Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Un vol transatlantique d’Air France fait une escale forcée à Brest
Publié le 22 mars 2013 à 17h30 par Joël Ricci
@AF
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Bencello a commenté l'article :
Qatar Airways envisagerait d’anciens A330 d’American Airlines pour combler son déficit de capacitéCHECK LAST a commenté l'article :
Qatar Airways envisagerait d’anciens A330 d’American Airlines pour combler son déficit de capacitéSi ils vont le fairz a commenté l'article :
Hausse de la « taxe Chirac » au 1er janvier : Ryanair compte réduire ses activités de 50 % en FrancePas si Cool !! a commenté l'article :
Boeing va licencier près de 700 employés dans le MissouriLire aussi
Un passager américain réclame à Air France 600 000 euros...
Par principe de précaution, Air France suspend le survol...
Air France anticipe l’augmentation de la TSBA le 1er janvier...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 7 novembre 2024 à 19h00 par Olivia
Publié le 6 novembre 2024 à 20h00 par Olivia
Publié le 8 novembre 2024 à 19h00 par Olivia
Publié le 2 novembre 2024 à 20h00 par Olivia
Alex a commenté :
22 mars 2013 - 17 h 59 min
Après le faux pilote AF de Philadelphie, voici ici les vrais pilotes. Je peux comprendre cette décision et le fait qu’un atterrissage soit une phase de vol risquée, maintenant au vu de la distance en avion entre Brest et Paris, les pilotes auraient peut être eu plus à gagner en atterrissant à CDG malgré les dépassements horaires qu’à Brest pour leur phase de repos. A moins qu’ils soient bretons! 2nd degré bien sur!!
Aulongcourt a commenté :
22 mars 2013 - 18 h 02 min
Je m’attends a une volée de bois vert dans les post a venir contre cet équipage….
Évidemment,si cet équipage avait enfrein la réglementation,et que cela soit venu a se savoir,il y aurait eu une volée de bois vert aussi….
Et si ,réglementation enfreinte,il y avait eu un problème style sortie de piste – même sans blesse,mais à plus forte raison si des blesses ou pire étaient a déplorer!-,je vous dis pas:c’est le ciel qui leur serait tombé sur la tête!!!
Moralité:sur Airjournal,que tu respectes ou pas la réglementation,tu te feras toujours incendier!!!!!
ramada a commenté :
22 mars 2013 - 18 h 02 min
Une collation offerte, voilà enfin un service de grande qualité offerte par Air France à ses passagers. Les pauvres PNT, ils ne pouvaient pas pousser plus loin, ils étaient à bout de souffle. Ils travaillent beaucoup trop
wess a commenté :
22 mars 2013 - 18 h 09 min
Sauf erreur de ma part, Brest-CDG en A340, ca dure 25-30 mn?
b744 a commenté :
22 mars 2013 - 18 h 19 min
C’est à dire qu’ils avaient le choix de s’arrêter à StJohns et de planter tout le monde ou d’aller jusqu’à Brest ce qui permet l’acheminement d’un équipage de relève. Il me semble que l’affaire a été bien gérée…
G a commenté :
22 mars 2013 - 18 h 50 min
Safety First.
tyfilou a commenté :
22 mars 2013 - 19 h 14 min
La règlementation sur les limites de temps de travail des équipages comporte un volet défini comme les “circonstances imprévues”.
Le fait de faire un atterrissage d’urgence pour débarquer un passager malade est en soit une circonstance imprévue qui ajoute un segment de vol à l’équipage et réduit potentiellement la limite de temps de travail.
De ce fait, en prenant la décision de faire le second segment, en liaison avec la compagnie, la limite de temps de travail aurait dû être vérifiée et la nécéssité de s’arrêter à Brest aurait dû apparaitre dés l’acceptation du plan de vol au départ de Terre-Neuve par le commandant de bord qui signe la conformité du plan de vol avec les dispositions règlementaires pour effectuer le vol. Le fait de s’arrêter à Brest dans ce cas n’est donc pas une Urgence.
Baltringue a commenté :
22 mars 2013 - 20 h 50 min
Ok, mais il me semble qu’il est illegal de décoller si vous ne pouvez pas arriver a destination sans dépasser le temps de vol maximum reglementaire.
mnbee a commenté :
22 mars 2013 - 20 h 53 min
Du grand guignol ….
Christian a commenté :
22 mars 2013 - 21 h 13 min
Pas besoin de “vomir” sur AF, ils se vomissent eux-même dessus ! (message personnel pour coco galley)
Pierre a commenté :
22 mars 2013 - 21 h 15 min
Malheureusement les temps de service comme les temps de repos doivent être respecté strictement.
Cela fait parti du travail et de la responsabilité du commandant de bord.si il y a un souci et que les temps ne sont pas respectés ,soucis en perspective.et ce n est pas la compagnie qui vous défendra ,compte tenu du peu de considérations des directions vis a vis de leur betail…..pardon employés je voulais dire.
Certaine convention de navigant permette de prolonger à titre exceptionnel les temps de service…mais sur ce cas la on a aucune infos..
Gardez vos commentaires a deux balles sans savoir de quoi vous parlez.
Je ne travaille pas chez af et n aime pas cette compagnie mais ne leur reprocher pas de faire leur boulot
Pierre a commenté :
22 mars 2013 - 21 h 17 min
Et Cdg Brest en a340 c’est comme en a320 soit 1h .
Ce n est pas parce que c est un long courrier qu’il est beaucoup plus rapide qu un à 320 a quelques petits point de Mach pres
Vol de nuit a commenté :
22 mars 2013 - 21 h 23 min
La même mésaventure que celle de l’article m’est arrivée : 38 heures pour paris/osaka au lieu de 12h. Ce fut en fait paris/sibérie/moscou/paris/osaka.
Je pense qu’aussi proche que soit la destination finale, il faut respecter la décision du commandant.
Car les mêmes qui se plaignent que Paris n’était pas si loin de Brest seront les mêmes à dire en cas de problème : “pourquoi a t-on dépassé le temps réglementaire”?