêts, je trouve cela très discutable. Il faut être respectueux des handicapés, parce que cela doit tous nous concerner (et peut tous nous concerner un jour), mais force est de reconnaître que certains abusent de leur statut, comme si la société leur devait tout.
Cémencle a commenté :
16 décembre 2013 - 15 h 09 min
Correction : Immédiatement et spontanément, une dizaine de passagers s’est portée volontaire…
Impossible de se corriger à la lecture.
Ex CCP a commenté :
16 décembre 2013 - 21 h 13 min
Les choses ne sont pas toujours aussi simples,Clemencle…:en tant qu’ancien CCP je peux vous dire avoir vécu des situations ou l’humanité n’est pas toujours la règle …vous dites “avoir été désigné…”fort bien.Moi je peux vous dire avoir recherche avec le CDB en salle d’embarquement des pax qui accepteraient d’être l’accompagnateur en question….et n’en pas trouver…..Avoir essayer de “désigner”quelqu’un et s’être vu opposer un refus d’endosser cette responsabilité……Pas simple,vous dis-je…
Pour les non initiés:le nombre minimal de PNC dans un avion est déterminé par diverses règles dont je vous fait cadeau….ces PNC-minimum doivent assurer l’évacuation de l’appareil si besoin en 90secondes maxi …les clients a évacuer étant a ce stade tous aptes a se déplacer par eux mêmes,a comprendre les ordres des PNC et agir comme des personnes responsables…Il peut y avoir dans un équipage pour des raisons commerciales,plus de PNC que le minimum requis…Ces PNC sont alors d’office désignés comme accompagnateurs de clients spécifiques nécessitant une attention particulière.,même en cas d’évacuation ( les autres sont occupes a l’évacuation ,n’oubliez pas…) tels que UM(enfant non accompagnés), handicapés en tout genre…..ces PNC supplémentaires ont un nombre réglementaire maximal des clients a particularité qu’ils peuvent prendre en charge chacun….Il s’en suit que ce nombre étant atteint il n’y a plus de possibilités de prise en charge d’office par l’équipage supp…et parfois( en particulier sur les vols moyen/court courriers des compagnies régulières,et/ou tous les low cost,il n’y a MÊME PAS de PNC supplémentaire dans l’équipage(on dit que l’équipage est “au mini réglementaire”),et donc de’ fait,la aussi,aucune possibilité de prendre en charge ces personnes…Dans ces cas,les personnes doivent avoir “un accompagnateur”:ce peut être n’importe quel passager adulte en pleine possession de ses capacités et non-déjà accompagnateur de qq. un… être “accompagnateur”au sens aérien,signifie prendre en charge et accepter de s’occuper de la personne en question,surtout en cas d’urgence…De nombreux passagers REFUSENT une éventuelle responsabilité légale/pénale en cas de problème (surtout chez les Américains,l’avis cela n’étonnera personne…)…Les choses ne sont pas toujours simples comme je vous disais…et quand on trouve pas d’accompagnateur…on fait quoi??? On se met en dehors de la réglementation???et quid si problème çe jour la???Assurement le client sera le premier a porter plainte…et certains ici même,sur ce site,se feront des gorges chaudes de commentaires en tout genre…
Vonfritschthofen a commenté :
17 décembre 2013 - 0 h 38 min
Merci , une bonne réponse éclairée pour Christophe .
Aulongcourt a commenté :
17 décembre 2013 - 22 h 37 min
+ 1
+ 10
+100
+ 1000