Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Dubaï J1 : commandes géantes pour Boeing et Airbus
Publié le 18 novembre 2013 à 08h30 par François Duclos
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benhuriet a commenté :
18 novembre 2013 - 9 h 42 min
Et aucun 747-8i (f)…Cet avion est mort-né…
Aulongcourt a commenté :
18 novembre 2013 - 9 h 52 min
Et le coup de grace lui aura été porte par son constructeur lui même en lançant officiellement le 777X!!!!!!
Pschitt a commenté :
18 novembre 2013 - 9 h 44 min
Des A380 Emirates configurés en deux classes:quels que soient les mérites de cette compagnie et le pouvoir d’achat de son socle de clientèle il semble que Emirates entrevoit les limites du potentiel de son marche en Première classe…Du coup on va avoir des 380 qui vont transporter beaucoup beaucoup de monde…..
moonmartre a commenté :
18 novembre 2013 - 11 h 21 min
@PSCHITT: sur certaines destinations, la 1ère n’est jamais proposée, même en 777, comme Dubai – Manille.
Pour l’avoir prise très souvent, la business est rarement pleine, mais surtout comme vous le dites le pouvoir d’achat des pax sur cette ligne, ne justifie sans doute pas cette option.
wembley a commenté :
18 novembre 2013 - 10 h 31 min
Pour Airbus, avoir un client ultra majoritaire pour sa gamme A380 ne doit pas être super rassurant même si la commande de 50 unités est toujours bonne à prendre.
En Asie, pour des liaisons de type Taipei/Shanghai, il y a plein de 747, donc pourquoi pas des A380…
beb a commenté :
18 novembre 2013 - 10 h 49 min
Ou va s’arrêter Emirates, alors que les compagnies d’Europe surprime leurs options d’A380, eux ils passent de nouvelles commandes.
C’est simplement impresionnant. Ils ont un portefeuille illimité.
Mnbee a commenté :
18 novembre 2013 - 20 h 06 min
Pétro dollars !!!
Bertram a commenté :
18 novembre 2013 - 18 h 58 min
“…puis les lettres d’intention de Qatar Airways pour 50 appareils.”
“Ce dernier modèle a également convaincu Qatar Airways…”
On vend aux esclavagistes ? Ecœurant ! Dans quel monde vivons-nous ?
“Traitez-nous comme des êtres humains : les travailleurs migrants au Qatar
© AMNESTY INTERNATIONAL
Recrutés dans des pays d’Asie, au Bangladesh, en Inde, au Népal, au Pakistan, aux Philippines ou au Sri Lanka, des travailleurs migrants rejoignent le Qatar pour participer à l’effort de construction lié à la Coupe du Monde de Football en 2022. En une année, ce sont 20 personnes supplémentaires par heure qui sont venues dans cet Etat. Ils sont aujourd’hui 1 350 000 travailleurs étrangers présents au Qatar, 94 % d’entre eux sont des travailleurs migrants.
Mais une fois sur place, la nature de leur travail, le salaire, les conditions de travail ou les horaires sont très différents de ce qui leur avait été promis.
AMNESTY INTERNATIONAL a vu des travailleurs qui étaient loin de manger à leur faim et qui vivaient dans des conditions repoussantes, sans électricité, ni eau potable ou sanitaires dignes de ce nom.
Beaucoup de travailleurs migrants découvrent que leurs employeurs retardent, voire suspendent, le versement de leurs salaires, tandis que les hébergements qui leur sont fournis sont parfois dans un état choquant. Dans certaines situations, les migrants sont victimes de travail forcé.
Le cauchemar ne prend même pas fin une fois de retour au pays car, après des mois ou des années de travail dans le pays le plus riche du monde, ils rentrent sans argent et endettés.
Plusieurs groupes importants de migrants sont explicitement exclus du Code du Travail qatarien, parmi lesquels les employés de maison. Les travailleurs exclus ne bénéficient d’aucune protection au titre de la législation qatarienne sur les questions telles que le temps de travail journalier, les congés et les jours de repos, les procédures de règlement des conflits en cas d’abus, les soins médicaux et la décence des logements.
Même pour les travailleurs qui bénéficient de sa protection, le Code du Travail et sa mise en application présentent de sérieuses lacunes. Ainsi, son application est compromise par le nombre insuffisant d’inspecteurs du travail et la faiblesse des sanctions infligées aux employeurs qui se rendent coupables de graves abus. De plus, la loi interdit aux travailleurs migrants d’adhérer à un syndicat.
Tous les travailleurs étrangers du Qatar sont assujettis à la Loi sur le parrainage. Ce système de parrainage lie les travailleurs étrangers à un « parrain » unique qui doit aussi être leur employeur, qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une entreprise implantée au Qatar.
En vertu de ce texte, les employeurs peuvent empêcher leurs employés de changer de travail ou de quitter le pays et annuler leurs permis de séjour.
Les travailleurs ne peuvent pas obtenir ou faire renouveler leur permis de séjour (également appelé « pièce d’identité ») sans la coopération de l’employeur, et les employés qui n’ont pas de permis vivent sous la menace constante d’une arrestation.
Les employeurs sont censés restituer les passeports des travailleurs une fois qu’ils ont obtenus leur permis de séjour, mais la plupart ne le font pas.
« C’est l’entreprise qui a mon passeport. Elle ne me le rendra pas tant que je n’irai pas voir les services de l’immigration, sans compter qu’il y a une amende pour le dépassement de mon permis de séjour, expiré en février 2011, qui s’élève à 3 000 riyals [600 €]. L’entreprise m’a dit : « Si tu veux partir, il faudra payer cette amende. » Un travailleur migrant, mars 2013.”
Cémencle a commenté :
18 novembre 2013 - 22 h 54 min
Merci BERTRAM pour rappeler le triste sort des immigrés au Qatar.
FRANCE INFO l’a évoqué longuement aujourd’hui même.
RealVision a commenté :
19 novembre 2013 - 5 h 04 min
Qatar passe de l’intox à l’info avec un certain sadisme. Il y a quelque semaines, Al Baker disait qu’il n’était pas du tout intéressé par le 777X et le voilà qu’il en commande 50 exemplaires. Qu’a dû bien faire Boeing pour le convaincre en si peu de temps ou plutôt devait-il bien cacher son jeu pour des raisons qui m’échappent. Ce qui n’est pas le cas des autres compagnies du Golfe comme Emirates ou Etihad qui n’ont jamais caché leur intérêt pour le 777X. Qatar Airlines…ou l’art de l’esbroufe. Cette compagnie à une communication marketing illisible !
Amib a commenté :
19 novembre 2013 - 12 h 03 min
Qatar n’a qu’une seule stratégie : faire parler d’elle, même quand elle n’a rien à dire, au risque de lasser tout le monde.