Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
CGT Air France : grève à Marseille le 21 décembre
Publié le 13 décembre 2013 à 07h00 par François Duclos
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Pierreantoine a commenté :
13 décembre 2013 - 7 h 16 min
Sans juger sur le fonds le différend qui oppose les syndicats à l’employeur,
Hier, le train, dans quelques jours AF, la grève va gêner le Voyageur moyen, et seulement lui.
Si le droit de grève est légal, celui de la liberté de mouvement également.
Consternante signature de la gestion des conflits dans ce pays
wernersxb a commenté :
13 décembre 2013 - 8 h 45 min
Pitoyable attitude une fois de plus des syndicats qui visiblement n’ont qu’un seul but liquider la société.
jailemanche a commenté :
13 décembre 2013 - 9 h 24 min
ça devrait pas se voir , car ceux qui font gréve sont ceux qui foutent rien
d habitude
Cc a commenté :
13 décembre 2013 - 9 h 40 min
Ce syndicat est il sérieux ? Pense t’il vraiment que c’est ce genre de mouvement qui protège les salariés ? Qui modifiera transform 2015 ? Plutôt que travailler en bonne entente avec la direction afin de limiter la casse’…
Modjo a commenté :
13 décembre 2013 - 10 h 10 min
Incroyables commentaires…. donc laissons nous nous faire laminer jusqu’a la moele et ne disons rien…. Bravo
Hclaudepie a commenté :
13 décembre 2013 - 13 h 20 min
Aller négocier des conditions plus favorables avec une direction, dans un esprit gagnant/gagnant, et oublier le concept archaïque de lutte des classes, ça n’a jamais été “se faire laminer jusqu’à la moelle !
Modjo a commenté :
13 décembre 2013 - 10 h 25 min
C’est bientot Moelle 😉
ECA a commenté :
13 décembre 2013 - 10 h 44 min
Ce n’est pas se laisser laminer mais bien faire face aux réalités du marché car sinon ce ne sont pas 591 postes qui vont disparaitre mais toute la compagnie. C’est évidement triste car des personnes vont perdre leurs emplois mais ni la direction ni les syndicats n’ont su ou voulu anticiper ces changements.
Pierreantoine a commenté :
13 décembre 2013 - 11 h 09 min
@modjo
Rien, aucun argument, ne justifie à mon avis l’interruption des négociations, et l’annonce d’une grève.
Quand on échoue ds une négo, on remet ses arguments d’équerre, et on repart à l’attaque, jusqu’à trouver un accord.
L’argument “se faire laminer jusqu’à la moelle” revient simplement à dire que les syndicats qui prétendent vous défendre sont incompétents, car incapables de gérer l’évolution de la négo, face à un argumentaire mieux aiguisé.
La grève ne pénalise que les usagers, une fois de plus, en une période clé pour ceux qui veulent/peuvent prendre des congés.
Peut être les syndicats seraient ils inspirés de voir de quelle façon sont gérés ces mêmes problèmes chez nos voisins??
Que je sache les syndicats ds l’aérien y sont également présents?
Avec pt être des raisonnements moins lapidaires??
Cémencle a commenté :
13 décembre 2013 - 12 h 57 min
La grève, camarades syndiqués jean-foutre, la grève.
La France est en trop bonne santé économique, profitons-en ! ! !
Vive le communisme, vive la Russie de Staline, vive la Corée du Nord ! ! !
WhyNot a commenté :
13 décembre 2013 - 13 h 05 min
La CGT existe encore ?
Comment ce syndicat de fainéants, qui ne représente personne, ose se permettre un appel à la grève ?
Ils sont restés ce qu’ils ont toujours été : irresponsables, fouteurs de m…. et destructeurs de l’économie.
Ce syndicat devrait être interdit une bonne fois pour toutes.
Imagine-t’on un médecin des urgences recevant un cégétiste victime d’une crise cardiaque : “Désolé, camarade, mais je suis en grève, donc tu vas mourir ! “.
Modjo a commenté :
13 décembre 2013 - 14 h 08 min
L’ère révolue des grands blocages à Air France site les Echos.fr
Au siège d’Air France également, la période des grands blocages sociaux est en bonne partie révolue. Au terme de six années d’affilée de pertes, et sous les coups de boutoir de la concurrence (TGV, compagnies low cost), les esprits ont sensiblement évolué. Le plan Transform, qui a engendré près de 5.000 départs et une amélioration de 20 % de « l’efficacité économique » est à peine achevé que, déjà, la direction a annoncé, début octobre, une rallonge substantielle de 2.850 départs supplémentaires. Des sacrifices lourds, mais qui n’ont pas réellement provoqué de tollé syndical. Rien à voir en tout cas avec les grandes vagues de grèves de 2007, et encore moins de 1993.
Depuis l’arrivée aux commandes d’Alexandre de Juniac, point n’a été besoin de donner des gages à tel syndicat pour isoler tel autre. « Un des sujets sur lesquels on ne s’est pas trop plantés, c’est d’être parvenu à expliquer la situation de l’entreprise », estime un cadre. De guerre lasse, de nombreux salariés préfèrent toucher leur chèque que pousser à des débrayages.