Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Ryanair : une base à Bruxelles, Amsterdam en vue
Publié le 28 novembre 2013 à 07h30 par François Duclos
©Ryanair
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Cecile Duflot a commenté :
28 novembre 2013 - 9 h 00 min
A ce rythme ils seront à Paris l année prochaine
Alex a commenté :
28 novembre 2013 - 9 h 43 min
Nouvelle stratégie en vue de la part de RYR ? on dirait que le modèle Easyjet fait des émules chez MOL.
NicoG a commenté :
28 novembre 2013 - 10 h 06 min
Oui, on a un vrai virage vers la clientèle affaires !
Lopos a commenté :
28 novembre 2013 - 10 h 36 min
Pb de créneaux disponibles a Orly … À moins que Ryanair demande à AF. EZY ou VUELING de lui en “prêter” (ce qu’à fait AB a BA pour que cette dernière lance son ORY-LHR) mais je ne sais pas pourquoi mais j’ai de sérieux doutes. Quand à CDG RYR n’est pas intéressée, tout comme Francfort ou LHR, car temps d’escale trop long et trop compliqué.
fayfay37 a commenté :
28 novembre 2013 - 10 h 33 min
Sa va faire drôle de voir RYR a ORY ou a CDG.
Marc a commenté :
28 novembre 2013 - 10 h 46 min
Le tapis rouge est déroulé aux “low cost” qui, compagnies récentes, ont pu adopter des méthodes de marketing d’aujourd’hui et aussi adapter les salaires aux réalités du marché d’aujourd’hui avec des chauffeur d’avion (et plus des pilotes d’avion) et des agents d’accueil aérien (et plus de stewards et hôtesses). En effet, ces métiers sont devenus bien moins pénibles et risqués qu’il y a quelques petites dizaines d’années où les salaires étaient liés à ces risques et difficultés en grande partie disparues. Mais, dans ces compagnies historiques, les syndicats défendent leurs affiliés à tout prix et refusent toute adaptation, et ces compagnies finiront probablement quasi toutes par périr. La charge salariale trop élevée n’est pas le seul poste “négatif” des compagnies historiques, il y a aussi des appareils vieillissants ou des flottes trop diversifiées, des procédés de marketing d’un autre âge et d’autres choses en inadéquation avec la réalité du marché aérien d’aujourd’hui.
Tout ceci ouvre largement la porte aux “low cost” qui profitent largement de cette brèche ouverte pour prendre progressivement position et dominer le marché. Ryanair ne fait que de profiter des opportunités apportées par les décisions des compagnies historiques et en éconduira plus d’une à la faillite très probablement.
Et maintenant, avec la création d’une base à l’aéroport principal italien à Rome et aussi dans le principal aéroport belge à Bruxelles, la machine est inexorablement en route …
A suivre …
Cémencle a commenté :
28 novembre 2013 - 11 h 51 min
“dans ces compagnies historiques, les syndicats défendent leurs affiliés à tout prix et refusent toute adaptation, et ces compagnies finiront probablement quasi toutes par périr. Tout ceci ouvre largement la porte aux « low cost » qui profitent largement de cette brèche ouverte pour prendre progressivement position et dominer le marché. Ryanair ne fait que de profiter des opportunités apportées par les décisions des compagnies historiques et en éconduira plus d’une à la faillite très probablement.”
Tout est dit !
ramada a commenté :
28 novembre 2013 - 11 h 55 min
Je suis exactement vos propos. Etre PNC de nos jours, est un métier temporaire, juste pour débuter sa carrière quand on est jeune et accepter n’importe quel job, toucher le SMIC, pas pour y rester toute sa vie comme le font les compagnies classiques
Pschitt a commenté :
28 novembre 2013 - 14 h 35 min
Si la fonction de PNC est exercée de manière +/- éphémère dans les low costs et est regardé comme “un début de carrière payé au smic”par ceux qui le font ,ce n’est pas parceque cette fonction en elle même ne doit être qu’une fonction épisodique,mais parce que ces employeurs ( les low cost )ne donnent pas envie de rester travailler chez eux,compte tenu du rapport travail /salaire:ils sont dans les faits la négation même de “la valeur travail”: travailler plus et encore plus ne rapporte rien..le travail n’a pas de valeur sonnante et trébuchante…alors,après quelques mois et des que l’opportunité se présente,autant les quitter et aller vers un ailleurs meilleur ( ce que fait n’importe quel employé dans n’importe quel domaine)
S’il ne devait plus y avoir nulle part “d’ailleurs meilleur”croyez vous qu’il y aura toujours des candidats a ce job ???je n’en suis pas certain….
trucmuche a commenté :
28 novembre 2013 - 13 h 19 min
BRAVO ! Rien à ajouter
Tartempion a commenté :
28 novembre 2013 - 10 h 47 min
Regardez la liste des destinations, c’est plus des vols “soleils” que affaires. Même si Barcelone peut être considéré comme destination mixte.
On est encore loin du modèle EZY.
Marc a commenté :
28 novembre 2013 - 11 h 52 min
En effet, chacun développe sa propre stratégie et va chercher le profit là où il pense le trouver.